Huguenot

pour la plupart au romantisme. II-Le livre Ecrit par l’Abbé Prévost, Manon Lescaut est un roman-mémoire du 18ème siècle qui a été publié en 1731. L’inspiration de Manon lui est venue d’une histoire d’amour qu’il n’a pas pu vivre avec la fille d’un huguenot. Ecrit en deux parties, ce livre parle d’une histoire d’amour entre le Chevalier des Grieux et une jeune fille nommée Manon. Cette dernière devait aller au couvent pour recevoir une éducation stricte qui l’éloignera des vices. Mais elle s’enfuit

l’armée, assiège Pau qui se rend en octobre 1620. Décembre 1620, l’assemblée générale des protestants, à la rochelle, décide la prise d’arme du parti huguenot commandé par le duc de bouillon. 1621 : le midi de la France est en guerre du Poitou au Languedoc en passant par la Guyenne et l’Ardèche. 10 juin 1621, prise de Nègrepelisse : massacre des huguenots par l’armée royale. 3) La reconquête royale, 1622 Octobre 1622, Montpellier se rend. Novembre, la Rochelle Trêve : rien n’est réglé.

la réforme Luthérienne au début tolérée, qui remet en cause la vie peu exemplaire de l’Eglise catholique. Mais l’affaire des placards, des textes contre la messe affichés sur la porte même de la chambre du roi oblige à chasser les protestants et huguenots. HENRI II lui succède et poursuit la répression du mouvement hérétique, mais sa mort laisse la France ravagée par une crise économique, politique, sociale et religieuse qui dominera la seconde moitié du XVIe siècle. L’idée s’affirme qu’un état moderne

clans nobles et l’éclosion de « partis » politico-religieux. La militarisation du parti huguenot, la politique tortueuse de la Couronne, la rivalité des Guises catholiques et des Bourbons protestants, le fanatisme des masses et l’ambition des chefs constituent la toile de fond des « guerres de religion ». Repères chronologiques : -1572 : massacres de la Saint-Barthélémy – la plupart des chefs du « parti » huguenot, dont l’amiral Coligny, sont tués, à l’exception du futur Henri IV. -1589 : le roi Henri

poils » comme on le croit en Europe. Sans expliquer cette coutume, il suggère pourtant que les prétendus sauvages veulent se distinguer ainsi des animaux. Léry veut combattre les préjugés répandus par un catholique ( = papiste, protestants = huguenots) qui a séjourné dans les mêmes lieux et en a fait un récit qu’il juge fallacieux. B : Combattre les préjugés -La nudité : « Sans cacher avec aucune partie de leur corps, mais aussi sans montrer aucun signe d’en avoir honte ni vergogne ». Ces

interdise de produire des images, il y a donc une opposition faite par les communautés qui connaissait ces commandements. Un phénomène réapparait comme une résurgence c’est l’iconoclaste. Au XVIe siècle, pendant la guerre des religions (1560), les huguenots se déchainent, il y a donc une ampleur des destructions (statue, cathédrale d’Orléans, reliques). On s’attaque aux idolâtres, vénérations de manière exclusives au réalia (réalité, objets liés aux saints) de la foi. Au début XVIIe, des personnes s’offusquent

découverte par des archéologues [1], en août 2006, de ses vestiges, dont un plat qui a probablement appartenu à Roberval. En 1562, Charles IX, sous l'impulsion de l'Amiral Gaspard de Coligny, envoie le Normand Jean Ribault et un groupe de colons Huguenots pour tenter de de coloniser la côte atlantique. Ils découvrent la sonde de Port Royal et une île, que l'on nommera plus tard Parris Island, en Caroline du Sud, sur laquelle il bâtissent un fort. Le groupe, mené par René de Goulaine de Laudonnière

30ans (les pays protestants allemands contre les Habsbourg) 1624 – 1642 : Richelieu au pouvoir (premier ministre de Louis XIII, il contrôle la société et dirige les actions du roi) 1627 - 1628 : Le siège de La Rochelle ( ville protestante des Huguenots, prise par Richelieu) 1635 - 1659 : La guerre d’Espagne fini par le traite des Pyrénées ( paix entre la France et l’Espagne) 1637 : La représentation du « Cid » de Corneille 1638 : La naissance de Louis XIV 1641 : L’ordonnance royale réhabilitant

critique historique des textes sacrés attaque les certitudes de la foi, le pouvoir du clergé et les religions révélées. Les philosophes s’orientent vers le déisme qui admet l’existence d’un dieu sans église. Ils critiquent également la persécution des Huguenots par la monarchie française (voir l’article Réfugiés). Le pendant positif de cette critique est l’esprit de réforme. Les encyclopédistes prennent parti pour le développement de l’instruction, l’utilité des belles-lettres, la lutte contre l’Inquisition

jusqu'en France. La curiosité des Bretons poussa le Bailli a demandé de qu'elle religion était le Huron, il leurs répondit qu'il suivait sa propre religion, en effet le Huron ayant voyager il aurait pu être Anglican, ou encore prendre la religion Huguenote. La réponse que fit l'Ingénu choqua l'assemblée présente, on voit à travers ce passage que la religion, prend une place intégrale dans la vie, des populations du XVII siècle. Mademoiselle de Saint Yves s'étonne même que les Hurons ne soit pas tous