Humanisme Désillusion

Humanisme Sens : - Philosophie qui met l'homme et les valeurs humaines au dessus de tout - Mouvement intellectuel de la Renaissance, né en Italie au XIVème siècle, qui s'étend progressivement en Europe et s'épanouit au XVIème siècle. Il est marqué par un retour aux textes antiques qui servirent de modèle de vie, d'écriture et de pensée. Principaux représentants : Ficin (Philosophe italien du 15ème) ; Pétrarque (Poète humaniste du 14ème) ; Erasme (Théologien de fin 15ème début

religieux appelé reforme et l´autre culturelle appelé humanisme. II-) L´HUMANISME 1 -) DEFINITION On appel humanisme le mouvement caractérisé par le retour a l´antiquité classique pour étudier l´homme et ses œuvres. Par humanité il faut donc entendre un homme instruit sachant le Grec et le Latin qui étaient la base de connaissance (car la maitrise de ces deux langues permettait de découvrir les œuvres de l´antiquité). C´est donc par humanisme qu´on apprend l´éminente dignité de l´homme pour dire

on tire des leçons d’Épicure qui est contre le souffrance de l’âme et du corps, contrairement aux christianismes on se concentre sur le présent et on n’idolâtre pas les dieux. Les humanismes perçoive les voyage comme un moyen qui permet de solidifié les liens entre les pays et un moyen de forger l’esprit. Les humanisme sont pacifique : « au lieu de ce détruire , créons et apportons nous une lumière. Louise Labé est une femme qui prône l’érotisme dans ses poèmes. Dans son poème « je vis, je meurs

les 2 quatrains ont des rimes embrassées : abba ; les tercets sont construits sur le modèle ccdede. Le plus souvent les deux quatrains développent une idée et les deux tercets forment un contraste ou un parallèle Contexte : Renaissance et Humanisme (voir cours sur Rabelais) Biographie  de Du Bellay : (1522- 1560), en Anjou. maladif, orphelin de bonne heure, négligée par son tuteur, passe dans le manoir paternel une enfance « rêveuse et mélancolique ». Il se tourne vers l’état ecclésiastique

capital dans la diffusions de la poésie humaniste. Heptaméron en 1559. 3. La satire: à désillusion humanisme, confronté à ses propres limites. Multiplication des textes satiriques. Traits du discours humaniste qui servent à accuser un monde dépourvu de sens. La Satire Ménippe à collectif de 7 auteurs. Indignation contre l’horreur des temps, guerres de religions etc… II. Humanisme A) Définition : Il s’agit d’un mouvement de restauration des lettres et de la culture face

(1558) Auteur : Joachim Du Bellay, né à l'époque de la Renaissance ( François Ier). A 17 ans il est victime de surdité. Il est triste de son enfance, car c'est un enfant abandonné pourtant issu de famille diplomate. Il rencontre Ronsard → [ Humanisme : « On ne touche pas au corps, c'est sacré, il faut l'entretenir » → Utopiste : plus de torture (= Habeas Corpus ). Libre Arbitre=( liberté de culte , accepter le chois des autres sur la religion, liberté de confiance. C'est nouveau. Éducation :

 Trois années de souffrance o Tombe malade et reste plus de deux ans alité. o Ressent premières atteintes de surdité o Etudie et écrit beaucoup o Souffrance donne à la poésie de Du Bellay des traits de sincérité. • Du Bellay à Rome :  Humanisme o A pu contempler vestiges antiques o Rencontre humanistes romains qui veulent écrire des vers latins o Il oublie encore principes de la défense et écrit des poésies latines, Poemata.  Amères déceptions o Pensait que ce voyage allait lui

cacher son identité, incarne l'ère de l'homme écrasé par l'obscurantisme et l'intolérance. (...) Marguerite Yourcenar révèle ainsi l'envers du décors d'un XVIe siècle humaniste". A travers le destin du personnage de Zénon, qui incarne un certain humanisme, nous étudierons comment l'auteur révèle l'envers de l'humanisme. Nous nous pencherons d'abord sur la représentation des idées humanistes à travers le personnage de Zénon, puis sur la représentation de la renaissance dans le roman. En citant Pic

encyclopédique d’un homme complet en « savoir et vertu ». Du Bellay, était un poète français, du XVIème siècle. Dans les années 1550, il suit son oncle à Rome, où il n’obtiendra qu’un simple poste d’intendant au Vatican. Ce sera pour lui une source de désillusion et la France va beaucoup lui manqué. C’est dans ce contexte qu’il rédige Les Regrets en 1558. Il déplore la chute de l’empire romain, pour lui grandiose, puis il revient sur lui-même pour déplorer une autre chute, à savoir l’euphorie connue à Paris

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