Humanisme Pessimisme

désabusée que les choses se tournent en dérision (l.15) «  un abominable univers bien horrible » => redondance devient de la dérision. (l.10) « ma grosse tête plus grosse que tout la peur qui était dedans ». La noirceur est sublimée en humour et le pessimisme est compensé par la truculence verbale. Conclu : Ce texte fait fortement écho au titre de l’œuvre puisqu’il se présente comme une introspection, un bilan ressassant l’échec. Mais il le fait dans un style si singulier et si expressif que finalement

autoritaire et totalitariste dans lequel les individus sont soumis et enfermés et la pensée individuelle est combattue et supprimée. Bérenger représente peut-être Ionesco lui-même qui a fui ce genre de régime, l’a combattu de toutes ses forces. Le pessimisme de Ionesco apparaît nettement : Bérenger aura-t-il la force morale de résister pour maintenir une société civilisée et libre? BERENGER C’est moi, c’est moi. ( Lorsqu’il accroche les tableaux, on s’aperçoit que ceux-ci représentent un vieillard

talents. Citations : «Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin.» « Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes » Conclusion : * La leçon que l’on peut tirer de ce livre est peut-être que ni le pessimisme de Martin (Pascal), ni l’optimisme de Pangloss (Leibtniz) ne mène à quelque chose. Il ne faut pas non plus finir comme le bon Jacques. La fin de ce livre nous dit qu’il vaut mieux nous retirer dans notre jardin et trouver notre propre harmonie sans

accrue par un style propre à l’auteur et une densité du fait de l’utilisation privilégié des nouvelles. B / Thème principaux Maupassant utilise différents thèmes liés à ses origines et à son vécu, et qui peuvent se combiner entre eux : -Son pessimisme influe beaucoup son écriture: (Exemple dans « le désespoir philosophique »). Disciple de Schopenhauer, "le plus grand saccageur de rêves qui ait passé sur terre"[4], il s’attaque à tout ce qui peut donner quelque confiance en la vie. Il qualifie

ses faiblesses. Il a une santé fragile et est du coup de plus en plus nerveux. Sa situation, il la doit en majorité à sa femme car elle écrit ses articles. On distingue en Forestier plusieurs paradoxes: la force et le doute, l'optimisme mais le pessimisme, l'envie de réussir mais la peur de la mort. Il est riche. Rachel est une femme facile qui n’apparaît pas beaucoup dans le roman. Elle est là pour montrer essentiellement le pouvoir de séduction de Georges Duroy. Elle sait oser, aller au

Chauvin parait violent. IL y a une retraction de cette passion devouée. IL a peur de ce que cette passion peut provoquer. D'ailleur quand Anne se penche en quète d'un baiser. IL ne reagit pas. PLus on approche de la fin du livre plus Anne atteint un pessimisme de non-retour. Ce pessimiste est montré par l'entrée d'Anne qui jette un froid lors du diner.(chapitre 8) Puis La métaphore de la pierre ajouté a l'image du grain de sable montre l'insignifiance de l'homme dans l'univers. La difficulté et la

Question de Corpus I. Après avoir lu attentivement les textes du corpus, vous répondrez aux questions suivantes de manière organisée et synthétique (6 points) : 1. Le titre, Illusions perdues, choisi par Balzac pourrait-il convenir pour l’ensemble des textes proposés ? Justifiez votre réponse. (3 points) 2. Quels sentiments les personnages éprouvent-ils en regardant ce qui les entoure dans les différents textes du corpus ? (3 points) II. Vous traiterez ensuite, au choix, l’un

nous pouvons donc dire que la pièce beckettienne Fin de Partie met donc en scène la « faillite des valeurs humaines » comme le dit Sylvie Chalaye, de part les personnages qui montrent une humanité meurtrie et en perte de ses valeurs à cause du pessimisme et de l'absence d'espoir, mais aussi par la représentation même des personnages. Ensuite, nous pouvons voir cette décadence par la traduction du non-sens selon Beckett, mais aussi par le reflet d'une humanité qui se détruit elle-même.

prend sens que très tardivement. Tout d’abord, nous pouvons dire que les deux œuvres donnent un sens plutôt fataliste, pessimiste au titre du roman. En effet, rien qu’en lisant le titre du roman, au premier regard, on se rend compte du pessimisme que dégage le sens du titre. Effectivement, le titre « Tous les matins du monde » évoque le commencement d’une nouvelle journée, le renouveau or le commencement mène toujours à une fin, par extension, le commencement mène à la mort. Le temps

Voltaire utilise tous ces procédées pour faire passer un/des message(s) , pour faire réfléchie les lecteurs. Il élabore un critique fondée sur la philosophie optimiste où il dénonce son absurdité. 3) Dans ce conte, ni l’optimisme de Pangloss ni le pessimisme de Martin mène quelque part, il faut trouver un juste milieu . Voltaire émet une critique social c’est-à-dire le fanatisme, l’intolérance, l’abus de pouvoir, l’esclavagisme .. Il nous apporte une vision de ce qu’était homme différente, il nous