Humanité

sens que dans la mesure où ils sont présents à la conscience, éclairés par cette « chose ». Texte de Pascal : « le roseau pensant » Les Pensées. Je vis, et cette conscience d’être vivant est le premier savoir irréfutable qui caractérise mon humanité et me rend présent à moi-même et au monde. La conscience me distingue de l’animal qui peut posséder un certain sentiment de soi, de son environnement, mais n’a conscience ni de son passé, ni de son avenir. La conscience semble être la source de

allons ainsi démontrer dans une premier partie, en quoi il est possible que l'homme puisse vivre sans ce contexte. Puis, dans une deuxième partie, démontrer en quoi la culture estnécessaire à l'Homme car c'est par la culture que l'Homme réalise son humanité. L'absence de savoir, l'état d'ignorance permet à l'être humain d'exister sans culture. Au 18ème siècle, grâce à plusieursrécits de voyages notamment le récit de Bougainville sur les habitants de Tahiti, les récits de Jen-Baptiste Tavernier sur

un échec. L’incapacité à unir ces réminiscences débouche sur le « chaos » insupportable à la rationalité occidentale. Naufrage dans l’animalité Robinson doit donc renoncer à sa quête de sens et d’identité. Il est conduit de fait à abdiquer son humanité. Il devient le jouet de ses instincts et sombre dans l’animalité. Sa déchéance est soulignée par un signe typographique qui la met en évidence, une étoile marquant le changement de partie, et par l’identification à des animaux aquatiques répugnants

que nous entendons par humanité. Il est plus simple de se poser la question en ce qui concerne le présent et, sur ce point, la réponse est facile et claire. Tout ce que nous avons aujourd'hui devant nous de civilisation humaine, de produits de l'art, de la science et de la technique est presque exclusivement le fruit de l'activité créatrice des Aryens. Ce fait permet de conclure par réciproque, et non sans raison, qu'ils ont été seuls les fondateurs d'une humanité supérieure et, par suite

le charisme des rhinocéros: "comme je voudrais avoir une peau dure (…) Leurs chants ont du charme!"; et il s'essaie au barrissement comme l'indique la didascalie : "il essaie de les imiter". L'autre branche de l'alternative consiste à assumer son humanité, le moment de la décision est donné par une autre didascalie : "il a un brusque sursaut". Tout dilemme comportant une part sacrificielle et mettant celui qui le vit au cœur d'un déchirement, il faut reconnaître à ce monologue sa portée tragique

La réalité la plus misérable est montrée au lecteur de l’extérieur, Khady est devenue une loque souffrante, elle suit les autres mais jamais elle ne perd « son inaltérable humanité ». [Sans doute ce 3ème texte donne lieu à un refus du lecteur qui pense lire une histoire réaliste. Ce texte célèbre cette « inaltérable humanité » qui réside dans tout homme, y compris dans le plus bas d’entre tous : message christique ?]Ces trois textes forment cependant un seul livre. Le titre rassemble trois femmes

comme finalité de s’accomplir en tant qu’homme . Nous avons pu constater qu’en évoluant , l’homme se rapproche de plus en plus de cette humanité au fil des génération ( ligné humaine : homo sapiens plus évolué qu’homo erectus , lui-même plus évolué qu’australopithèque ).Ainsi si il continue le cours de son évolution en se rapprochant toujours plus de cette humanité , un individu s’accomplira et accèdera a l’humanité ; Le premier être purement morale et conscient ( le premier homme par définition) sera

éliminé les temps mort comme dans La division du travail d’Adam Smith ou encore a rationnaliser les tâches, le travail peut devenir abrutissant. L’Homme ne serai plus qu’un rouage au service d’un mécanisme qui le dépasse, il en perdrait même son humanité, par exemple Charlie Chaplin dans Les temps moderne incarne un ouvrier totalement dépasser par une machine qui ne maîtrise plus, du coup le travail devient ici un labeur c’est-à-dire une activité où l’Homme ne s’épanouie plus et où il perd le sens

idée que l’homme oscille entre un rejet de l’autre avec qui je peux entrer en conflit et un besoin de l’autre à la fois intellectuellement et matériellement. En effet, l’autre peut me rejeter, me juger, remettre en cause mon identité et même mon humanité mais j’en suis dépendant à la fois pour progresser intellectuellement, la confrontation des opinions permet une amélioration des raisonnements, et à la fois matériellement, l’homme est un animal chétif qui a besoin du groupe pour survivre. Face

considéré et traité comme un animal (page 30 « Nous devions nous tenir à quatre pattes [...] nous servant seulement de nos bouches » ou aussi « Il fallait que je fasse le beau, que je tourne sur moi-même, que j'aboie, que je tire la langue ». Son humanité est dénié aussi lorsqu’il devient « L'homme-Merde ». Son rôle est de vider les latrines et de les curer avec soin. * (En remettant dans l'ordre chronologique les éléments historiques, Philippe Claudel parle de la « Pürische Nacht » ou « la Nuit