Humiliation

3)Acte I , scène 3 Scène particulièrement tragique malgré l'attitude de DJ qui paraît comique . Apparition de Done Elvire (DE) qui reproche DJ , humiliation de DJ et demande a SGA de le couvrir , ce dernier acceptera (car il n'as pas le choix , c'est son valet après tout)et répond au nom de la religion. Cette scène est préparée depuis la scène II , DE retarde sa conquête. Elv justifie son passé solennel pdt que DJ la dénie Politesse et quelque pts comiques du valet Elvire oblige à DJ

et d’invisibilité (p.13 l.6 : « Notre colonel […] un peu impatient seulement. »). Bien que les balles allemandes sifflent tout autour d’eux, ce dernier ne bronche pas  mourir Lieutenant Grappa  colonisateur, parodie sadique de la justice  humiliation. Fille Henrouille p.252 misère Mesquinerie  n’a qu’une idée en tête, se débarrasser de la mère Henrouille pour faire des économies.  veut corrompre Bardamu Anti-couillons : Mère Henrouille, Alcide, Russe p.224 La figure du couillon

l’alcool…), de nombreuses boutiques prirent le nom « à la Vénus hottentote » … des milliers, des millions de gens la virent, au cours des six années qu’allait durer son calvaire. La gloire était là, mais au prix de quelles souffrances, de quelles humiliations, de quelle exploitation inhumaine pour cette femme, objet de toutes les attentions, toutes les curiosités, tous les fantasmes, toutes les haines, tous les outrages ? Cette situation honteuse ne manqua pas d’émouvoir une association de lutte

contre les enfants La violence économique La violence PSYCHOLOGIQUE TOUTE VIOLENCE EST D’ABORD PSYCHOLOGIQUE Page 8 COMMENT CES VIOLENCES PSYCHO LOGIQUES S’EXERCENT-ELLES ? Page 9 Le contrôle L’isolement Le harcèlement Les humiliations Les menaces Comment le processus d’emprise se met-il en place ? QUI SONT-ILS ? Page 11 Le violent « ordinaire » Le manipulateur Ces manipulateurs narcissiques……… Du Manipulateur narcissique au Pervers calculateur………. Jusqu’au

1897, mentionne la Revanche, la haine des Allemands, sentiment plutôt minoritaire en France. Cela s’explique par la guerre franco-prussienne de1870-1871 : « Ils étaient venus à Saint-Loup en 70 ». Le souvenir de cette occupation, vécue comme un humiliation, est très vivace et donne sens à la mobilisation et à la guerre. Les deux témoignages se rejoignent sur la situation des campagnes, une fois les mobilisés partis : il ne restait plus que « les femmes, les jeunes, les vieux », alors

l'antisemitisme des parties politique. Il est jugé devant un tribunal militaire et on redige un dossier secret qui accable dreyfus et l'envoie sur une île à perpetuite nommé ile du diable. Il y aura une cérémonie pour le dégrader en public, cette humiliation est symbolique. Cette affaire ne fait pas parler d'elle. 1896 ils interceptent un telegramme de l'ambassadeur allemand à Esterazy, on découvre que cette personne à des relations avec l'ambassadeur louche et secret et c'est donc lui qui a écrit ce

Euphrosine et sa soubrette Cléanthis échangent leur condition, leurs vêtements et aussi leurs noms. Dès leur arrivée , chacun se voit contraint d'en observer la loi, dont Trivelin, ancien esclave et gouverneur de l'île, est le garant. Entre autres humiliations que les anciens maîtres ont à subir, pour leur bien d'ailleurs, ils doivent s'entendre dire leurs vérités par leurs serviteurs. Trivelin demande à la servante Cléanthis de tracer le portrait de sa maîtresse Euphrosine et il promet d'abréger cette

figure » (l.23). -> Impossibilité d’influencer Mme de Merteuil. * Elle semble jouer un rôle et ne pas comprendre ce qu’il lui arrive. On remarque le caractère spectaculaire du théâtre dans le théâtre, qui accentue en sa défaveur, son humiliation. III – chute et mort d’une libertine. 1) le désaveu public * Mme de Merteuil est seule face à une foule : « toutes les femmes » (l.12) ; « tous les hommes » (l.14 – 15) ; « tout le monde » (l.19) -> l’humiliation se fait aux eux de tous :

problème est l’ignorance des différentes formes que peuvent prendre la maltraitance. C’est grace au sommet de Stockholm qu’on arrive à en distinguer trois sortes : les violences physiques, les violences sexuelles et les violences psychologiques. Les humiliations, les coups, les gifles, la tromperie, l’exploitation sexuelle, la moquerie, la négligence etc. sont des formes de maltraitances parce qu’ils blessent l’intégrité et la dignité de l’enfant, même si les effets ne sont pas visibles de suite. C’est

du village, sa désignation comme victime expiatoire car « étranger » et sa déportation. L’écriture ou la vie a écrit Jorge Semprun, et Brodeck peut enfin mettre des mots sur l’indicible qu’il a vécu : le camp, les brimades, les tortures, les humiliations qu’il a endurées parce qu’il voulait vivre, parce qu’il voulait retrouver la femme qu’il aimait. La peur aussi, la peur surtout, la peur dont il n’est toujours pas parvenu à se défaire. Ils n’étaient plus des hommes, que des riens, des riens livrés