Humour Soins Palliatifs

Introduction Dans le cadre de l’unité d’enseignement 4.7 relatif aux soins palliatif et fin de vie, je vais vous parler de la situation de monsieur Jean. Selon le programme national de développement des soins palliatifs de 2002 : «  Les soins palliatifs et l’accompagnement concernent les personnes de tous âges atteintes d’une maladie grave, évolutive mettant en jeu le pronostic vital, en phase avancée ou terminale. […] Les soins prodigués visent à améliorer le confort et la qualité de vie et à soulager

prématurés. II y aura ensuite présentation des principales objections de la partie adverse. Celles-ci traitent du caractère sacré de la vie ainsi que de l'inutilité d'avoir recours à une solution si radicale alors que s'offre à nous une multitude de soins palliatifs. 2. Prise de position D'abord, rappelons qu'il est question de suicide assisté et non d'euthanasie. II est donc important de préciser le sens de ces termes. L'euthanasie se définit comme étant l'ensemble des méthodes procurant une

retournant essayant de trouver une position antalgique. J'avais de plus en plus de mal à lui administrer son traitement. Après une consultation avec un médecin et au regard des témoignages de l'équipe soignante et de moi même, Me P. est passée en soins palliatifs puis très vite de fin de vie. Suite à cela nous avons prévenu la famille qui est arrivée quelques jours avant le décès de la patiente. La voie per os est inefficace pour la patiente, elle ne pouvait plus prendre son traitement, c'est pourquoi

à la personne de se réapproprier sa mort A- la politique des soins palliatifs B- le refus de l’acharnement thérapeutique 2- le droit a l’euthanasie dénié A- l’euthanasie reste une transgression à l’interdit de tuer B- le soulagement de la souffrance comme limite à la répression de certains comportements « euthanasiques » ? I. Permettre à la personne de se réapproprier sa mort : A- la politique des soins palliatifs : Le devoir du médecin ne s’arrête pas au stade de procurer au

[pic] [pic] DEPARTEMENT DES RESSOURCES HUMAINES ET DES RELATIONS SOCIALES INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS | | | | | | |PROMOTION P47 |COMPETENCES 2 et 6  |UE 5-3 S3 : | | |

partie intégrante des soins aux patients. Elle est sans aucun doute pertinente en pédiatrie mais aussi en traumatologie, en gériatrie. Le but de cette thérapie est de relier le patient avec son histoire, de faire vivre son Âme. C'est aujourd'hui, au travers de la musicothérapie, une profession en pleine croissance, que les musicothérapeutes, professionnels de la santé, exercent en milieu hospitalier et extra hospitalier. Cette thérapie est pour l'instant offerte en soins palliatifs et en psychiatrie

1984, celui du 15 mars 1993 et le dernier en date du 11 février 2002, il est précisé que les soins infirmiers sont de nature :   -    technique, relationnelle et éducative   Le dernier décret infirmier du 11  Février 2002 relatif à l’exercice de la profession, précise encore les qualités relationnelles à acquérir par les infirmières.   Article 2. Les soins infirmiers, préventifs, curatifs ou palliatifs, intègrent qualité technique et qualité de relations avec le malade. Ils sont réalisés en

thérapeutique. Exemple : Eluana Englaro, jeune italienne de 38ans qui étaient plongée dans un coma végétatif depuis l’âge de 21ans suite à un accident de voiture. Euthanasie interdite en Italie encore fortement catholique. Le droit de refuser des soins est reconnu par la Constitution, c’est ce qu’a fait valoir le père, devant les tribunaux Active L’euthanasie active définit le fait d’administrer délibérément des substances dans le but d’entrainer la mort à la demande du patient ou d’un proche

Le SSIAD : Service de Soins Infirmiers A Domicile Le SSIAD propose une aide à toutes les personnes âgées de plus de 60 ans en perte d’autonomie. Les objectifs sont de : - prévenir, différer ou éviter l’entrée à l’hôpital, qui est trop souvent une rupture irréversible avec le domicile. - favoriser le retour au domicile après une hospitalisation. La mission première du service est d’aider à restaurer et à maintenir l’autonomie de la personne. Des aides soignants diplômés se rendant au

comme un assassinat.  La propagande ou la publicité en faveur de produits préconisés comme moyens de se donner la mort est punie d'une peine maximale de 3 ans d'emprisonnement et de 45 000 € d'amende.  La France veut développer les soins palliatifs : des soins actifs pour la personne, en phase évoluée ou terminale d'une maladie, qu’on accompagne jusqu'à la mort.  La Loi n° 2005-370 du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie (J.O n° 95 du 23 avril 2005 page 7089) instaure