Humour Surréaliste Noir

différents humours. En effet, nous allons vous présenter l'humour noir plutôt connu mais aussi l'humour naïf en passant par l'absurde et finirons par les jeux de langages. Il y a de nombreuses formes d' humour qui peuvent aller du naïf au noire. Nous avons choisi quelques-unes de ces formes présentées dans des poèmes datant du XVII au XXI siècle. Commençons par Jean de la Fontaine, surtout connu pour ses fables, il écrit aussi des poèmes humoristique comme « Le Glouton ». L' humour de ce poème

Il s'agit d'une œuvre originale, composée de treize chapitres se présentant comme des récits très courts (quelques pages au plus), mettant tous en scène le personnage de Plume dans des « aventures » parfois cocasses ou rocambolesques, parfois surréalistes. Le nom de Plume fait référence à la légèreté du personnage, un personnage sans épaisseur ni volonté affirmée, qui se laisse la plupart du temps porter par les événements. Plume, un monsieur débonnaire à qui il arrive des aventures rocambolesques

opéras tirer sur le plafond. Il s'est suicider car il a subit sa théorie jusqu'au bout •roman noir américain (Thriller) pour ses détectives nuls •les marcis de Sainte et les libertins du 18e siècle car ils avaient la liberté de penser et d'action -le chef est André Breton -littérature : voir les quatre écrivain français -peinture : Dali, Magritte et Dichérico -cinéma : Louis Bunvel 4)Théorie surréaliste -le but du mouvement, montrer le fonctionnement véritable de la pensée, c'est à dire quand elle

mouvement Dada qui n'est que dégoût, humour noir et anarchie mais contrairement à celui ci, le surréalisme à résolue ce que le mouvement Dada avait dénoncé sans pouvoir y remédier. Andrée Breton avait d’abord adhérer au dadaïsme pour ensuite devenir le maître, le leader du mouvement surréaliste. Le surréalisme dans le cinéma Le cinéma surréaliste naît, en France, avec La coquille et le clergyman de Dulac (1928). Mais la première œuvre reconnue par les surréalistes est Un chien andalou de Buñuel

excentrique ou extravagant. Humour : Forme d'esprit railleuse qui attire l'attention, avec détachement, sur les aspects plaisants ou insolites de la réalité. Le théâtre contemporain est en décadence parce qu'il a perdu le sentiment d'un côté du sérieux et de l'autre du rire (...). Parce qu'il a perdu d'autre part le sens de l'humour vrai et du pouvoir de dissociation physique et anarchique du rire (Antonin Artaud, Le Théâtre et son double, 1938) Le mot humour, apparu tardivement en Français

Problématique : -Comment fonctionne la dénonciation dans ce poème ? -Quel message cherche à faire passer Prévert dans ce poème ? Intro : Jacques Prévert est un poète du XXème siècle. Il fréquente le mouvement surréaliste puis va rompre avec son chef de file André Breton. Il sera sensibilisé à la misère dès sa jeunesse par son père qui travaillait à l’office central des pauvres. Il se montrera engagé dans ses poèmes et dans des scénarios de films. Ces poèmes vonts

il renoue d'une certaine façon avec le romantisme des années 1830 : la jeunesse s'insurge contre les valeurs d'une société faisandée, elle lie son désir de vivre à la quête de la poésie, elle conteste la valeur de la raison. Cependant la révolte surréaliste est bien plus radicale que celle des romantiques : sa violence est celle de l'époque et son but affiché est de faire éclater toutes les formes pour libérer les forces vives de la pensée et du désir. Cette entreprise de dynamitage commence en 1918

Poète et scénariste, originaire d’un milieu bourgeois et dévot de Neuilly-sur-Seine, Jacques Prévert ne cesse de se moquer des convenances, du clergé et de la religion. Il participe au mouvement surréaliste avant de s’en éloigner, puis s’intéresse au théâtre En 1925, il participe au mouvement surréaliste, qui se regroupe au 54 de la rue du Château près de Montparnasse ; c'est en fait un logement « collectif » où habitent Marcel Duhamel, Raymond Queneau et Yves Tanguy. C'est Prévert qui trouvera

Chroniques d’une haine ordinaire « On peut très bien vivre sans la moindre espèce de culture » disait Desproges. Oui, bien évidemment. Mais sans cela, il devient alors impossible de comprendre cet humour si propre à l’auteur, au comique, à l’écrivain mais aussi au chroniqueur que fut Desproges. Cynisme et noirceur étaient ses principaux mots d’ordres, et cela fonctionnait. Cela fonctionnait, et fonctionne d’ailleurs toujours. Peut-être est-ce pour cela que Michel Didym, acteur et metteur en scène

membres du mouvement surréaliste, tels que Philippe Soupault ou Michel Leiris. En 1924, après avoir effectué son service militaire, il forme avec André Breton, Jacques Prévert, Yves Tanguy et Marcel Duhamel le groupe de la rue du Château. Un jeune écrivain qui se cherche Il rédige ses premiers textes en compagnie de ses amis et participe à tous leurs travaux. En 1928, il épouse Janine Kahn, la belle-sœur d’André Breton. Mais peu à peu, il réalise que les considérations surréalistes ne lui permettent