Hybride Lexical

pour Cibot». c)En troisiéme sous pari, on va se poser deux questions : elle passe pour un modèle pour les voisins ? Ou pour les peintres ? Le narrateur nous renseignent sur le portrait physique de son personnage, pour cela il utilise le champ lexical de la beauté: «La beauté des femmes du peuple dure peu», «les traits durcis», «s'infiltrent dans le teint», «ne mûrit plus vite». 2 Des effets de distortion : Le narrateur nous parle ensuite de ses agissements, des sest tenues a) Le teint lié

une description physique dans chacun des deux extraits, ces deux descriptions s’opposent car l’une d’entre elles montre une belle femme en bonne santé alors que l’autre décrit une femme déchue. En effet dans le chapitre V l’auteur emploi le champ lexical du visage et de la beauté avec par exemple, « de grands yeux », « avec des dents blanches », il dit aussi que Gervaise avait grossit ce qui montre qu’elle mange bien et qu’elle est en bonne santé. Au contraire dans le chapitre XIII, il nous dit qu’elle

Exemple : Le topos de la guerre est au cœur de ce poème, ainsi que le prouve le champ lexical de la violence, présent avec des termes tels que « dépouiller », « piller », « massacre ». On a commencé le paragraphe avec l’idée générale, puis on a fait figurer des mots-clés de l’analyse littéraire tels que « champ lexical » pour enfin en venir à l’exemple, sous forme de termes cités (rappel : un champ lexical commence avec 3 termes). une idée = un paragraphe avec 1 mot-clé et 1 exemple précis

d'entre eux, et en lui dédiant le poème suivant, « A Jeanne », écrit pour lui rendre hommage et publié le 16 Août 1870. Ce poème est de genre romantique. On y retrouve l'attachement de Victor Hugo à sa fille lorsqu'il la met en scène avec le champ lexical de l'amour « désir, douceur, vertus » et celui de la beauté « purs, beaux lieux... » . Le poème évoque, Jeanne comme faisant partie intégrante de la nature. Elle est comparée à des beautés de la nature, telle que « L'aurore ». Elle est idéalisée avec

utilité dans le récit. Dans Thérèse Raquin, de Zola, Laurent, alors amant de Thérèse, assassine Camille. Le narrateur laisse transparaître un cadre obscur et pour le moins inquiétant. On relève le champ lexical de l'obscurité : « gris », « sombre », « ombre », « vague ». Ainsi que le champ lexical de l'inquiétude : « roide, immobile », « figure convulsionnée », « effrayante ». Dans La Condition Humaine, Tchen s'apprête à assassiner un homme froidement, pour cause, il réfléchit à son acte

secondaire à considéré. En effet, il y a la jeunesse, l’innocence. L’homme est tout juste un adolescent tandis que le chevreuil lui sort enfin de sa forêt pour la première fois. Ils ne connaissent aucunement ce qu’ils les attendent. Les mots du champ lexical sont très simples. L’un est le mot << libre>>, au vers numéro 8 et l’autre est << espoir>>, au vers numéro 12. Dans les deux cas, ils deviennent libre de leurs actions, de ce qu’ils peuvent ou ne pas faire. Ils ont tous les

figures de style qui apparaissent dans l’histoire ; on constate la présence de champs lexicaux « contraires » : celui de la vie qualifié par les mots « sourit », « la mer si bleue, si tranquille, si belle » … et celui de la mort par les mots « cercueil de chêne », « morte », « tousse », « fatiguée ».Le champ lexical de la vie est une sorte de lueur d’espoir au triste sort qui attend la jeune femme. Le champ lexical de la mort oblige un retour à la réalité tout en rendant l’histoire plus triste.

détaillé 1- Dans un premier temps, Rimbaud nous plonge dans un paysage paradisiaque donnant une impression de vie et de bonheur Dans l’ensemble de son poème, mais plus particulièrement à la première et deuxième strophe, l’auteur utilise un champ lexical témoignant d’un décor utopique. Ex : « verdure, rivière, herbes, soleil, montagne, val, rayons, cresson et lumière » Il nous transporte non seulement dans un petit paradis, mais il donne également vie à cet univers. Il ne s’agit plus maintenant

témoin de ses amours, et lorsqu’il y revient sans la femme aimée, il subit douloureusement la fuite du temps. Il se rend compte que seule la nature peut conserver la trace des amours vécues, et notamment dans « Le Lac ». L’obsession du temps Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : « la nuit », « le jour », « l’aurore », « le soir », « les heures », « l’année », « moments », « l’éternité » et présence d’adjectifs significatifs : « l’heure fugitive », « nuit éternelle ». On observe la métaphore du

éprouve enfin la «joie cuisante» de la vengeance qu'elle se promettait alors. Cela explique que l'évocation de son regard sur la mort des deux complices encadre le paragraphe qui rend compte de leur suicide. On relève dans ces deux paragraphes un champ lexical du regard : «yeux», dans la première et la dernière phrase, «contemplant», «regards», qui trouve son écho dans le regard de pardon échangé entre Thérèse et Laurent. Mais les yeux de Mme Raquin sont, dans le premier paragraphe, «fixes et aigus», comme