Hydrure

plus des liaisons de Van der Waals. La liaison d'hydrogène s'établit entre le doublet non liant d'un oxygène et un hydrogène d'une autre molécule. La figure ci dessus met en évidence une anomalie dans la variation de la température de fusion des hydrures des éléments de la même colonne. Si les interactions de Van sont les seuls à considérer comme forme d'énergie, permettent la cohésion des molécules à l'état condensés, la température de fusion de l'eau serait la plus basse. En effet la déformation

d’hydrogène vers d’autres transporteurs d’électrons moins mobiles dans la membrane. - Transporteurs d’ion hydrure (H- : 1 proton H+ + 2e-) : Nicotinamide adénine dinucléotide (NAD) ou NAD+ dans sa forme oxydé. Il est composé de deux nucléotides reliés par une liaison anhydride acide phosphorique. ⎯⎯ ⎯ → NADH + H + NAD+ + 2H + + 2e- ← ⎯ Chaque molécule de NADH transporte un ion hydrure (H+ +2e- ). L’autre proton étant libéré dans la solution. Le NAD est un coenzyme transporteur d’électrons

poids (l’énergie spécifique) mesurée en Watt-heure/ kilogramme (Wh/kg). Par exemple, pour les batteries Plomb, 30 Wh/kg, pour les batteries NiCd (en voie de disparition à cause de la toxicité du Cadmium), 40 Wh/kg, pour les batteries NiMh (Nickel-Hydrures métalliques) de 40 a 45 Wh/kg, pour les batteries Li de 160 à 170 Wh/kg. -Le prix d'achat par Watt-heure de capacité (par exemple $/Wh) : 0.3 $/Wh pour les batteries au Plomb, 1 $/Wh pour les batteries Ni-Cd, 2 $/Wh pour les batteries Ni-MH

que le stockage inertiel (volant d’inertie) et le stockage d’hydrogène. Ce dernier peut en effet constituer une solution envisageable. Les différents techniques de stockage de l’hydrogène (hydrogène comprimé ou liquide, nano tubes, charbons actifs, hydrures métalliques…) couplés à une pile à combustibles permettent le stockage de l’énergie (contenue dans l’hydrogène) et la production délocalisée d’énergie électrique. Plusieurs recherches estiment que les coûts des piles à combustible vont se baisser

6 Impédance interne * 2.7 Charge maximale * 2.8 Densité * 2.9 Vieillissement et usure * 2.10 Forme physique * 3 Différentes techniques * 3.1 Plomb-acide * 3.2 Ni-Cd (nickel-cadmium) * 3.3 Ni-MH (nickel-métal hydrure) * 3.4 Ni-Zn (nickel-zinc) * 3.5 Lithium * 3.6 Pile alcaline * 3.7 Alcaline rechargeable * 3.8 Brome * 4 Tableau comparatif des différentes techniques[3],[4] * 5 Voir aussi * 5.1 Notes et références * 5.2 Articles

2010. Le marché s’ouvre lentement mais surement aux modes de propulsion alternatifs. Au début des années 2000, les batteries disponibles pour la traction électrique sont encore soit au plomb soit au nickel, avec les options Ni-Cd et NiMH (nickel-hydrure métallique). Trop peu performants, ces accumulateurs n’offrent pas des autonomies suffisantes pour une commercialisation de masse. Ainsi la plupart des constructeurs ne voient pas d’autres solutions que de produire l’énergie électrique à bord du véhicule

mondiales de protection de la nature. Ce partenariat européen s'étend sur 40 pays et a pour but, durant les 3 prochaines années, de développer des opérations pour sensibiliser le public à l'avantage écologique des piles rechargeables Ni-MH (Nickel Métal Hydrure), des chargeurs, et à la nécessité de les recycler. Le partenariat se concrétisera par le lancement de piles rechargeables et de chargeurs Uniross marqués du sigle WWF. Par ailleurs, la société française s'est engagé à soutenir financièrement le

commercialisation14 de son module Nexa™. Il s’agit d’une technologie PEM (voir fig. 6), d’une puissance de 1200 W. La source de combustible est au choix, le méthanol associé à son reformeur, l’hydrogène sous pression ou l’hydrogène stocké dans un hydrure. Figure 6 – Le module NEXA™ de Ballard (1200 We)  Le transport15 Principal pollueur, le transport automobile a été l’un des premiers secteurs intéressés par un convertisseur d’énergie propre, dès lors que l’hydrogène apparaît comme le combustible

= U × C = 3.7 × 1 = 3.7 Wh Branchement des batteries ou accumulateurs : Les principales technologies utilisées dans les batteries sont : Les batteries Plomb-acide, les batteries NiCd (Nickel-Cadmium), Les batteries NiMh (Nickel Métal Hydrure), les batteries Li-ion (Lithium-ion) et les batteries Li-Po (Lithium-Polymère). 2.2 Sous forme chimique : Electrolyse de l’eau Le produit stocké est de l’hydrogène qu’on peut utiliser comme simple combustible, il doit être stocké à des pressions

ranion √2 - 1 < < √3 - 1 Autres composés de même structure : - dans les conditions ambiantes, tous les halogénures d’alcalins sauf CsCl, CsBr et CsI - au dessus de la température de transition : NH4Cl, NH4Br - les hydrures de métaux alcalins MH - oxydes, sulfures, séléniures, tellures de calcium, strontium, baryum - oxydes des ions divalents des métaux de transition de la période IV. Structure type ZnS (blende) Zn2+ S2- Zn2+ : réseau CFC, Z(Zn2+) = 4 / maille