Hydrure

CH2CH3 O C O - + CH3CH2O + CH3CH2OH Transestérification (estérification d’un ester) : il faut catalyser et chauffer O CH3 C OCH2CH3 O CH3 CH2OH + H+ T° C OCH2 + CH3CH2OH Réduction des esters par un hydrure: formation de deux alcools O CH3 C OCHCH3 CH3 LiAlH4 CH3CH2OH CH3CH2OH CH3 Réaction avec le réactif de Grignard: préparation d'alcool tertiaire O O C + CH3CH2 C MgCl OCH3 CH2CH3 OCH3 O MgClOCH3 +

s’agit d’un 1 ; (Si les coefficients en indices portent sur un cation ou anion polyatomique, il est nécessaire d’encadrer la formule de cet ion par des parenthèses. ----------------------- Perte d’électrons Gain d’électrons + Ion Hydrure [pic] Hydrogène H - + _ _ + + + Ion Lithium [pic] - ATOME (ou groupe d’atomes) Ion chargé négativement (anion négatif) Ion chargé positivement (cation) - + + + - Lithium Li

==liaison covalente *on otera que le C , la colone vertebrale de la chimie orga appartient a cette colone Cas particulier: l'H période 1 : 1seule couche de type s , 2e- maxi , 1seul e- pour cet element , il peut donner l'ion H+ =proton ou H- = ion hydrure ou mise en commun d'e-=liaison covalente considerable sur la olone 1,17,14 .... cas du carbone et de l'hydrogene Mise en commun des e- -- covalence *il s'agit d'1 mlec formée d'at liés par des liaisons covalentes . 1at de C lié a 4 at d'H pour saturer

est un polymère de structure très complexe contenant des cycles à 5 phosphores. Les “phosphores noirs”, formes thermodynamiquement les plus stables, ont des structures covalentes polymériques tridimensionnelles (Téb = 610°C). II. D.2. Hydrures II. D.2.a Hydrures d’azote L’hydrure le plus connu est évidemment l’ammoniac, NH3. Cette molécule est à la base de la chimie industrielle de l’azote. L’ammoniac est synthétisé, depuis la guerre de 191418, par réaction entre les éléments constitutifs: N2 +

réversibles : elles sont sous contrôle thermodynamique. 38 39 40 PARTIE 4 ADDITIONS NUCLEOPHILES SUR Csp2 Introduction 1. ADDITION NUCLEOPHILE SUR C=O 1.1 Les OM du C=O et sa réactivité 1.2 Mécanisme général 1.3 Réduction par les hydrures a) Hydrures métalliques b) Réduction en milieu biologique (NADH) 1.4 Addition des carbanions et des énolates a) Addition de cyanures b) Addition des carbanions métalliques c) Addition d’énolates. Aldolisation 1.5 Addition des réactifs oxygénés a) Hydratation

calcique, contenant plus de 0,1% de carbure de calcium 1404 138 Hydrure de calcium 1405 138 Siliciure de calcium 1406 138 Silico-calcium 1407 138 Caesium 1407 138 Césium 1408 139 Ferrosilicium 1409 138 Hydrures métalliques hydroréactifs, n.s.a. 1409 138 Hydrures métalliques, n.s.a. 1410 138 Hydrure de lithium-aluminium 1411 138 Hydrure de lithium-aluminium dans l’éther 1412 139 Amidure de lithium 1413 138 Borohydrure de lithium 1414 138 Hydrure de lithium Page 36 1415 138 Lithium 1417 138 Silico-lithium

groupement d’atomes I. Introduction C. Les co-enzymes 1. Introduction On classe les coenzymes en 2 grandes catégories : Les coenzymes d’oxydoréduction (ou coenzymes de transfert d’équivalents réducteurs) : électron (e-), atome d’hydrogène (H) ou ion hydrure (H-) •Les coenzymes nicotinamiques (2 H-) : le NAD et le NADP •Les coenzymes flaviniques (2 H) : le FAD et le FMN •Les coenzymes quinoniques (2 H) : le coenzyme Q Les coenzymes de transfert de groupement d’atomes : •Le coenzyme A (CoA) I. Introduction

d'hydrogène, H2O2. Hydrogène 4. On assigne à l'hydrogène le nombre d'oxydation de +1 quand il est associé à des non-métaux dans les composés covalents. Par exemple, dans HCl, NH3, H2O et CH4. On lui assigne le nombre d'oxydation de -1 dans les hydrures métalliques par exemple LiH, CaH2. 5. Dans les composés binaires, on assigne à l'élément le plus électronégatif un nombre d'oxydation négatif de même valeur que la charge qu'il porte habituellement dans ses composés ioniques. Par exemple, le nombre

courant qui sert à alimenter le moteur. Quant au convertisseur, il permet de transformer le courant continu de la batterie en courant alternatif. Il existe plusieurs types de batteries, celles en plomb, en nickel-cadmium et plus récemment en nickel-hydrure métallique (Ni-MH) et lithium/ion (Li-ion). Les batteries en plomb ne sont pas chères mais elles présentent une autonomie ainsi que des performances très réduites par rapport aux batteries en nickel-cadmium qui détiennent également un autre avantage

permet de doser une soixantaine d'éléments chimiques à l'état de traces (quelques mg/litre). L'analyse se base sur l’absorption de photons par des atomes à l'état fondamental, et on utilise à cet effet en général des solutions sauf dans le cas des hydrures. Une préparation est donc souvent nécessaire : dissolution d'un alliage par exemple. La méthode est : • • Quantitative Relative : il faut donc faire une courbe d'étalonnage Cette méthode présente de nombreux avantages : • • • Elle est très sélective