Hymen

Britannicus et Junie, mais la jeune femme à été arrêtée par Néron. L'attitude de son fils contrarie Agrippine qui sent son influence diminuer, son pouvoir lui échapper. Pourtant Néron lui doit tout : Britannicus aurait du être l'empereur, mais grâce à son hymen avec l'empereur Claude, Néron a été désigné comme héritier. Mais jamais Agrippine ne renoncera à son pouvoir ! Scène II Quand Burrhus, un proche de Néron, parait, Agrippine l'invective. Elle lui reproche son influence néfaste sur son fils. Il

lointaines « les hivers y sont tièdes et les rigoureux aquilons n’y soufflent jamais. L’ardeur de l’été y est toujours tempérée par des zéphyrs rafraîchissants, qui viennent adoucir l’air vers le milieu du jour. Ainsi toute l ‘année n’est qu’un heureux hymen du printemps et de l’automne qui semblent se donner la main » ligne 5-9 et évoque au lecteur dépaysé un monde éloigné du sien qui bouscule ses références. Nous pensons que ce texte se passe dans l’Antiquité « L’Âge d’or » ligne 5 puisque Télémaque

à son destin et assume son pêché. Définitions : Sacrilège : insulte aux dieux ou a quelque chose de sacré Souillure : moralement sale Cithéron : colline qui sépare Thèbes de Corinthe Polybe : roi de Corinthe qui a adopte Œdipe Val : petite vallée Hymen : membrane qui constitue la virginité de la femme, métaphoriquement : mariage.

sauvez-nous. Je sais de quels serments je romps pour vous les chaînes, Combien je vais sur moi faire éclater de haines. Je renvoie Hermione, et je mets sur son front, Au lieu de ma couronne, un éternel affront. Je vous conduis au temple où son hymen s'apprête Je vous ceins du bandeau préparé pour sa tête. Mais ce n'est plus, Madame, une offre à dédaigner : Je vous le dis, il faut ou périr ou régner. Mon coeur, désespéré d'un an d'ingratitude. Ne peut plus de son sort souffrir l'incertitude

et reconnais ce bras Qui t’a déjà vengé de ces petits ingrats ; Ce poignard que tu vois vient de chasser leurs âmes, Et noyer dans leur sang les restes de nos flammes. Heureux père et mari, ma fuite et leur tombeau Laissent la place vide à ton hymen nouveau. Rejouis-t’en, Jason, va posséder Créuse : Tu n’auras plus ici personne qui t’accuse ; Ces gages de nos feux ne feront plus pour moi De reproches secrets à ton manque de foi. Jason Horreur de la nature, exécrable tigresse ! Médée Va

Tu me rapporterais un cœur qui m'était dû » suite à lueur d'espoir elle doute de son amour pour lui l(13) « Ingrat, je doute encore si je ne t'aime pas », mais va accepter l'union des amants à contre cœur certe mais l'accepte l(16) « Achevez votre hymen, j'y consens ». Mais Hérmione fini cette tirade par de l'amertume et un regard critique dans les 4 dernières lignes l(28à31). Pour finir, dans le dernier extrait proposé Bérénice, ne veut plus se battre, elle abandonne comme elle le dit l(2) « Je

dire une telle imposture ? Orgon Mais je veux que cela soit une vérité ; Et c’est assez pour vous que je l’aie arrêté. Mariane Quoi ! vous voulez, mon père ... Orgon Quoi ? vous voulez, mon père ?... Oui, je prétends, ma fille, Unir par votre hymen Tartuffe à ma famille. Il sera votre époux, j’ai résolu cela ; Et comme sur vos vœux je... Scène 2 Dorine, Orgon, Mariane. Orgon Et comme sur vos vœux je... Que faites-vous là ? La curiosité qui vous presse est bien forte, Mamie, à nous venir

pour Titus, et qu’il n’aura jamais la chance de goûter. Bérénice et Titus, eux, sont contraint de se séparer pour une raison extérieure à l’amour. Après la mort de Vespasien, Titus est nommé empereur de Rome. Bérénice et Titus voulaient célébrer leur hymen, cependant le peuple n’approuve pas le mariage avec une non romaine. Titus choisit donc son titre d’empereur et compromet son amour avec Bérénice. Mais il souffre énormément car il aime quand même Bérénice et doit vivre sa gloire avec l’amour impossible

elle a moins de rigueur. M’enlever mes enfants, c’est m’arracher le cœur ; Et Jupiter tout prêt à m’écraser du foudre, Mon trépas à la main, ne pourrait m’y résoudre. C’est pour eux que je change ; et la Parque, sans eux, Seule de notre hymen pourrait rompre les nœuds. Médée Cet amour paternel, qui te fournit d’excuses, Me fait souffrir aussi que tu me les refuses, Je ne t’en presse plus ; et prête à me bannir, Je ne veux plus de toi qu’un léger souvenir. Jason Ton amour vertueux

donne alors à nouveau sa foi à Isabelle. Elle l’a sauvé et ils partent ensemble, quittant tout pour partir en couple. Acte V : L’acte V est assez particulier pour Clindor. On nous fait croire que tous ses vices sont revenus et que malgré son « hyméné » avec Isabelle, il ne soit toujours pas fidèle. Il est infidèle à Isabelle avec la princesse Rosine. Cela ne semble pas surprenant étant donné la déclaration qu’il avait faite à Lyse à l’acte III. Il est de nature à voir ailleurs. Il a besoin de