Hyper Présidentialisation

Parlementarisme à la française et prendre en compte les spécificités françaises. Cela débouche sur notre régime qui est un régime politique particulier qui ne rentre pas dans les cases appelées « mi parlementarisme, mi- présidentielle, semi-présidentielle, hyper-présidentielle ». « sui generis » qui veut dire hors catégories. La Constitution de 58 instaure un régime parlementaire. 1) Le choix en faveur d’un régime à structure parlementaire : La structure du régime est parlementaire puisque l’on trouve

l’on parle d’hyper présidentialisation et d’hyper médiatisation. Pourquoi ? Le PR avait tendance à traiter lui-même de nombreuses questions ce qui réduisait d’autant le mythe du PM.=> d’ailleurs les consignes étaient données directement par l’Élysée au 1er ministre => Sarkozy a qualifier son PM de collaborateur. C’est presque insultant car c’est réduire à une fonction d’assistant ce qui est normalement le chef du gouvernement de la France. => PM : François Fillion => hyper médiatisation dans

peu courcircuité. De par Mitterrand on observait une constante constitutionnelle. Et, la permanence politique s’installait du fait de la désignation d’un Premier Ministre socialiste. Finalement, il appliquera de manière plus insistante la présidentialisation de la Ve République. Puis, Fabius (héritier politique de Mitterrand) sera désigné pour le remplacé et ainsi devenir chef du Gouvernement. _ P. Maurois représentait l’austérité alors que Fabius colportait une image de changement._ Donc

présidentialisme : Le président accélère la réalisation de son programme à cause de la brièveté du mandat ; PM relégué dans un rôle de chef de cabinet ; exercice plus solitaire du pouvoir présidentiel depuis le début du quinquennat, ce qui peut renforcer la présidentialisation du régime.  L’impossibilité de solliciter un troisième mandat consécutif (LC 23 juillet 2008) : Réforme à priori inutile puisqu’à ce jour aucun président n’a sollicité un troisième mandat ; la pratique présidentialiste du régime rend improbable

la V rep a qd mm subit les ouvrages du tps. Elle a mal vieilli car son Parlement a été trop affaibli par la C°, IL faut donc réformer le régime existant, d'autant que l'avènement du quinquennat a conduit à des imperfections du régime, car la présidentialisation du régime est confirmée, voire renforcée, mais il n'y a pas de c/ pouvoir suffisamment fort, qui caractérise le régime US. C'est pq s'impose l'idée que plutôt que d'imposer des révisons ponctuelles, il faut ouvrir un chantier de réformes C°elles

En 1974, lors du sommet de Paris, création du Conseil européen. Il est composé des chefs d’Etats ou de gouvernement des Etats membres. Il définit les orientations et priorités politique général de l’UE. La construction européenne accroit la présidentialisation du régime. Les pouvoirs partagés avec le 1er ministre et le gouvernement Cela exige le contreseing du 1er ministre ou des autres ministres : c’est un héritage des régimes précédant. Avant 1958, le contreseing avait une signification politique

est désormais capable de tenir tête à la communauté internationale et peut donc se permettre d’ignorer les ordres donnés par celle-ci.   III/ La puissance régionale et mondiale de la Chine :  La fin de la guerre froide a laissé place à une hyper puissance américaine avec laquelle la Chine ne peut pas encore rivaliser. On peut constater cela au travers de son effacement dans les grands conflits mondiaux qui ont récemment bouleversés la planète comme la guerre en Afghanistan. Néanmoins, les

système implique aussi l’unicité des autorités politiques. Dans un Etat unitaire on trouve un seul gouvernement, un seul parlement et une seule organisation juridictionnelle. La France est un exemple type, la révolution française a organisé un système hyper centralisé mais ce système fait un déséquilibre entre la ville capitale et différentes provinces entrainant de très nombreux disfonctionnements. Et donc il devient impossible au niveau d’un gouvernement de connaître certaines réalités locales et aussi

n'est pas de même nature, pas idée de rééquilibrer orientation institutionnelle. La précédente révision n'a pas encore fait son effet, logique n'est pas d'un rééquilibrage mais d'une correction du texte. Trois mutations différentes. A- La présidentialisation du régime La Vème République se caractérise par une montée en puissance d'une institution qui est le Chef de l'Etat. Là où ça ne se confirme pas, c'est durant les périodes de cohabitation. Chef de l'Etat peut dissoudre une chambre, mais une

pratique du pouvoir », explique Nicolas Sarkozy, est alors « d'autant plus nécessaire que l'on est passé au quinquennat »  (3) . On retrouve la même idée dans le rapport Balladur qui souligne dès son introduction que le quinquennat a « accentué la présidentialisation du régime »  (4) , ce qui oblige à « une clarification des responsabilités au sein du pouvoir exécutif »  (5) . Même le préfacier de ce numéro des Petites Affiches, Michel Rocard, en convient. La messe semble donc dite. Mais le constat est-il