Hyperbole Cosette

à la pauvre femme afin de l’obliger à lui donner de l’argent, en jouant sur le registre pathétique. Il affirme qu’il « mettrait à la porte la petite Cosette toute convalescente[…] qu’elle crèverait si elle voulait » (lignes 41 – 42 – 43). Il joue donc pour finir, à nouveau sur le contraste entre la douceur et la méchanceté. Le lecteur sait que Cosette n’est pas souffrante et que ce n’est qu’un piège tendu par les Thénardier pour obtenir de l’argent. Il joue sur les sentiments de Fantine. De plus la

Fantine se retrouve également a Montreuil-sur-Mer dans le but de gagner de l’argent pour ensuite livrer une pension à la famille qui garde sa petite fille, Cosette. Les premiers temps de son installation dans cette ville, elle travaille dans l’usine de M. Madeleine. Question 5 : Le secret de Fantine, est bel et bien l’existence de sa fille, Cosette. En effet, plusieurs années auparavant, Fantine avait eu cet enfant avec un homme qui l’avait ensuite abandonnée. N’ayant pas les moyens d’élever son enfant

enfin se prostituer pour aider sa petite Cosette (les Thénardier sont des escrocs en plus => encore plus pathétique).               B- Le roman témoin de l'époque * Au xixe siècle, le roman voulait être un miroir de la société : dénonciation des injustices sociales. Hugo dénonce la misère dans Les Misérables, à travers plusieurs personnages touchants et vivants. Ce ne sont pas des types ; ont leurs défauts et leurs qualités => ressemblent au lecteur. Cf. Cosette, Fantine, Valjean… * Lorsque le roman

développait en elle quelque chose de la bête farouche. Vers le même temps, le Thénardier lui écrivit que décidément il avait attendu avec beaucoup trop de bonté, et qu'il lui fallait cent francs, tout de suite; sinon qu'il mettrait à la porte la petite Cosette, toute convalescente de sa grande maladie, par le froid, par les chemins, et qu'elle deviendrait ce qu'elle pourrait, et qu'elle crèverait, si elle voulait. – Cent francs, songea Fantine! Mais où y a-t-il un état à gagner cent sous par jour? –

vouloir se séparer de son enfant. Les documents 1 et 2 nous apprennent que les mères non mariées sont mal vues par la société de l'époque. Ainsi, le document 2 montre la difficulté de trouver un emploi pour Fantine étant donné qu'elle est seule avec Cosette. Les documents 1, 3 et 4 informent le lecteur que des enfants sont abandonnés dans des hôpitaux. On retrouve une idée commune aux documents 2 et 4: des personnes utilisent la difficulté des mères pour gagner de l'argent en leur laissant croire

fois historique, social et philosophique. On peut voir dans les romans de Hugo un seul combat : celui de l’abolition de la peine de mort. Le passage étudié est le 3ème tome de la série, Fantine jeune fille-mère, malade décide de laisser sa fille Cosette à la famille Thénardier en attendant des jours meilleurs. L’intérêt du passage réside dans la première apparition du couple Thénardier, l’auteur se focalise sur leur description. En quoi la description des époux est-elle obscure ? Dans un premier

garçon de ferme-bouvier, comme homme de peine » La mère de Cosette peut elle aussi incarner l’image de l’ouvrier. Elle doit travailler pour survenir aux besoins de sa fille . « Elle cousait dix-sept heures pas jour mais l’entrepreneur du travail des prisons, qui faisait travailler les prisonnières au rabais , fit tout à coup baisser les prix ce qui réduisit la journée des ouvrières , à neuf sous. La prostituée est la mère de Cosette, Fantine. Elle laissa son enfant à la famille des Thénardier

"Misérables" en deux époques : pour deux comédiens dans la 1ère partie et cinq pour la seconde. L’histoire de la première époque tourne autour de Jean Valjean, depuis sa sortie du bagne ; de Fantine depuis sa jeunesse jusqu' à sa mort et enfin de Cosette, de sa naissance à son départ chez les Thénardier. La seconde époque est tout à la fois l’histoire de Javert qui poursuivra Jean Valjean toute sa vie, celle des Thénardier, de Gavroche et l’histoire de tous les amis du peuple jusqu’aux montées des

Cosette était laide. Heureuse, elle eût peut-être été jolie. Nous avons déjà esquissé cette petite figure sombre. Cosette était maigre et blême. Elle avait près de huit ans, on lui en eût donné à peine six. Ses grands yeux enfoncés dans une sorte d’ombre profonde étaient presque éteints à force d’avoir pleuré. Les coins de sa bouche avaient cette courbe de l’angoisse habituelle, qu’on observe chez les condamnés et chez les malades désespérés. Ses mains étaient, comme sa mère l’avait deviné, « perdues

C’est ainsi qu’il part à la recherche de la fille de Fantine, Cosette, laquelle est sous la surveillance de Thénardier. Il l’adopte et il l’aime comme si elle était sa propre fille. Pendant tout ce temps, il continue d’être un personnage clandestin qui est persécuté par l’agent de police Javert, qui, pendant qu’il était maire, a découvert son secret ; et par Thénardier qui veut profiter de son argent au maximum. Quand Cosette grandit, elle tom