Hypersomnie

dépression ne sont pas loin : elles se surajoutent dans 2/3 des cas. Le traitement le plus souvent proposé est la chronothérapie. *Les hypersomnies sont des insuffisances de sommeil liée à une mauvaise hygiène de vie, qui est fréquente mais facilement repérable, la narcolepsie est à une moindre fréquence l’hypersomnie idiopathique, sont à évoquer. L’hypersomnie idiopathique est une autre

l'absence de régime (p. ex. modification du poids corporel en un mois excédant 5%), ou diminution ou augmentation de l'appétit presque tous les jours. N.B. Chez l'enfant, prendre en compte l'absence de l'augmentation de poids attendue. (4) Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours. (5) Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement intérieur). (6) Fatigue ou perte d'énergie presque tous

s'enfoncer lentement dans un trou noir, ou au contraire brutale (…). La dépression du malade bipolaire se présente couramment sous la forme d'un ralentissement de la pensée et d'un émoussement des sentiments, accompagnés de troubles du sommeil (hypersomnie) et de l'appétit (hyperphagie) ». p83 3.Réflexion /commentaire Mes découvertes : Jusqu'à présent, j'ai toujours entendu parler de dépressions,.Bien qu'ayant une approche incomplète, pour avoir côtoyer des personnes dépressives, les symptômes

57% des cas cela peut aller jusqu'à la provocation sexuelle. La phase de dépression elle, se traduit par une fatigue et un abattement extrême, une détresse profonde, un repli, une perte d'estime de soi et un désintérêt pour tous, accompagné d'une hypersomnie, dans ces périodes là dans 82% des cas le patient a des pensées suicidaires. Ces patients passent-ils à l'acte ? Le risque est aussi bien présent dans phase dépressive que maniaque. La souffrance individuelle est très éprouvante et on estime

stuporeuse. Les symptômes principaux en sont : * Sensation de fatigue chronique * Sentiment d’inutilité, d’impuissance et de désespoir * Problèmes de concentration * Perte ou gain de poids spontanés * Troubles du sommeil ou hypersomnie * Pensées suicidaires ou passage à l’acte * Perte d’intérêt pour les activités sociales ou plaisantes * Sensations de douleurs physiques sans cause organique M : Manie OU épisode OU phase maniaque La Manie au sens psychiatrique

baisse de l'estime de soi, culpabilité, perte d'espoir | Crainte, irritabilité. | Idées de suicide | Habituelles même si les projets précis de passage à l'acte sont relativement rares | Rares | Trouble du sommeil | Hypersomnie ou insomnie de fin de nuit, inversion des rythmes habituels. | Difficultés d'endormissement, réveils nocturnes multiples | Psychomotricité | Ralentissement | / | Age de début | 30/40 ans | Adolescence | Concentration

avortements spontanés, Accouchements prématurés. B-AUTRES : Hyperinsulinisme + intolérance au glucose, hypothyroïdie, goitre. 7-SYSTEME NERVEUX :A-SNC :1. Paralysie de la verticalité du regard.1. Surdité centrale totale.1. Hypersomnie diurne.1. Hypoventilation nocturne ± apnée du sommeilB-SNP :1. Atteinte nerveuse sensitivo-motrice: ROT parfois diminués précocement, sont cependant conservés chez la plupart des patients, puis ils s’abolissent avec l’évolution, les troubles de

entrâiner une souffrance ou un dysfonctionnement notable. Les symptômes : Au début : - après un facteur déclenchant (au moins lors des premiers Episodes), - installation en 2 à 4 semaines, - avec malaise interne grandissant, idées de suicide, hypersomnie (ou insomnie matinale), Durant la phase d’état : trois axes symptomatiques : 1) les affects, la douleur morale : contenus cognitifs et émotionnels à type de douleur morale se caractérisant par : ennui, regrets permanents et profonds, pessimisme

certaines particularités qui permettront de distinguer le trouble bipolaire aux autres états dépressifs. Un début précoce, asocier souvent à un risque suicidaire et à des éléments psychotiques. De plus dans les symptômes on retrouvera plus souvent une hypersomnie, une hyperphagie, un ralentissement moteur, un émoussement affectif, troubles plus important le matin et enfin un risque de virage de l’humeur sous antidépresseur. B) L’épisode maniaque Elle est définit ici par le contraire simple de l’épisode

quelquefois début aigu favorisé par une surcharge glucidique.   Phase d'état : 3 ordres de signes neurologiques sont associés à des degrés variables : * des troubles psychiques : confusion mentale, quelquefois ralentissement idéomoteur avec hypersomnie. L'existence de fabulations, troubles de la mémoire, avec fausses reconnaissances évoquant un syndrome de Korsakoff est évocateur. * troubles de la marche : liés essentiellement à un syndrome cérébelleux ; peuvent être aggravés par une polyneuropathie