Hypnose

pharmacologiques proposées par Bonapace (2010), (a) Le contrôle de la pensée qui est un outil indispensable pour la gestion de la douleur : Les femmes sont encouragées à activer ce mécanisme via la respiration, la relaxation, l’imagerie mentale et l’auto-hypnose ; (b) la théorie de portillon : Des stimulations non douloureuses de la zone douloureuse bloquent une partie des messages nociceptifs qui se rendent au cerveau et ; (c) le contrôle inhibiteur diffus nociceptif (CIDN) : Lorsqu’une seconde douleur est

l'inquiétude du Professeur Jules Liégeois, de la Faculté de Droit de Nancy, qui demanda à travailler en étroite collaboration avec ladite équipe médicale afin de pouvoir étudier toute éventualité d'actes criminels qui pourraient être suggérés sous hypnose. Le Professeur Liégeois rédigea ainsi sur cette question un traité assez édifiant, de plus de 800 pages ! -9- Enfin, les expériences mêmes de Charcot ne purent faire illusion auprès de l'équipe Nancéienne, puisque le Dr Dumont dirigeait l'asile

donné sous hypnose est réalisé à l’état de veille, quoique inconsciemment). Or sous hypnose, il est possible de stopper, voire de changer les symptômes d’un malade. C’est donc que le trouble est nerveux et non physique. - grâce à Breuer (1842-1925), qui utilise aussi l’hypnose, Freud comprend que les symptômes sont liés à des pensées inconscientes qui troublent le malade. Ex. Breuer essaie de mettre Anna (sous hypnose) sur la piste

cathartique Freud et Breuer Freud et Breuer ne peuvent se résoudre à laisser ces patients sans soins. Ayant remarqué que dans ses périodes de crise la malade prononçait des paroles incompréhensibles, Breuer et Freud on l'idée de les leur répéter sous hypnose. Ceci déclenche chez le malade un récit à vive tonalité affective. Le patient se réveille généralement en manifestant son émotion (colère, dégoût, chagrin, joie) et se trouve guéri provisoirement de ses symptômes. Freud et Breuer appellent leur nouvelle

qu’elle a vécu, en résumant : Anna O, dans son rêve se sentait incapable de bouger sa main pour chasser un animal, et en regardant sa main anesthésiée ses doigts se transformèrent en petits serpents avec des têtes de mort. Le rappel de cette scène sous hypnose, fit disparaître la contracture du bras droit. Par ailleurs, Freud commença à compléter le traitement de Breuer par ses propres expériences : Une dame de 40 ans environ avait un tic, un étrange claquement de lan¬gue, qui se produisit sans cause

les années 1880 ,a vécu des aventures incroyables et inconscientes à travers toute l’Europe (et même l’Algérie) sans pour autant être dans un état normal. Il a vécu des voyage « pathologiques » ne se rappelant leur contenu que dan un état second (hypnose). b) Structure de l’œuvre Ce livre est divisé en plusieurs parties : -D’abord nous trouvons l’œuvre en elle-même composé elle-même de quatre chapitres : -Le premier fugueur :ce premier chapitre s’intéresse surtout à Albert (sa vie,ses voyages

«tonnerres», « panique », « bébé blessé » d'ailleur le mot « violon » et « violent » sont très proches; et où les sons dévorent tels les poissons gloutons, « le ventre affamé » ou encore le tunnel qui l' « engouffre ». Michaux se réveille de cette hypnose dans laquelle il a été aspiré. C'est ce qui caractérise aussi le fantastique. « Tout à coup » ces sons, les mêmes sons qui l'ont charmé le ranime. C'est ce qui créé la distanciation et donc ce qui les sépare. La tension dramatique était incroyable

typique de l'univers imagé, ils font naître d'étonnants « l'acétylène est un œillet blanc » et d'épatants « L'électrolyse la belle aurore / Ballon des fumées des faubourgs ». Robert Desnos, lui, à l'occasion de séances où il est plus ou moins sous hypnose, travaille beaucoup sur les mots, les sons, comme dans son poème « Rrose Sélavy, etc. » où il s'amuse à réécrire 11 fois la même « phrase » dans différentes orthographes : « Rr'ose, essaie là, vit. / Rôts et sels à vie. / Rose S, L, have I. / Rosée

lieu de volonté. ». Ce fut pour augmenter l’obéissance et les souder tous dans la fusion non personnelle, non privée, qu’engendre toute musique. Ce fut une musique rituelle… La musique, écrit-il était ressenti comme un « maléfice ». Elle était une « hypnose du rythme continu qui annihile la pensée et endort la douleur ». Comment entendre la musique, n’importe quelle musique, sans lui obéir ? » Les attributs d’une musique de propagande Les Allemands ne furent ni les seuls, ni les premiers à se servir

d'artiste m'avait-on dit une fois, et des chaussures italiennes. Mon but – et je ne m'en cache pas – a toujours été de ressembler à ces mecs sur les photos de revues de mode ; j'aime l’élégance, même pour un homme, c'est un détaille qui compte. Sous hypnose, on ne voit pas les caméras. Je suis comme un mort dans un bocal à poisson.