Hypocondrie

névroses des psychoses. S’agissant des névroses, ce sont des dysfonctionnements psychiques dont une personne a conscience, qui entrainent une perturbation de sa personnalité mais sans pour autant l’empêcher de vivre normalement. Exemples : hystérie, hypocondrie, phobie. Les psychoses sont un trouble mental grave et invalidant qui altère la personnalité du sujet et l’empêche de communiquer normalement, de manière rationnelle avec son entourage. Quelques types de névroses dans le passage à l’acte : La

musculaires, l'irritabilité, l'apathie, la sensibilité au bruit, et les douleurs liées à la faim (notamment à l'estomac)[2]. Les tests de personnalité révélèrent que les individus affamés éprouvaient une forte poussée de la « triade névrotique » (hypocondrie, dépression, hystérie), et les sujets notèrent une baisse notable dans leur volonté d'activité et une baisse spectaculaire de l'appétit sexuel[3]. Les revues successives de cette expérience montrèrent que d'autres sujets subissaient de grandes déviations

anormaux ou pénibles. L’attention du sujet se concentre habituellement sur un ou deux organes ou systèmes. Il existe souvent une dépression et une anxiété importantes, pouvant justifier un diagnostic supplémentaire. Dysmorphophobie (non délirante) Hypocondrie Névrose hypocondriaque Nosophobie Peur d’une dysmorphie corporelle À l’exclusion de : dysmorphophobie délirante (F22.8) idées délirantes stables concernant le fonctionnement ou la forme du corps (F22.–) 370 ATIH. Mises à jour CIM–10 01–01–2007

HYPERTHERMIE (voir : FIÈVRE) _________________________ 231 HYPERTHYROÏDIE (voir : THYROÏDE — HYPERTHYROÏDIE) HYPERVENTILATION (suroxygénation) (voir aussi : ACIDOSE, ANXIÉTÉ, FIÈVRE) _231 _231 232 HYPOACOUSIE (voir : OREILLES — SURDITE) HYPOCONDRIE (voir aussi : AGORAPHOBIE, ANXIÉTÉ, DÉPRESSION, HALLUCINATIONS) 232 HYPOGLYCÉMIE (voir : SANG — HYPOGLYCÉMIE) HYPOPHYSE (voir : GLANDE PITUITAIRE)_____________________

DANIELEWSKI Mark Z 1 www.comptoirlitteraire.com présente ‘’Orlando, a biography’’ (1928) ''Orlando'' (1929) roman de Virginia WOOLF pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 8) l’intérêt de l’action (page 9) l’intérêt littéraire (page 18) l’intérêt documentaire (page 27) l’intérêt psychologique (page 35) l’intérêt philosophique (page 39) la destinée de l’œuvre (page 45) Bonne lecture ! http://www.comptoirlitteraire

« La France demande avant tout de la tranquillité. » Bonaparte commettait des actes tendant à l’usurpation, mais le parti de l’ordre se rendait coupable de « désordre » lorsqu’il protestait bruyamment contre ces actes et qu’il les commentait avec hypocondrie. Les saucissons de Satory seraient restés muets si personne n’en avait parlé. « La France demande avant tout de la tranquillité. » Par conséquent, Bonaparte demandait qu’on le laissât tranquillement faire, et le parti parlementaire était paralysé

désorganisent-elles d'une façon quelconque ces rouages, qu'il s'agisse du cœur, des intestins, de la veine porte, des vésicules séminales, on voit s'ensuivre les préoccupations, les caprices et les chagrins sans objet, c'est-à-dire l'état qu'on nomme hypocondrie. De même, par exemple, la colère se manifeste par des cris, une attitude énergique, des gestes violents; mais ces manifestations physiques accroissent de leur côté cette passion, ou la déchaînent à la moindre occasion. Je n'ai pas besoin de dire

ravageur. Il me pousse vers ma pente naturelle. Je résiste mais de jour en jour je redeviens le mauvais élève que j’essaye de décrire. Les symptômes sont rigoureusement pareils à ceux de mes treize ans : rêverie, procrastination, éparpillement, hypocondrie, nervosité, délectation morose, sautes d’humeur, jérémiades et, pour finir, sidération devant l’écran de mon ordinateur, comme jadis devant l’exercice à faire, l’interro à préparer… Je suis là, ricane le cancre que je fus. Je lève les yeux. Mon

névrose d’angoisse, telle que je la conçois, peut, en partie, se confondre avec la névrose décrite dans certains exposés à côté de l’hystérie et de la neurasthénie et dénommée « hypocondrie ». Toutefois, je ne considère aucune des descriptions faites jusqu’à ce jour comme exactes et je trouve qu’en n’attribuant au mot hypocondrie que le sens d’une « peur des maladies » on en limite fort la portée. Après m’être ainsi formé de la neurasthénie, de la névrose d'angoisse ; et des idées obsessionnelles, une

désorganisent-elles d'une façon quelconque ces rouages, qu'il s'agisse du cœur, des intestins, de la veine porte, des vésicules séminales, on voit s'ensuivre les préoccupations, les caprices et les chagrins sans objet, c'est-à-dire l'état qu'on nomme hypocondrie. De même, par exemple, la colère se manifeste par des cris, une attitude énergique, des gestes violents; mais ces manifestations physiques accroissent de leur côté cette passion, ou la déchaînent à la moindre occasion. Je n'ai pas besoin de dire