Hypocondrie

précédente - « névrose d’abandon » : appartient au registre anaclitique. - « névrose d’échec » : manifestation répétitive de type masochiste ou autopunitif (( non érotisé), aurait du être appelée « comportement d’échec » - « hypocondrie névrotique » : mouvement dépressif réactionnel lors d’une cure de structure névrotique (rarement psychotique) ou bien, le plus souvent, organisation anaclitique tombant dans le versant dépressif dès qu’apparaît l’angoisse de perte d’objet.

personnalité histrionique) - Personnalité histrionique : mode général de réponses émotionnelles excessives et de quête d’attention. - Paraphilie : terme employé de nos jours aux Etats-Unis à la place du mot perversion, sens péjoratif. - Hypocondrie : tendance maladive à se préoccuper de sa santé et de maladies, souvent imaginaires. Etude de cas n°3 : Nymphomanie / Fétichisme / Homosexualité 1er cas : Nymphomanie Terme masculin : satyriasisme. Plus utilisé aujourd’hui dans les

MALADIES MENTALES On peut dire que le 20ème siècle était comme le sera le 21ème, le siècle des maladies mentales. Elles sont tellement nombreuses et tellement variées qu'on peut difficilement en faire une liste : Nervosité, neurasthénie, névralgies, hypocondrie, hystéries, folie, paralysies, dépressions, angoisses, anxiété, on pourrait en mettre des pleines pages et si on ajoute à cela les maladies psycho-somatiques, la page n'y suffirait pas. Ca va de la personne qui cause trop à celle frappée de mutisme 

importance à la sémiologie. Ils invitent à observer, plutôt que spéculer: poser les choses et ne pas chercher à les analyser tout de suite. Ils vont établir une certaine proximité entre la pathologique et le normal, sous la forme d'un continuum. Ex: hypocondrie: problème extrême d'anxiété spécifique à la santé Il y a différents niveaux d'hypocondrie. Lacan: « L'inconscient ça rit, ça rêve et ça rate » Théodule Ribot (1839-1916), est le père fondateur de la psychologie française, qu'il voit comme une

plaintes somatiques persistantes ou par une préoccupation durable concernant la normalité physique. Des sensations et des signes physiques normaux ou anodins sont souvent interprétés par le sujet et par son entourage comme étant anormaux. Inclure :- Hypocondrie- nosophobie- peur d'une anomalie corporelle.Exclure :- troubles psychosomatiques (8.0)- troubles psychofonctionnels (8.1)- syndrome de Münchhausen par procuration.- dysmorphophobie névrotique (à classer en 2.2) ou délirante (1.1)Correspondance CIM

style défensif particulier peut être associé à une pathologie particulière ; certains mécanismes de défense sont fonctionnels, d’autres sont « dysfonctionnels » (PERRY et COOPER, 1989) ; certains de ces mécanismes sont « immatures » (projection, hypocondrie,...), d’autres sont « névrotiques » (intellectualisation, répression, formation réactionnelle) d’autres enfin sont « matures » (sublimation, humour, suppression). Quelques travaux empiriques semblent valider cette hiérarchie, les individus utilisant

soi et du vécu corporel -dépersonnalisation : sentiment d’étrangeté, de n’être plus soi-même, concerne l’intégrité psychique (desanimation) ou physique (desincarnation), avec perte de familiarité avec l’ambiance de la réalité (déréalisation). -hypocondrie : conviction de l’atteinte de l’intégrité et/ou de l’état de santé du corps, qui peut prendre la forme de préoccupations obsédantes, anxieuses voire délirantes. -dysmorphophobie : préoccupation obsédante portant concernant l’apparence corporelle

d’aliénation, mais selon leurs positions dans la progression diachronique de la dégénérescence. Dans la première génération, tempérament nerveux, irritabilité, violence; deuxième génération: déficiences nerveuses plus graves, épilepsie, hystérie, hypocondrie; troisième génération: dispositions innées à la folie, tendances soumises à l’instinct et «de mauvaise nature», ce qu’on appellerait aujourd’hui un pervers, et puis finalement, très souvent dès la quatrième génération, idiotie complète (ou imbécillité)

projection, rationalisation, intellectualisation.. * Deuxième étape Les hiérarchies défensives : Vaillant (1977) : 1) Les défenses psychotiques (project° délirante, déni, distors°) 2) Les défenses immatures (fantaisie, projection, hypocondrie…) 3) Les défenses névrotiques (dissociation, rationalisation…) 4) Les défenses matures (sublimation, humour, suppression…) Haan (1977) : Hiérarchie adaptative renvoyant à des processus cs ou incs 1) Coping cs, souple et ayant un but

générations Diapo 136 Crise du milieu de la vie (45/55 ans) ou crise de la maturité : le sujet s’aperçoit que le temps passe incroyablement vite et qu’il doit renoncer à tout ou partie de ce qu’il pensait un jour réaliser. Angoisse de la vieillesse (hypocondrie, dépression nosophobie). Démon de midi (recherche de nombreux partenaires). Diapo 137 Bilan existentiel : minoration des réussites, emphase sur les échecs, sentiment d’inutilité, absence de projets pour l’avenir qui se marquent parfois dans l’hyperactivité