Hypocrisie

a) Propagande de la presse - cr?tion et diffusion de mensonges ? imposer l'erreur ? (l.14) b) Diffusion de l'antis?itisme par la presse - ? fripouilles de Paris ? (l.10): presse nationale entre des mains antis?ites et intol?antes => Hypocrisie de la presse anti-dreyfusarde et conditionnement de la foule ? ?arer l'opinion ? (l.14) III L'avenir de la France a) Mise en ?idence de la dimension dangereuse de cette justice autoritaire b) Risque de r??ition de ce jugement arbitraire

Intro. Moliere s'inspire du denouement de dom juan de c'est prédécesseurs (cf, tirso de molina, dorimont, villiers..) Feux scènes fibales qui suivent les passages dans lequels le heros revendique son hypocrisie devant sganarelle et s'attaque ensuite à dieu, arrivant au paroxysme de son vise. Dans ce dénouement, le divin se manifeste par l'apparition d'un spectre (+ la statue du comandeur) contre les quels le héros livre un dernier combat avant sa chute. Le tragique semble dominer, mais plusieur

préféra se convaincre qu’il n’était pas amoureux de madame de Tourvel pour ne pas faillir à sa réputation de « Dom Juan ». Ce besoin de « paraître » aux yeux de la société est très prononcé chez la marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont Hypocrisie : Tout le film est basé sur des complots, et pour réaliser ceci il faut beaucoup de fourbe, de malice, et d’hypocrisie, afin de tromper et de manipuler les victimes du vicomte de Valmont et de la marquise de Merteuil. La marquise de Merteuil

totalement ingénu. - la violence, l’horreur : Voltaire qualifie la guerre d’une “boucherie héroïque”... un oxymore qui démontre bien que la guerre n’est pas pour tout le monde une chose à bannir de la Terre, ce qui est fortement critiqué. - une hypocrisie : Voltaire condamne le fait que la guerre ne soit pour les dirigeants qu’une vulgaire partie d’échecs, et que celle-ci se fait sous la bénédiction de l’Eglise. La guerre n’est qu’arbitraire, on se bat sans raison. Voltaire dénonce également l’intolérance

mots continuent de coexister et cela s'explique par le côté ambigu de l'image véhiculée par la politesse (ou le savoir-vivre). D'un côté, la politesse est ressentie comme un acte de convivialité et de respect nécessaire ; et d'un autre comme une hypocrisie qui pousse à faire semblant : d'être content de rencontrer ses partenaires, de les trouver intéressants, de trouver belles les femmes, d'être satisfait du cadeau qu'on reçoit ou du repas qu'on vous sert, etc. La politesse véhicule donc à la fois

et pourraient aisément être supprimées. - Bienséance (ni violence, ni grossièreté, ni offense à la morale, ni mélange de classes sociales) : mort de DJ, scène de repas (grossier), insulte au père, au mariage, à l’honnêteté, à la tempérance, hypocrisie, mensonge, séduction, blasphème, …et mariage (tentative) avec des paysannes !! - Vraisemblance : on nage dans le fantastique ! Mélange des genres (que ne tolère pas le classicisme) : farce, comédie, tragi-comédie (conflit amour/honneur

l'achat : somme ridicule et soumission des Noirs. • Les religieux : « fétiches ». Syllogisme : « tous enfants d'Adam et Ève » => tous cousins => tous traités de la même façon, or ce n'est pas le cas. ◦ Décalage pensée colonisateur/réalité => hypocrisie. • Noirs < animaux. IV - Conclusion => Étape décisive • Prise de conscience qui mène à une autonomie de pensée. • Originalité du passage => l'esclave a la parole. Il est rationnel et digne. • Conte : support de dénonciation de l'esclavage

revendique la liberté d’expression dans Le Barbier de Séville quand on apprenait qu’il avait été renvoyé parce qu’il faisait des poèmes alors qu’il travaillait dans le domaine des affaires. Il critique aussi les censeurs directement ainsi que leur hypocrisie et cette critique est à rapprocher avec celles des « puissants » car ils acquièrent un certain pouvoir en faisant taire les personnes dont les idées ne leurs conviennent pas.

chagrin et aussi le rapport entre la haine des hommes et l'amour pour la femme. C'est donc de sa , qu'est né le personnage d'Alceste. 1- Analyse des personnages : ALCESTE : C'est l'amant de Célimène. Il prétend se comporter sans hypocrisie . Il déclare : « je hais tous les hommes/Les uns , parce qu'ils sont méchants et malfaisants/Et les autres pour etre aux méchants complaisants/Et m'avoir pas pour eux ces haines vigoureuse/ Que doit donné le vice aux âmes vertueuses » dit-il dans

deux notions qui doivent être mises sur un même pied d'égalité. Il est vrai que la notion de politesse est assez ambiguë. « D'un côté, la politesse est ressentie comme un acte de convivialité et de respect nécessaire ; et d'un autre comme une hypocrisie qui pousse à faire semblant : d'être content de rencontrer ses partenaires, de les trouver intéressants, de trouver belles les femmes, d'être satisfait du cadeau qu'on reçoit ou du repas qu'on vous sert, etc. » Tout comme il est vrai que parlant