Hypocrisie

SEQUENCE 3 : Le texte théâtralMolière Tartuffe : 1664 SEANCE 1 : Le contexte d’écriture de Tartuffe :Ecrite sous la royauté règne de louis 14. C’est une pièce autours du pouvoir. Cela traite des dévots : des hommes attachés à la religion qui sont au service de celle ci. Molière parle plus particulièrement des faux dévots : des personnes qui se font passer pour des religieux et qui utilisent la religion à des fins personnelles.Au 17ème siècle le roi a un doit divin :

qui fait de lui un bon orateur et sa détermination en est d'autant plus surprenante, seul le plaisir de séduire l'intéresse, lorsqu'il a eu ce qu'il voulait il abandonne son objet gagné. Il incarne donc le parfait libertin,il est aussi dans une hypocrisie totale, il ne se soucie de rien et rien ne l'arrête, ni son père, ni Sganarelle et ni les menaces qu'il reçoit du Ciel ne le feront changer. Son comportement est due au fait qu'il veut défier le Ciel, il veut que le Ciel vienne à lui pour pouvoir

Bourgeois médiocres Rapport des classes  Exploitation des ouvriers, du prolétariat, par les riches bourgeois  Impossibilité d’échapper à la misère, de changer de classe  Déchéance toujours possible Mœurs  Ambition – égoïsme – hypocrisie  Perte des valeurs morales au profit des valeurs capitalistes  Tares héréditaires (la physiologie influence la psychologie) – soumission aux impulsions, aux passions viles  Impossibilité de l’amour (ça ne marche jamais) Vision matérialiste

seigneur · l. 129 → Figaro met en accusation une noblesse pleine de vices 2) Une critique sociale · Justice corrompue qui traduit les disfonctionnement de la société → lexique manipulation et mensonge « mensonge » « ignorer », « intrigue » ·hypocrisie politique → antithèses dans la tirade de Figaro qui montrent que le politique n’est qu’intrigue et jeu de simulacre. · questions rétoriques de Figaro qui insistent sur la dimension accusatrice de la tirade aux lignes 148, 173 3) Figaro, le pouvoir

l’hypocrisie de Tartuffe. Conclusion : Molière dresse le portrait de l’hypocrite à travers le regard naïf d’Orgon. En effet Orgon loue les mérites d ‘un présumé dévot. Ce Tartuffe se faisant passer pour vertueux laisse transparaitre son hypocrisie par un comportement trop ostentatoire pour être vrai. C’est un acteur motivé par le regard du spectateur, c’est aussi un prédateur dont Orgon, qui s’est totalement entiché de lui, est la proie.

exigence sociale (on apprend à un enfant la politesse, parce qu’un adulte impoli est socialement mal considéré). Pourtant, si on la considère dans son contenu, la politesse semble n’être qu’un art de faire illusion, de sauver les apparences, bref une hypocrisie (lorsque nous disons « bonjour » à quelqu’un, lui souhaitons-nous sincèrement de passer une bonne journée ?). Souvent nous ne pensons pas à ce que nous disons, nous sommes polis par habitude ou par intérêt, indistinctement envers tout le monde.

imaginaire Eloge des valeurs + blâme du réel + LECTURE 4 – question 5 – annonce du plan I – Un monde merveilleux - Eldorado, monde heureux et épanouissant => Paradis ≠ hypocrisie et cruauté - Champ lexical des Pierreries : « Argent » (l.7), « or » (l.8), « rubis et d’émeraudes » (l.10) - Une cité en sûreté : « nous sommes entourés de roches inabordables et précipices » (l.27-28) - Architecture esthétique :

tournent autour de votre femme, d’ailleurs, votre femme, malade, vous n’avez que pensé au bien être de votre tartuffe. Comme je vous le dis mon frère il y’a des faux dévots et des faux braves mais ne voyez-vous pas la différence entre dévotion et hypocrisie ? Il faut vous réveiller mon frère, cessez de jeter des fleurs à cet individu qui ne fait que de porter un masque. D’après ce que vos enfants mon raconté, on ne peut même pas avoir une conversation avec lui. Il dit avoir toujours raison et n’en

réellement les valeurs universelles auxquelles ne cessent de se référer les Occidentaux, mais l’idée qu’ils en seraient les uniques représentants. Les concepts d’intervention humanitaire et de « responsabilité de protéger » ont euxmêmes souffert de cette hypocrisie politique. La Chine de son côté n’a voté qu’avec prudence les résolutions lorsqu’elles lui paraissaient ne pas franchir les lignes rouges du respect de la souveraineté des États, critiquant ensuite l’usage qui en fut fait et les dérives impériales

Cet acte est le dernier, on y retrouve les deux personnages principaux le Misanthrope et Célimène que Molière a uni dans cette pièce utilisant ainsi un procédé original car ceux sont deux personnes opposées : l’une critiquant les hommes et leur hypocrisie, leur mondanité et l’autre étant médisante. Mais dans les 4 scènes de l’acte, cette union est remise en cause. Scène 1 : Les thèses : Philinte et Alceste sont d’accord sur une constatation : Les hommes devraient être faits d’autre sorte . Mais