Hypothyroïdie

IMG proposée IMG discutée RASSURER malgré le sur-risque statistique possible de cancer IMG proposée Injection de PDC et grossesse (CIRTACI) PDC iodé : Tératogénicité non démontrée sur l’animal. Risque de dysthyroïdie fœtale transitoire (hypothyroïdie après 12 SA). Si indication TDM injectée : possible quelque soit le terme Pour EP : angioscanner irradie moins que la scintigraphie pulmonaire. Prévenir les pédiatres si injection après 12 SA (surveillance de la fonction thyroïdienne du nouveau

grossesse. Surveillance échographique et biologique de la grossesse. Qualité des soins en obstétrique, pendant la période néo-natale et chez le nourrisson. Dépistage précoce, à la naissance, d’anomalies telles que la phénylcétonurie et les hypothyroïdies congénitales. ► Des facteurs environnementaux : L'hospitalisme est devenu exceptionnel en France. Les carences affectives intrafamiliales sont plus fréquentes : elles surviennent dans des situations de vulnérabilité de la mère et du milieu

primitive implique une enquête familiale pour dépister efficacement les apparentés éventuellement affectés. ● ● Tableau 2. Principales causes d’hyperlipidémies secondaires Hyperlipidémies secondaires • avec hypercholestérolémie prépondérante -hypothyroïdie (TSH us) -cholestase (gamma GT, phosphatases alcalines) • avec HTG prépondérante -diabète de type 2 (glycémie à jeun systématique) -obésité abdominale (IMC, tour de taille) -syndrome néphrotique (bandelette +/protéinurie) -insuffisance rénale (créatininémie)

ischémique ou hémorragique • Infectieuse ou parasitaire : méningite bactérienne ou virale… • Métabolique : troubles de la glycémie, étiologies respiratoires (hypercapnie, hypoxémie), dérèglements de la température, causes endocriniennes (hypothyroïdie…), insuffisance hépatique ou rénale • Toxique : prise de médicament ou d’un toxique responsable d’une altération de la conscience (alcool, benzodiazépines, barbituriques…) • Processus expansif : tumeur, hydrocéphalie 3/ Vécu du patient :

est égal à 25/30. Mme Henriette était standardiste. Sur le plan médical : Dépression ancienne. Cataracte et glaucome bilatéral. AVC en 2002 avec syndrome pseudobulbaire. Trouble du rythme cardiaque. Hypoaccousie. Hypothyroïdie. Sur le plan cognitif, Mme Henriette présente des difficultés exécutifs et un trouble de récupération des informations en mémoire. Les autres fonctions cognitives sont normales. Sur le plan psychique, Mme Henriette peut dire qu’elle n’a pas

(convulsions, délire, hallucinations, psychose), réactions cutanées allergiques.  Cordarone® (anti-angoreux, anti-arythmique) : 1 cp/j, le matin du lundi au vendredi E.I : Micro dépôts cornéens, photosensibilisation, pigmentations cutanées. Hypothyroïdie, pneumopathie.  Loxen® 50 mg LP (anti-hypertenseur) : 2 cp/j, 1 le matin, 1 le soir  Loxen® 20 mg (anti-hypertenseur) : 1 cp si PA > 180/110 mmHg (au maximum 3 cp/j) E.I : Sensations vertigineuses, OMI, céphalées, bouffées vasomotrices

* Rectocolite hémorragique * Vers intestinaux * Métabolisme et diabète * Acidocétose diabétique * Diabète de type 1 * Diabète de type 2 * Goutte * Hémochromatose * Hyperthyroïdie * Hypothyroïdie * Obésité * Nez, gorge et oreilles * Acouphènes et bourdonnements d’oreille * Angine et mal de gorge de l’adulte * Bouchon de cérumen * Cancer du nez, de la bouche et de la gorge * Enrouement de l'adulte

Hyperthyroïdie : - maladie de Basedow - origine auto-immune - surcharge iodée - origine médicamenteuse - anomalie congénitale (rare) | - tremblements des extrémités - tachycardie - sensation de chaleur intense - perte de poids | | Hypothyroïdie : - tissu thyroïdien absent ou devenu improductif après irradiation du cou - thyroïdite de Hashimoto | - épaississement de la peau du visage et du cou - teint pâle, cireux - peau sèche et froide - cheveux ternes et cassant - prise de

infectieuse (virus d’Epstein - Barr) • Hypersomnie symptomatique d’une dépression (fatigue chronique et clinophilie) • • Hypersomnie iatrogène (psychotropes) • Hypersomnolence post traumatique • Hypersomnolence liée à une maladie endocrinienne (diabète, hypothyroïdie) • Hypersomnolence liée à une maladie neurologique (Parkinson, Alzheimer) • Hypersomnolence liée à une tumeur encéphalique ÉPIDÉMIOLOGIE • La narcolepsie est la plus connue des hypersomnies. Sa prévalence n'est pas encore connue avec certitude

famille des hormones thyroïdiennes. Il est principalement utilisé comme traitement substitutif pour remplacer la thyroxine naturelle lorsque celle-ci n'est plus sécrétée en quantité suffisante par la thyroïde. Cette insuffisance de sécrétion, ou hypothyroïdie, peut être due à la thyroïde elle-même ou à l'insuffisance d'une autre glande qui commande la sécrétion thyroïdienne (maladie ou ablation de l'hypophyse). Il est également utilisé lorsque l'on veut freiner l'action excitatrice de l'hypophyse sur