Héros Moderne Anti Héros

viennent à dépecer Grenouille et à le manger. Une demi-heure plus tard, Grenouille disparaît de la surface de la Terre. Les personnages[modifier] Jean-Baptiste Grenouille : personnage principal de l'histoire, il est doté d'une forte ambivalence, héros/anti-héros. Possédant un odorat extraordinaire, et ne possédant lui même aucune odeur, sa vie entière sera menée dans la violence et l'incertitude, avec pour but ultime la création du parfum parfait. Néanmoins, une fois son œuvre accomplie, sa vie n'aura

monde réel, le féerique est un univers merveilleux qui s’ajoute au monde réel sans lui porter atteinte ni en détruire la cohérence » . Les définitions des deux genres sont donc en fait opposées. Le fantastique ne peut inquiéter que dans un monde moderne réglé par la science ; le merveilleux relève d’un état de civilisation très ancien où rien encore n’est expliqué. Le fantastique installe un climat de peur, d’épouvante dans un monde le plus réaliste possible, alors que le merveilleux sous-tend une

roman, sans pour autant oublier les aspects sociaux et politiques qui entourent, façonnent et déterminent ces idées. Si l’idée de décadence est déterminée par la société décrite, elle se trouve également au coeur du travail de l’artiste, héros (ou plutôt anti-héros), mais aussi, enfin, dans l’écriture même du roman, reflet d’une angoisse, inhérente à tout artiste.     1) La société de la décadence.   Fasciné par la Comédie humaine de Balzac, Zola chercha très tot à imaginer une oeuvre semblable

qu’une façade qui sert à se protéger (Tourvel). Le roman est écrit et conçu du point de vue du mal, de la méchanceté. Le caractère méthodique de la méchanceté des deux anti-héros suscite chez le lecteur un fascination ambiguë, mêlée d’effroi et de fascination. L’intelligence pure de madame de Merteuil est au service du mal. Les deux héros refusent le destin, veulent faire leur futur, répètent sans cesse les terme : projet, dessein, plan…La fin morale, fabriquée par Laclos (pour ne pas être censuré) ne

| | |roman | | |HEROS ?|Pas au sens traditionnel du terme : aucune valeur n’est |Tarrou et Rieux sont profondément humains, présentant des valeurs positives (altruisme,| | |réellement proposée aux lecteurs (courage, force morale,... ),|don de soi, générosité)

épisodes en échos (A) et par des digressions (B). A) La présence d'épisodes en échos La composition de l'ouvrage est intrinsèquement complexe, beaucoup plus composite que ne le suggère l'impression initiale. Ainsi, au cœur même de l'éducation du héros retrouve-t-on une distinction entre l'éducation réalisée par les sophistes et celle du pédagogue Ponocrates. Puis, l'éducation dispensée par Ponocrates est elle aussi double : d'une part les jours ordinaires et d'autres part les jours pluvieux, dans

conscience n'est autre que la faculté humaine de penser et de juger. Elle est selon l'étymologie ou cumscienta celle qui nous permet d'être présents à nous-mêmes, d'agir et non de simplement réagir tel un être devenu étranger à lui-même. Meursault, héros ou anti-héros du roman de Camus L'étranger, vit au quotidien en étant spectateur indifférent à tout ce qui se déroule en lui et autour de lui; son existence se déroule dans une forme de passivité étonnante. Être conscient nous offre une hauteur par rapport

chef pieux, autoritaire et bon, le chevalier Roland courageux, désintéressé, profondément humain. Thèmes : thème de la féodalité, un idéal de foi : la croyance religieuse, la fidélité jurée : la hiérarchie et la loyauté, souligner la bravoure du héros et l’idéal chevaleresque Double fonction : - entretenir un idéal chevaleresque Permettre à chaque copiste ou chanteur de compléter ou modifier le poème à sa guise, comme il ou elle veut La littérature satirique La littérature satirique

grande majorité des lecteurs : cela concourt donc à l’effet de réel et indique la qualité très ordinaire des personnages, et trop ordinaire de Charles (cf. II et III) : rien d’extraordinaire ici ; nous ne sommes pas dans une épopée à la gloire d’un héros, mais dans un roman réaliste qui enregistre la banalité du quotidien. 4 Transition : le réalisme du récit et la transformation de cette entrée de Charles en une véritable entrée théâtrale permettent de rendre sensible tout le ridicule du personnage

Hommes auxquelles le sacré échappe par définition puisqu’il est considéré comme autre. Révèle ambivalence de la vision de l’Homme de lui-même (à la fois comme norme, d’où rejet, infériorisation et donc souillure de l’inhabituel/l’exceptionnel, et comme anti-modèle, d’où idéalisation et donc pureté de ce qui est Autre que soi) ? Objets et êtres souillés et par conséquent « consacrés » (contact avec les morts, criminels) interdits à l’expérience profane au même titre que kratophanies et hiérophanies. On