Ias 37

toute nature au bénéfice des mandataires sociaux 4.3 Informations complémentaires concernant les administrateurs 4.4 Conventions réglementées 5.1 Facteurs de risques 5.2 Assurances et couvertures des risques 25 26 30 30 30 31 31 32 33 34 34 35 35 36 37 44 44 45 46 49 53 54 55 59 1. Activité et faits marquants de l exercice – Progrès réalisés ou difficultés rencontrées.............26 2. Analyse des résultats 2008 ...............................................................................

communautaire et la directive en question 4. Les dispositions légales 5. Les répercussions de ces dispositions légales D. Les principes internationaux E. Les normes comptables internationales 1. Les normes IAS 2. Les objectifs 3. Perspectives CONCLUSION INTRODUCTION Présentation du sujet et intérêt Amortissement fiscal du fonds de commerce ? Voilà une question dont on n’a jamais fait le tour complètement. Les débats sur ce

dépenses et charges visé à l’article 39–4 du Code général des Impôts s’élève à le clôture de l’exercice 2009 à 109 070 euros. Le montant de l’impôt sur les sociétés acquitté sur ces dépenses en 2009, majoré des contributions additionnelles, s’élève à 37 553 euros. 16 E T A M * R A P P O R T F I N A N C I E R 2 0 0 9 Rapport de gestion 4. Organigramme simplifié du Groupe au 31 décembre 2009 Etam Développement (société mère) France Financière Casterès (8) 100% 100% 100% 100% 100% 100% 100%

Karim, s’est réuni le vendredi 12 septembre 2014 au siège social du Crédit du Maroc et a examiné l’activité et les comptes arrêtés au 30 juin 2014 par le Directoire. Dépôts clientèle : 37 701 millions de dirhams (+5,2%) Fonds propres (T1) : 4 161 millions de dirhams (+18,4%) Crédits clientèle : 37 367 millions de dirhams (+3,7%) Produit net bancaire : 1 059 millions de dirhams (+0,0%) Total bilan : 50 454 millions de dirhams (+2,2%) Résultat net part du groupe :

35 3.1 Résultat opérationnel 3.2 Bilan 3.3 Résultat opérationnel - proforma 2011 35 36 36 note 4. Résultat des activités ordinaires (EBITA) 37 4.1 Détail du chiffre d’affaires et du coût des ventes 4.2 Autres charges et produits opérationnels 4.3 Frais de personnel et effectif moyen 4.4 Frais de recherche et développement 37 37 37 37 note 5. Résultat financier 38 note 6. Impôt sur les sociétés 38 6.1 Composantes de l’impôt sur les résultats 6.2 Taux d’imposition réel 6

propres……………………...27 1.1. Risque de crédit……………………………………………………..27 1.2. Risque de marché………………………………………………….. 34 1.3- Risque opérationnel…………………………………………………36 2. Pilier 2 : Surveillance prudentielle ……………………………………...37 2.1. Objectifs………………………………………………………………37 2.2. Principes……………………………………………………………...37 3. Pilier 3 : Discipline de marché…………………………………………..40 3.1. Objectifs………………………………………………………………40 3.2. Principes……………………………………………………………...40 Chapitre IV : Processus de mise en place du dispositif « Bâle II »…………………

Rapport des Commissaires aux Comptes établi en application de l’article L. 225-235 du Code de commerce, sur le rapport du Président du Conseil d’Administration Commentaires sur l’exercice Informations sur l’émetteur 6.3. Actionnariat 37 2.4. Notre responsabilité sociale envers les salariés Gouvernement d’entreprise 5.5. Rapport spécial des Commissaires aux Comptes sur les conventions et engagements réglementés 223 26 2.3. La responsabilité environnementale liée à nos opérations

situation financière, économique et social de l’entreprise et présenter un projet de règlement au tribunal pour décision. Mais quand on sait que la profession de syndic (c’est souvent un expertcomptable) n’est pas réglementée, tout peut alors arriver. 37 La gestion du risque de crédit : un dosage entre performance et prudence Partie 2 Vers une gestion améliorée du risque de crédit 38 La gestion du risque de crédit : un dosage entre performance et prudence Chapitre 1 : Evaluation du

location montant au passif du bilan. financement - Les loyers sont décomposés en principal et intérêts Sami Bouassida – Alger 2007 28 Les tenants d’une vision juridique : Le bilan doit refléter l’état du patrimoine de l’entreprise. Juridique IAS 17 Economique Les tenants d’une vision économique : Principe de prééminence du fond sur la forme (transfert des risques au preneur). Sami Bouassida – Alger 2007 29 Comptabilisation du bien Minimum (J.V., valeur des paiements minimaux actualisés)

régionales importantes. A. baumannii est une bactérie saprophyte, pathogène opportuniste, souvent multirésistante aux antibiotiques. Il est rarement responsable d’infections associées aux soins (IAS) (0,3 % des IAS dans l’enquête nationale de prévalence 2006). Il est plus souvent retrouvé en réanimation (1,6 % des IAS, avec des taux très variables selon les sites) et les secteurs avec une forte densité de soins et d’antibiotiques. Il peut être responsable d’épidémies, pouvant justifier des mesures de contrôle