Ictère

cause de l’IMC • La prématurité : qui peut être isolée ou associée à une pathologie de la gestation ou de l’accouchement et a d’éventuelles complications respiratoires post-natales • Les autres causes : sont plus rares : post-maturité, ictère hémolytique sévère, par incompatibilité sanguine fœto-maternelle (facteur rhésus...), pathologie de la grossesse (menace d’avortement, toxémie…) • Etiologies post-natales : (méningite, accident convulsif, traumatismes crâniens …)

de Facteurs de risque d’infection bactérienne grave6 3 mois O Naissance avant terme ( 37 semaines) O Antibiothérapie en période périnatale O Hospitalisation plus longue que celle de la mère après la naissance O Traitement pour un ictère inexpliqué O Antibiothérapie en cours O Hospitalisation antérieure O Maladies concomitantes O Immunodépression 3 mois O Antibiothérapie en cours O Maladies concomitantes O Immunodépression 0,02 %15. Si l’on veut éliminer hors de tout doute

été décrite chez les personnes soumises à des infections massives et répétées qui ne prennent pas de traitement préventif et se soignent mal : le paludisme viscéral évolutif, qui se manifeste par une anémie sévère, une fièvre latente, une jaunisse (ictère), une augmentation de volume de la rate (splénomégalie) qui risque de se rompre, entraînant une hémorragie gravissime. Le paludisme congénital est dû à la contamination du fœtus par les parasites ayant traversé le placenta. Le bébé peut présenter

|État buccal correct | | | | | | |ralentissement du cœur, |Absence signes hépatite : ictère, | | | | | | |bloc AV.. |fatigue, fièvre, douleurs abdominales | |

des canaux biliaires situés dans le foie . Dans la majeure partie des cas, ce sont les femmes vers la cinquantaine qui sont touchées. La cirrhose biliaire primitive se présente au départ par des démangeaisons , puis une coloration jaune de la peau (ictère) associée à l'augmentation du volume du foie (hépatomégalie) et de la rate (splénomégalie). L'évolution se fait en quelques années vers une dégradation de l'état général, des hémorragies et une insuffisance hépatique, en cause dans le décès du patient

.............. FICHE 69 • HYPOTENSION CHRONIQUEMENT BASSE ET ORTHOSTATIQUE ...................................... FICHE 70 • HYPOTHERMIE ................................................................................................. FICHE 71 • ICTÈRES .......................................................................................................... FICHE 72 • IMMUNOGLOBULINES MONOCLONALES ................................................................... FICHE 73 • INCONTINENCE URINAIRE

des cas, un bilan radiologique peut s’avérer utile). On palpe une tuméfaction de consistance « balle de ping-pong » de plus en plus ferme qui peut persister plusieurs mois. Il est comme la bosse séro-sanguine responsable d’une anémie modérée et d’un ictère de résorption. Aucune ponction ne doit être tentée. [pic] Figure 19 : céphalhématome   F- Hématome sous-cutané diffus du cuir chevelu : Il s’agit d’un saignement déclenché à partir d’une lésion des veines émissaires de santorini qui

irradie en arrière et en haut parfois jusqu’à l’omoplate . Cette douleur s’accompagne de nausées, de vomissements ,et d’un météorisme abdominal. Il est fréquent de noter au lendemain de la crise un clocher fébrile vers 39˚,40˚ ,des urines foncées;un sub-ictère conjonctival. b/ Dans les formes atypiques:  La douleur peut siéger d’abord dans le dos ,et n’atteindre l’hypocondre droit que plus tard.  L’association d’une douleur abdominale constrictive et d’angoisse peut simuler une angine de poitrine. 

vagal 11 Surveillance Soin infirmier sur - Surveillance quantitative et Quantité : Aspect : des entrées et Clair : normal. Dépôt : infection, caillot de d’une sang. Couleur : Clair : aspect normal. Trouble : infection. Jaune foncé : : urines ictère, concentrées. Rouge-orangé médicament. Rouge-brun : hématurie. Odeur : Ammoniaque : normale. Nauséabonde : infection de la diurèse rôle propre : art. qualitative de l’élimination Normal : 1,5 – 2 litres. R.4311-5 2004-802 29/07/2004. décret urinaire

Fréquent Douleur abdominale, nausée, dyspepsie, troubles du transit (y compris diarrhée et constipation) Peu fréquent Vomissement, sécheresse buccale Très rare Pancréatite, gastrite, hyperplasie gingivale Affections hépatobiliaires Très rare Hépatite, ictère, élévation de l'enzyme hépatique* Affections de la peau et du tissu sous-cutané Peu fréquent Alopécie, purpura, changement de coloration cutanée, hyperhidrose, prurit, éruption cutanée, exanthème, urticaire Très rare Angio-oedème, érythème polymorphe