Ideologie Lafontaine

été améliorée depuis le début des années 90 par un courant de pensée hétérogène mais tout aussi critique (H.P. Jeudy, L. Sfez, Ph. Breton, D. Wolton, D. Quessada, J.P. Le Goff, R. Debray) selon lequel la communication serait devenue la nouvelle idéologie des temps modernes et il conviendrait de combattre, selon ces auteurs, cette vision simpliste d’une communication utopique pour qui l’idéal de transparence serait la solution ultime à tous les dysfonctionnements possibles. La remise en cause

la charte de la laïcité, de vifs débats culturels font surface et remuent toutes ces opinions distinctes. Les avis sont partagés concernant l’ampleur avec laquelle nous considérons une opinion. Peut-on alors établir clairement l’importance d’une idéologie? Cette dernière peut-elle être totalement véridique ? Pour ma part, je soutien que toutes opinions détiennent le même impact car elles proviennent toutes d’un jugement basé sur aucune théorie. Certains diront qu’un homme étant plus éduqué, plus âgé

Le théâtre de l’absurde nait également du courant existentialisme, qui s’interroge sur l’absurde condition humaine et sur le sentiment d’angoisse existentielle et profond qui provient de l’absence de réponse à la destinée humaine. Les nouvelles idéologies politiques des deux guerres mondiales sont à la base de la naissance de la littérature engagée, qui est le courant existentialisme, qui mènera par la suite au théâtre de l’absurde, qui vise à comprendre et faire réfléchir sur un sujet plutôt grave

La formation scolaire ne fait qu'écarter les jeunes de la politique. Elle est bannie de l'école au pretexte, fallacieux, de la subjectivité des enseignants vis-à-vis des courants actuels. Fallacieux, car arborer ce prétexte revient à nier le coté politique des matières telles que l'histoire, l'économie, la gestion, etc. Dans cette institution tout avis, toute idée, pouvant avoir une connotation politique est qualifiée d'ostantatoire quand ce n'est pas de subversive (insulte suprème des conservateurs

 Doit-on être prêt à mourir pour nos convictions ? Voila la question que pose Brassens avec sa chanson légèrement provocante « Mourir pour des idées ». Dans ce poème musical, il dénonce les idéologies qui entrainent la mort dans leur sillage et des manipulateurs qui utilisent la vie des autres pour imposer leurs croyances. Néanmoins, d’autres personnes sont, elles, convaincues qu’il est nécessaire d’être prêt à mourir pour ses idées afin de se sentir et de ne pas ressentir des regrets. Il s’agit

 Exemple de dissertation : Le XX° siècle a commencé par une guerre terrible qui a pu passer pour la “der des ders”. Il a connu en son milieu une montée de la violence qui paraît, actuellement, se disséminer sur toute la surface de la Terre. Le génocide, nazi, khmer, hutu, paraît une spécificité de notre époque. On peut alors lire avec intérêt ce que soutenait Edgar Morin dans Le paradigme perdu : la nature humaine (1973, Points n°109, p.202) : « La guerre

Pendant des siècles les traditions étaient une compréhension. Sécularisation : séparation entre le domaine de la foi et le domaine des affaires humaines. On a de nouvelles formes de compréhension du monde : la sciences, des morales (profanes), des idéologies politiques. Auj il y a une pluralité de moyens de compréhension. Cela ne cesse jamais, on à tous des idées sur le sens de l’existence … et ça dur la vie entière. L'éducation doit donner les bases de la compréhension du monde. Citation page

tous (« total ») les aspects de la vie, publique comme privée. Le refus de s’y soumettre implique d’être considéré et traité comme un ennemi du peuple ou de la nation, voire de la « race ». Les travaux précités avancent plusieurs critères : - une idéologie officielle, qui prône une société nouvelle, voire un « homme nouveau », et qu’il est interdit de critiquer ; - un parti de masse, seul autorisé et dirigé par un chef charismatique ; - l’exercice de la terreur à l’égard des récalcitrants et des

philosophes des Lumières, des positions des curés « richéristes » (cf. pp. 333-335) et des prêches du clergé démocrate. L'héritage des controverses religieuses et confessionnelles ont finalement «  dialectiquement contribué  » (p.  31) à former une idéologie de rupture révolutionnaire, laïque mais pleinement héritière car « il se trouve que les hommes qui ont été la cheville ouvrière de la défection des curés en direction du Tiers État étaient Grégoire et Jallet, tous deux jansénisants d'une certaine

publié en 1953 au Québec, il faut revenir sur la teneur de cette expression. En effet, "liberté quasi animale" aurait aujourd'hui une connotation des plus positives, du moins pour ceux qui prendraient leurs référents sur le registre de la nouvelle idéologie dominante. Cette expression trouverait, par example, son écho dans "la bonne santé" des personnages féminins des romans de Roch Carrier. Mais l'on note que l'exubérance de Madeleine est loin d'être totale, car elle est modifiée par l'adverbe "quasi