Idéologie Stalinienne

la diversité culturelle . L’ethnocentrisme n’est pas nécessairement le fait d’une culture dominante .Le contraire de l’ethnocentrisme est le relativisme culturel. La prise en compte de certaines valeurs ou de certains droits ou la critique d’une idéologie au sein d’une une culture donnée amène à des positionnements intermédiaires. II - Repenser la "dialectique de l’intégration" . Intégration de qui ? Cela concerne aussi bien les immigrés "extracommunautaires" qui veulent circuler et d’installer librement

s’agit pas seulement de contrôler l'activité des personnes, comme le ferait une dictature classique. Le régime totalitaire va au-delà en tentant de s’immiscer jusque dans la sphère intime de la pensée, en imposant à tous les citoyens l'adhésion à une idéologie obligatoire, hors de laquelle ils sont considérés comme ennemis de la communauté. Les caractéristiques habituellement retenues pour définir le totalitarisme sont : un monopole idéologique, c'està-dire la conception d'une vérité qui ne supporte aucun

fin de cette démilitarisation, un accord doit être trouvé pour former un gouvernement unissant les deux parties de la Corée. Une commission américano-soviétique est donc constituée. Cependant, les deux vainqueurs ayant des points de vues et des idéologies radicalement différentes, aucun accord n’est trouvé. L’URSS et les Etats Unis font donc appel à l’ONU (L’Organisation des Nations Unis qui a récemment remplacée la SDN), en septembre 1947 pour les sortir d’un potentiel conflit d’intérêt. Ici se

Quelles sont les aspects de la guerre froide ?  L'affrontement Est - Ouest en fiche, de la guerre froide à l'opposition des deux blocs / deux modèles. La rupture de 1947, au cœur de la guerre froide, une coexistence pacifique agitée, le modèle stalinien et le bloc de l'est, le modèle américain et le bloc de l'ouest, la guerre idéologique. I. Des origines aux premières crises (1947-1953) • La formation des blocs Après la seconde guerre mondiale la rupture entre les EU et l’URSS s’amorce

nouveau, inséré dans des sociétés uniformes sans libertés ni pluralisme. Les points communs de ces régimes sont donc l'autorisation d'un seul parti politique, la propagande développant un culte de la personnalité du leader. GENESE L'origine des idéologies marxistes-léninistes et fascistes remonte au XIXe siècle : c'est la conjugaison entre les idées révolutionnaires, anticapitalistes et antiparlementaires. Zeev Sternhell, Neither Right nor Left: Fascist Ideology in France, 1983. Les arrivées au

système communiste (surtout pour l’URSS post-stalinienne). De plus, en se cantonnant aux techniques et aux formes extérieures de gouvernement (idéologie officielle unique, tendance à la mobilisation totale, etc.) le concept de totalitarisme a pour inconvénient majeur de ne rien dire des conditions socio-économiques, des fonctions et des buts politiques d’un système. Enfin ce concept reste flou, servant aussi bien à décrire les régimes hitlériens et staliniens que certaines pratiques à l’intérieur des

le totalitarisme. Les Origines du totalitarisme et plus particulièrement Le système totalitaire, le tome sur lequel se porte notre étude, constituent à la fois une illustration et une préfiguration des thèses de l’auteur. Elle y analyse le régime stalinien en URSS de 1945 à 1953 et le nazisme en Allemagne de 1929 à 1941 car, selon elle, ils diffèrent aussi bien dans le fond que dans la forme des dictatures et des tyrannies. Les interrogations formulées et auxquelles l’auteur tente de fournir des réponses

ferme des animaux a pour cadre une exploitation agricole anglaise, dans laquelle les animaux ont la faculté de parler. Parmi ces animaux, le groupe des cochons se distingue par l’intelligence.             Les trois cochons proclament l’animalisme idéologie officielle. Ils édictent sept commandements, parmi lesquels on trouve : Aucun animal ne dormira dans un lit,  aucun animal ne boira de l’alcool, tous les animaux sont égaux. Une fois aux commandes, les cochons apprennent à lire et assoient leur pouvoir

supérieure, l’égalitarisme qui avantage le faible et le médiocre. | Pouvoir central puissant donnant sa volonté à la masse, protégeant la pureté de la race, libérant sa force brutale. Retour à la loi naturelle : survit et domine le plus fort. | Ces idéologies totalitaires prétendent obéir à des lois supérieures : - Lois de l’histoire : lutte des classes dont le communisme seul peut briser la logique de domination, leçons du passé pour le fascisme : seul un Etat fort peut insuffler une volonté capable

de contraindre des intérêts divergents à une politique économique définie par l'État, d'imposer des normes idéologiques uniformes, fussent-elles démocratiques. Le totalitarisme concerne tous les aspects de la vie sociale, l'État, au nom d'une idéologie, exerçant sa mainmise sur la totalité des activités individuelles. 1. Structures du totalitarisme Les systèmes totalitaires, qui ont surgi au xxe siècle, se distinguent des anciens systèmes despotiques dans leur rapport au droit. Montesquieu