Ignorance

libre de faire ce qu'il veut. Ils sont donc tous deux ( le prisonnier et Lysis ) ignorants, mais à quel point chacun est ignorant ? Au début, Lysis est ignorant de son ignorance, puis à la fin de l'histoire, il est maintenant conscient de son ignorance. Alors que dans l'allégorie de la caverne, l'ex-prisonnier est ignorant de son ignorance, mais ensuite il est en apprentissage de la connaissance. Certains humains sont libres. Dans l'allégorie de la caverne lorsque le prisonnier sort de la caverne et

semble que l'imagination est limitée aux objets que nous avons antérieurement perçus. erreur : Affirmation fausse. A la différence du mensonge, l'erreur implique la bonne foi; l'erreur, dit Platon, est une ignorance double, c'est-à-dire une ignorance qui ne se sait pas ignorante, une ignorance doublée d'une illusion. L'imagination, c'est l'esprit perdant le contact avec la réalité. L'imagination peut être une vertu dans les arts mais, en science, elle n'est qu'un facteur d'erreur. MAIS, l'imagination

 Etre ignorant de son Ignorance est la maladie de l’ ignorant L'ignorance ne vient pas seulement de la difficulté que certains hommes rencontrent à s'instruire. Elle vient aussi du fait que l'homme ne cherche le plus souvent à connaître que ce qui satisfait ses désirs. Si on a une certitude c'est bien celle que toute ignorance est une limitation alors que toute connaissance est une libération. Car la liberté commence lå ou l’ignorance finit Les Grands Hommes Meurent debout Ceux qui méprisent

un premier temps, l’origine du doute commence par l’ignorance. En effet, douter débute par une non-connaissance d’un fait ou d’un sujet qui va conduire vers une remise en question de la personne. On peut donc faire le lien entre ignorance et doute parce que cette ignorance conduit au doute. L’ignorance dévoile un état intellectuellement inconfortable dont on veut sortir. C’est un peu le même principe pour le doute où douter permet de sortir de l’ignorance. De plus, une étape très importante est

Aristote, défend que le seul but de la philosophie est le désire de ne pas rester ignorant. La philosophie est un savoir dont le seul but est de savoir. Les deux grandes étapes de l’argumentation sont l’étonnement : prise de conscience de notre ignorance qui entraine une question et un désir de savoir et la spéculation qui est une hypothèse, une tentative de réponse. Le développement du questionnement ce fais du plus concret au plus abstrait. Question 2 : « Ce fut l’étonnement qui poussa les

démarche que dans la science expérimentale : on commence par observer les faites et ensuite on trouve la cause. Dans la conclusion l’auteur généralise la leçon il souligne l’opposition entre le vrai et le faux. Et il préfère une ignorance qui se connait à une ignorance qui ne se connait pas. Ce texte est connu par le ton plaisant et enjoué qui le caractérise mais il est connu aussi car il illustre la volonté de Fontenelle de vulgariser les acquis de la science et de faire progresser une démarche

connaissances ne savent pas l’expliquer donc n’ont pas les connaissances nécessaires donc ils ne savent pas. La sagesse humaine pour Socrate signifie admettre qu’on ne connait pas tout, qu’on ne sait pas tout, la sagesse humaine c’est savoir reconnaître son ignorance. Comme il le dit dans l’extrait de son texte l’apologie : « lui croit savoir quelque chose, alors qu’il ne sait rien, tandis que moi, si je ne sais pas, je ne crois pas non plus savoir. Il me semble donc que je suis un peu plus sage que lui par le

qu'est-ce que la vertu ? On notera que, Ménon ne peut progresser dans le savoir, car il ne reconnaît pas son ignorance. Il est alors aveuglé par un pseudo-savoir. Pour répondre donc à notre problématique Ménon définit la vertu par des exemples et donc il n'arrive toujours pas à définir ce qu'est la vertu dans le sens global du terme. Il ne veut alors pas prendre conscience de son ignorance et reste dans sa position de savoir. Pour conclure, si le « Ménon » se présente au début comme une réflexion

accusations sont fausses, la troisième aussi l’est puisqu’il croit aux dieux de la cité et que les divinités qu’il introduit ne sont pas nouvelles donc il ne corrompt pas la jeunesse. Puisque Socrate utilise la réfutation pour sortir les gens de leur ignorance, les jeunes imitent Socrate c’est la raison pour laquelle on l’accuse de corrompre la jeunesse, mais Socrate n’est pas un enseignant, il ne sait rien, il ne peut pas corrompre les jeunes, c’est eux qui l’imitent. La pratique de la réfutation n’est

d’enseigner l’excellence, le principal manque de notre société moderne. Premièrement, parce qu’il n’y a pas de professeurs d’excellence et deuxièmement, parce que les gens ne pensent pas manquer d’excellence, ce qui est le principe de la double ignorance. «De fait, il ne savait pas au début sur quelle ligne faire la figure de huit pieds carrés, comme il ne le sait pas plus maintenant, mais il croyait le savoir, et il répondait avec confiance comme s’il savait et sans penser être dans une impasse