Il est né le divin enfant

Psaume 104 17H 003 (01 :33) Moi Prêtre du Très Haut, Mage de la lumière, prêtre de la Nation Essénienne, fils du Soleil, en alliance avec la Mère, en alliance avec les esprits de la nature, en alliance avec les génies, dans les traditions sacrées divines, éternelles. Je me présente devant les mondes visibles et invisibles et je demande à tous les mondes que le Sceau de mon Père Gabriel soit posé. Que le Sceau de la Famille soit posé sur posé sur la terre. Que le Sceau de mon Père Gabriel soit posé

ressemblance ». Dans cette perspective, le modelage de l’homo sapiens comme produit d’un long processus d’évolution et sa spiritualisation soudaine ou graduelle en enfant de Dieu, sont deux étapes distinctes. La première étape du processus de création était, selon certaines imaginations anthropomorphiques, facile vu le principe de l’omnipotence divine. Par un exercice de sa puissance créatrice, Dieu a permis à l’univers physique d’exister et au cours d’innombrables années, de mettre au monde en son sein

civilisations comme celle des grecs, des égyptiens, considéraient les rêves comme un chemin vers les Dieux, ou un moyen de deviner le futur. Pour Aristote, philosophe grec, le rêve n’était pas l’objet du hasard et il y voyait les effets d’un ordre divin et supérieur. D’autre comme Hippocrate, utilisaient les rêves dans leurs prescriptions médicales. Dès le XVIII eme siècle, des philosophes allemands voient dans les rêves une « langue primitive et naturelle de l’âme ». C’est seulement à la fin

la femme est enfantement. C'est là une œuvre divine, et l'être mortel participe à l'immortalité par la fécondation et la génération ; mais elle est impossible dans ce qui est discordant ; or le laid ne s'accorde jamais avec le divin, tandis que le beau s'y accorde. La Beauté est donc pour la génération une Moire et une Eileithyie . Aussi quand l'être pressé d'enfanter s'approche du beau, il devient joyeux, et, dans son allégresse, il se dilate et enfante et produit ; quand, au contraire, il s'approche

l’on effectue autour d’un monument (comme un shorten) lors des cérémonies. Les fidèles touchent 3 fois le sol, avant et après la prière, et pour appeler l’esprit de Bouddha, il faut sonner 3 fois la cloche. 3 serait-il un nombre divin ? Dans le Coran, 3 est un nombre divin ; il revêt une importance considérable car dans les sourates 43 à 45 il permet de justifier le caractère céleste de la révélation coranique, et la croyance aux « Livres révélés » est un des six piliers de la foi musulmane. Le Prophète

affamé qui se jetterait sur un enfant pour le dévorer ne ferait pas le mal (au sens moral), il ne ferait que suivre sa nature et ne pourrait en aucun cas s'opposer à son instinct. De même un assassin qui ne disposerait pas de son discernement ne serait pas jugé et donc pas coupable d'un crime au sens de la justice. Le mal moral implique donc la liberté qui elle même induit la responsabilité. Pour les croyants, le mal moral correspond à la transgression des commandements divins, autrement dit, c'est le

Michel Montaigne, Les Essais, Livre II, chapitre 30, « Au sujet d’un enfant monstrueux », 1595 Introduction La question de la nature et de la diversité humaine est au centre des préoccupations du mouvement humaniste au XVIème. Montaigne participe à cette réflexion dans ses Essais auxquels il travaille de 1572 jusqu’à sa mort, en 1592. Cette œuvre de forme très libre se présente comme en exercice de la pensée, nourrie par l’expérience et la lecture des auteurs grecs et latins, et propose des

punis sans pitié. Dans Antigone, Sophocle décrit le type de fierté qui permet aux hommes de créer des lois qui se substituent aux principes divins. En d'autres termes, quand Créon crée une loi parce qu'il croit que c'est la volonté divine, qui est un écran sublime de fierté puni, car aucun homme ne pourra jamais créer une loi qui est égale ou supérieure à droit divin. En conséquence, quand Tirésias est livré avec les nouvelles que Créon va souffrir, Créon se rend compte qu'il a commis une terrible erreur

sentiment de gaieté par un mouvement des lèvres, de la bouche, et souvent avec bruit : rire aux éclats ». Le rire jaillit comme une décharge à la fois corporelle et émotionnelle. Défini comme le propre de l’homme, il apparaît aussi comme un apanage divin : les « ris », dans le monde antique, désignent les divinités qui président à la gaieté. En Occident, les poètes et les philosophes ont tendance à évoquer le rire sous des éclairages contrastés. On se heurte, presque toujours, à sa nature ambiguë

(verset 251). Toujours dans l’optique de considérer Partage de Midi comme une parabole, on peut le considérer comme une manière de reformuler le mythe de la chute et de la rédemption. Ainsi, toute l’histoire des deux amants appartient au dessein divin : l’amour adultère est alors la voie choisie par Dieu pour ramener l’homme à la vérité. C’est la notion de felix culpa qui apparaît ici, comme dans l’épigraphe du Soulier de satin, “Etiam peccata” (“même les péchés servent”). Ainsi, le couple représente