Il est né le divin enfant

sur la terre ». On peut ici interpréter cette harmonie comme une touche finale au décor, l’ultime confirmation de l’irréprochable création céleste, car même les contraires sont en symbiose. Mais on peut également comparer la nature à une production divine, un hommage à Dieu, un travail intouchable et précieux, comme au vers 18 : « Sous la nature enfin découvre son auteur ! ». Le poète introduit une certaine vision de l’utopie, étant donné que, entre harmonie et dimension positive, la nature est également

Théophile Gautier : Le poète est ainsi dans les landes du monde. Lorsqu’il est sans blessure, il garde son trésor Il faut qu’il ait au cœur une entaille profonde Pour épancher ses vers, divines larmes d’or Jésus-Christ : « mon Dieu, mon Dieu, Pourquoi m’as-tu abandonné ? » au moment de sa mort. Les deux premiers vers énoncent la thèse romantique de la souffrance comme moteur de la création : "Les chants désespérés sont les chants les plus beaux / Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots

normalement porté à l'époque par les femmes enceintes ou venant d'accoucher. Masqué par le vernis, ce détail n'avait jamais été observé jusqu'à présent. Le sourire mystérieux de la Joconde serait donc celui d'une femme enceinte ou qui vient d'avoir un enfant. 2- L’hypothèse de l’autoportrait : Certains font l'hypothèse que le tableau de la Joconde est un autoportrait travesti, comme l'attesterait la superposition des calques des autoportraits présents dans ses carnets de croquis et celle de « Mona

nous permet d’imaginer l’avancée de ceux-ci. Par une allitération en s,f tout au long de la première strophe : « enfant » (v.1) ; « silence » (v.1) ; « saintement » (v.2) « placés » (v.2) « vigilance » (v.3) « procèdent » (v.4), nous laisse penser à une représentation de l’avancée des pas. Le poète nous apporte aussi la silhouette de cette personne tant attendu : « Personne pure, ombre divine » (v.5) qui nous permet alors de l’imaginer, belle et gracieuse, ce qui ajoute donc une connotation positive

la terre, ses fruits, ses êtres… 5- L’homme est à l’image de Dieu, il DOMINE 6-L’expression est : « il fit », « il créa », il continue en apostrophant les êtres : « soyez féconds, multipliez et remplissez.. » 7- la formule montrant la puissance divine est : « et cela fut ainsi » 8- Dieu regarde ses actions, il les juge par : « il vit ce qu’il avait fait et cela était bon » Texte 3 : création de l’homme et de la femme L’homme a été crée à partir de glaise (terre humide) et Dieu lui insuffle

sentiments, d'états et de comportements, allant d'un plaisir général lié à un objet ou à une activité (« j'aime le chocolat », « j'aime danser ») à une attirance profonde ou intense pour une ou plusieurs personnes (« j'aime mon mari », « j'aime mes enfants »). Cette diversité d'emplois et de significations du mot le rend difficile à définir de façon unie et universelle, même en le comparant à d'autres états émotionnels. Outre les différences culturelles dans les pratiques liées à l'amour, les idées

flotter une certaine dimension divine, notamment avec l'adverbe ''saintement'' ou encore avec le paronyme ''divine''-''devine'' qui fait apparaître le poète comme un traducteur d'un message de Dieu, ainsi, on peut croire que l'auteur attend donc la muse de la poésie, il fait allusion aux ''lèvres'' de sa muse, l'organe de la parole, se rapportant donc encore à la dictée divine. La création du poème est longue et réfléchie. Il est écrit que les vers son les ''enfants [du] silence'', soit une procréation

De même, le nom commun: «pauvre» met en valeur l’identité du mendiant qui se limite à son statut social. Également, le GN: «Jatte de lait» met en valeur la nourriture, le poète s’occupe de lui, prend soin de lui, comme d’un enfant, un bébé, ce qui transforme l’espace intérieur en un lieu accueillant. A partir de ce 3eme mouvement, le pauvre est remplacé par son manteau. Cet objet devient le catalyseur de la transfiguration (à travers le manteau le personnage du pauvre sera

subvertit l’écosystème2. 1-La thèse de Marcel Gauchet Dans Le désenchantement du monde cet auteur s’intéresse à la sortie du religieux. Ce dernier étant posé, d’origine dans les sociétés sauvages, comme une interpénétration des plans de l’humain et du divin, l’Autre est immanent. Les dieux “ peuplent un univers parallèle perceptible au travers de ses influences magiques ”3. Le savoir de ces sociétés sauvages repose sur le mythe qui fixe un acte originaire qui est cause du monde tel qu’il est. Ces sociétés

débattue, approfondie. c)La problématique pour expliquer de façon ordonnée le texte et traiter le problème qu'il pose. Exemple. (Thème) Que vaut-il mieux? Que les hommes croient en l'origine divine des lois qu'une société se donne? L'illusion qui consisterait à croire faussement en cette origine divine ne serait-elle pas nécessaire pour asseoir l'autorité des lois? Ou alors vaut-il mieux des hommes lucides qui reconnaissent l'origine purement humaine de ces lois? (Thèse) Le propos de Freud est