Il Fait Froid Victor Hugo

L'œuvre de Victor Hugo est considérable et tous les genres y sont représentés. Une de ses caractéristiques est l'engagement ; Les Misérables est un roman historique, social et philosophique : à travers la vie des différents personnages, Victor Hugo aborde la question de la misère. Cosette fait partie des personnages les plus connus, c'est une petite fille que sa mère ne pouvait plus élever et qui a été placée chez les Thénardier ; ils ont fait d'elle une servante. Elle apparaît pour la première

première moitié du XIXe siècle que la poésie redevint un genre de premier plan, notamment grâce aux romantiques, qui affirmèrent une esthétique nouvelle en prenant le contrepied de la conception classique de la poésie, jugée par eux artificielle, froide et figée. On considère généralement que la naissance du mouvement romantique français correspond à la publication des Méditations, de Lamartine, en 1820. Le moyen d'expression privilégié de cette génération était donc, d'emblée, la poésie, mais

1856 et écrit par Victor Hugo. Ce poème raconte l’apprentissage amoureux vécu par l’auteur. Le chat Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux ; Retiens les griffes de ta patte, Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux, Mêlés de métal et d’agate. Lorsque mes doigts caressent à loisir Ta tête et ton dos élastique, Et que ma main s’enivre du plaisir De palper ton corps électrique, Je vois ma femme en esprit. Son regard, Comme le tien, aimable bête Profond et froid, coupe et fend comme

Personnages mineurs * Un Juif * Un Geôlier * Le Bourreau * Le Batelier Les personnages mineurs dans cette pièce de Victor Hugo sont des personnages de second plan, auxquels peu d’importance y semble accordée alors que qu’ils jouent des rôles très importants dans le déroulement de l’histoire. Des informations, actions, objets, etc. y prennent place et sont des tournants dans l’histoire. L’auteur les introduit les uns après les autres et ne les nomme pas, ne les appelant que par

dans toutes les époques : des poètes de l’Antiquité à ceux de nos jours, en passant par Ronsard, Hugo, Apollinaire ou Aragon, on n’en finirait pas de citer les auteurs auxquels le sentiment amoureux a inspiré certains de leurs plus beaux vers. Chacun, pourtant, a su traiter le thème à sa façon. Nous en avons l’illustration avec les trois textes qui nous sont ici proposés : le premier, écrit par Victor Hugo vers 1850, en pleine période romantique, le second extrait du recueil d’Aragon Le Fou d’Elsa (1963)

 Victor Hugo, chef de fil du romantisme au XIXème, est un poète et écrivain français né à Besançon en 1802 et mort à Paris en 1885. Il est l'auteur des Misérables, de Notre-Dame de Paris, d’Hernani et des Contemplations, qui parut en 1856, et d'où est tiré Mélancholia. Dans ce poème en alexandrins, le souvenir, l'amour, la joie ainsi que la mort sont les thèmes principaux du recueils. C'est plus précisément le sort d'une jeune femme que nous allons étudié dans cet extrait. Ainsi, nous allons voir

Objet d’étude : le roman et ses personnages, visions de l’homme et du monde. CORPUS DE TEXTES Texte A : Victor Hugo, Les Misérables, II, III, V, La petite toute seule (1862). Texte B : Zola, La Curée, chapitre II (1872). Texte C : Jules Vallès, L’enfant, chapitre XX, 1879. Texte D : Les Misérables, entête de la préface de Victor Hugo, Hauteville-House, 1er janvier 1862. TEXTE A La petite Cosette, âgée de huit ans, est sans cesse maltraitée. Elle est contrainte, par une nuit d’hiver, d’aller

poème de Victor Hugo intitulé « Le mendiant », extrait des Contemplations de 1856. Enfin ledernier document est une nouvelle de guy de Maupassant : « Le Gueux » paru en 1884. Ces trois documents mettent en évidence la misère humaine par le biais d’un mendiant. Cependant se pose la questiondes similitudes que présentent ces documents, ainsi que les effets qu’ils peuvent produire sur le lecteur. Tout d’abord les personnages souffrent physiquement : le mendiant de Victor Hugo« grelotte de froid » ,

L'homme qui rit fait partie des livres que je suis sûre de ne jamais oublier. Un grand Hugo mais c'est un pléonasme, non ? Respect Victor ! L'histoire tient du génie et Victor HUGO est un virtuose. Pour la forme, on y retrouve l'écriture foisonnante, passionnée, grandiloquente, lyrique de l'auteur. Pour le fond, c'est un pamphlet violent dénonçant l'injustice. En quelques mots : Un enfant est abandonné sur une plage anglaise. Il s'appelle Gwynplaine et recueille un bébé qui gisait auprès

jours de malheur ? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ? Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus ! Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus ! Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez ? Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes Que vous nous ravissez ? Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir, Gardez de cette nuit, gardez, belle