Il N Y A Point De Liberté Sans Lois Ni Ou Quelqu Un Est Au Dessus Des Lois

que j'appelle la vertu dans la république est l'amour de la patrie, c'est-à-dire l'amour de l'égalité. Ce n'est point une vertu morale, ni une vertu chrétienne; c'est la vertu politique; et celle-ci est le ressort qui fait mouvoir le gouvernement républicain, comme l'honneur est le ressort qui fait mouvoir la monarchie. J'ai donc appelé vertu politique l'amour de la patrie et de l'égalité. J'ai eu des idées nouvelles; il a bien fallu trouver de nouveaux mots, ou donner aux anciens de nouvelles acceptions

toutes les idées du siècle où l'on vit, c'est des sources de l'erreur celle qui est la plus féconde. A ces gens qui veulent rendre modernes tous les siècles anciens je dirai ce que les prêtres d'Egypte dirent à Solon : O Athéniens, vous n'êtes que des enfants ! » Esprit des Lois, XXX, 14. « Montesquieu a fait voir... » Mine DE STAËL. « La France avait perdu ses titres de noblesse ; Montesquieu les lui a rendus. » VOLTAIRE. TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS CHAPITRE PREMIER. — 7 Une révolution

de religions, des théoriciens tel que Jean Bodin vont s’intéresser à l’évolution des institutions et des relations entre le roi et ses sujets. On va dès lors développer des notions telles que l’absolutisme et la souveraineté. Jean Bodin tenta de défendre la monarchie durant une période de crises et de contestation de l’autorité royale. Jean Bodin est né en 1529 ; homme polyvalent, ce jésuite reçut un enseignement au collège et à l’université de France, son éduction fut donc imprégnée de scolastique

CONSTITUTIONNEL ET POLITIQUE Cours du Professeur Gilles J. GUGLIELMI -o-O-o- DOSSIER DE TRAVAUX DIRIGES Premier semestre 2006 - 2007 1 Document mis à jour au 1er sept. 2006 Utilisation strictement réservée à l'université Panthéon-Assas -1- TRAVAUX DIRIGÉS MODE D’EMPLOI BUT DES SÉANCES DE TRAVAUX DIRIGÉS : 1°) Préparer les étudiants à l’examen final ; 2°) Tenir compte, dans l’évaluation pédagogique de chaque étudiant, des ses aptitudes, de la régularité et de l’approfondissement de son

représente-t-il la source de tous nos droits ?  Pouvons nous légitimement réclamer des droits que le droit positif, droit institué, ne nous reconnaît pas ? Peut-on opposer le droit positif à certaines libertés fondamentales ? L’État est-il là pour garantir la liberté religieuse ou pour la définir ?   Certaines libertés fondamentales ont été supprimé pendant le confinement.  Conception autoritariste (État source du droit) // théorie libérale (droit existe indépendamment de leur reconnaissance par l’État

présent partout. Déjà, dans l'Antiquité grecque, Protagoras, affirmant que «L’homme est la mesure de toutes choses, de celles qui sont pour ce qu’elles sont, et de celles qui ne sont pas pour ce qu’elles ne sont pas.», illustre le scepticisme antique à l'égard des divinités. En 431 av. J.-C., le stratège d'Athènes, Périclès, pour honorer les guerriers athéniens morts au combat lors de la Guerre du Péloponnèse, prononce l’oraison funèbre dans laquelle n'est faite aucune mention aux dieux. Rejetant

Intro : la loi, du latin « lex, lego, legare » signifie lier, obliger. C’est donc toute règle qui oblige. D’un point de vue juridique, il s’agit d’un texte émanant du pouvoir législatif. La loi est une source formelle de droit(s), elle est écrite et générale. Le terme juge, désigne celui dont le statut est celui de la Magistrature, qui participe au service public de la Justice. Son rôle est de rendre la justice selon les termes de la loi. Il applique le Droit aux faits réels. Le juge n’a qu’un

............... 12 INTRODUCTION HISTORIQUE A L’ÉTUDE DES SOURCES DU DROIT ....................................... 12 L’importance respective de la loi et de la coutume dans les sources du droit (1)............................................. 12 Séance 3 ........................................................................................................................................................................ 16 INTRODUCTION HISTORIQUE A L’ÉTUDE DES SOURCES DU DROIT : ............

siècle, l'Europe n'a pas d'unité religieuse. On retrouve des catholiques au Sud, des protestants au Nord et des orthodoxes à l'Est. Etant donné que le protestantisme a beaucoup d'importance à cette époque, l'Eglise gagne énormément de terrain. A cette époque, règne aussi un principe : « Tel roi, telle religion ». Le roi impose sa religion à ses sujets, il n'y a pas de liberté de culte. Les divisions religieuses produiront de nombreux conflits, des guerres de religion. En Europe au XVIIIe on parle

Aujourd’hui, tout comme à l’époque de Socrate et de Platon, nombreux sont les philosophes (ou les politiques) qui soutiennent que la « justice universelle » est une fiction, et que son évocation n’est en vérité qu’un alibi destiné à justifier de nouvelles formes d’ingérence de l’Occident dans les affaires des autres nations. A l’époque de Socrate, ce sont les sophistes qui ont décrété les premiers que « l’homme est la mesure de toute chose » (Protagoras) et que, par conséquent, le bien, la justice