Il Y A Un Conflit Entre La Raison Et La Passion

de Racine. Il a trente-sept ans et, depuis son premier chef-d'œuvre, Andromaque, joué dix ans plus tôt, il a écrit à peu près une pièce par an. Protégé et admiré par le roi, élu à l'Académie française en 1672, il atteint le sommet de sa carrière. C'est en cette même année 1677 qu'il va se marier avec une riche bourgeoise parisienne et qu'il sera nommé, avec Boileau, « historiographe du roi ».Désormais, Racine n'écrira plus de tragédie. Il partagera sa vie entre sa charge officielle à la Cour et sa

actuellement professeur a l'Université de Paris-I-Sorbonne, s'est affirmé dès le milieu des années 1980 comme l'un des personnages incontournables du paysage culturel français. Certains de ses ouvrages comme Le miasme et la jonquille (1986) et plus récemment Le monde retrouvé de Louis-François Pinagot (1998) ont rencontré un écho qui dépasse le milieu des historiens. Il représente aujourd'hui un mouvement historiographique dit de "L'Histoire du Sensible" qui se propose de "se tenir à l'écoute des hommes

L’ORESTIE 1D’ESCHYLE De la Vengeance à la Justice et à la Médiation On a l’habitude de considérer la Vengeance comme une simple pulsion naturelle, à laquelle on oppose l’Institution du Droit et de la Justice. Les anthropologues du droit - qui ont étudié le problème de la vengeance sur les différents continents et à différentes époques apportent un certain démenti à ce lieu commun. La vengeance serait déjà une forme de justice qui aurait ses codes culturels. Ces anthropologues parlent de « systèmes

». Ce nouveau modèle, se fonde sur une problématique inhérente à la politique libéraliste, qui sous entend l'anéantissement des passions en politique. En d'autres termes, entre un modèle fondé uniquement sur l'agrégation des intérêts personnels et un autre sur la délibération, qui sous entend « raison et considération moral », il n'y aurait plus de place pour les identités collectives. Le modèle que propose Chantal Mouffe ici, tend à y remédier; comment? Nous verrons dans une première partie qu'elle

Spectacle Lecture (comédie, tragédie et drame « romantique » Victor Hugo, Musset) Pour défendre ses idées : Argumentation/Convaincre (raison, logique)/ Persuader (sentiments, séduction)/Délibérer. Théâtre = Tribune , notion d’équivalence. Étape 2 : I) Le théâtre est une bonne tribune pour défendre ses idées. II) Réduire le théâtre à un lieu politique : il a d'autre fonction. I) Thèse explicite : clairement exprimée : Molière dans Tartuffe prend position contre les faux dévots. Molière ;

Microsoft Word - REPONSES AUXQUESTIONS SUR BRITANNICUSpour tous.docxQUESTIONS SUR BRITANNICUS Le lieu et le décor. «Bien que la scène soit unique, on peut dire qu'il y a trois lieux tragiques. Il y a d'abord la Chambre [...], lieu invisible et redoutable où la Puissance est tapie [...]. La Chambre est contiguë au second lieu tragique, qui est l'Anti-Chambre, espace éternel de toutes les sujétions, puisque c'est là qu'on attend [...]. Le troisième lieu tragique est l'extérieur», écrit Roland Barthes

ui il faut renoncer a nos opinion car, il est fréquent de ne pas partager l'opinion d'un autre individu, par conséquent dans une situation où deux opinions divergent il est difficile de distinguer celle qui est vrai de celle qui ne l'est pas. En effet, l'opinion n'étant qu'un avis personnel ne tenant compte que de l'impression, du ressenti, elle ne peut être une valeur sûre. Mais ce qui est le plus dérangeant dans l'opinion est-ce sa véracité ? L'opinion est un jugement spontané qui n'a pas

..................................... 2  2. Le problème de l’adéquation entre le texte et la forme ............................................................................................ 3  II.  Explications ................................................................................................................................................................. 4  1. Scène 4, tableau IV : la « négociation » entre Hoederer, Karsky et le fils du Régent ..................................

portrait dérobé se situe assez peu de temps après le retour à Paris de Mme de Clèves, qui, à la mort de sa mère, s'était retirée pendant quelques jours à la campagne. Ce séjour loin de la cour et surtout de M. de Nemours lui permet de retrouver le calme de l'esprit après le grand bouleversement qu'a été pour elle la prise de conscience des sentiments qu'elle éprouve pour M. de Nemours, ce qui lui fait croire qu'elle est guérie de sa passion. Il y avait longtemps que M. de Nemours souhaitait d'avoir

assimile « vertu » et « bonté », en ce sens que ces deux qualités morales renvoient à une conduite moralement bonne, irréprochable qui implique de faire le bien et à être bon envers autrui. Ainsi, un homme généreux, bienveillant, compatissant, charitable, courageux, entre autres, est considéré comme un homme bon, justement parce qu’il incarne ce qui, aux yeux de ses semblables, se nomme « vertus ». Pourtant Montaigne s’évertue à nous imposer une conception personnelle et subjective de la vertu. Selon lui