Il était Un Fois

vint la tempête. Des torrents de larmes jaillirent des yeux de ces mesdames, signe de soulagement, alors que, chez les messieurs, le contrecoup était bien différent. Si Julien a su charmer son public féminin, s’en était tout autre pour son public masculin qui hurlait d’indignation. Leur réaction était bien hilarante étant donné que leur incompréhension était telle, qu’à l’annonce du verdict, leurs yeux sortirent de leur orbite. De plus, ils n’hésitèrent pas à se chevaucher les uns les autres pour parvenir

Il était une fois l'histoire d'un homme nommé Antoine Beauvilliers.Le père de Antoine était entrain de préparer une grande marmite de soupe alors que sa femme Monica,elle était allongée dans le lit avec à ses côtés le médecin qui l'aidait à mettre son bébé au monde.Au bout de deux heures le bébé montrait enfin le bout de son nez,une fois sortit,du ventre de sa mère qu'il réclamait déjà à manger,sa mère le nourrit alors au sein.Pendant ce temps le père,Francis qui préparait encore la soupe se coupa

je tenterai d’explorer une situation clinique qui a débuté par une prise en charge en face à face à un rythme peu soutenu ; elle a ensuite évolué de telle manière qu’il est maintenant possible d’envisager une cure type divan/fauteuil à trois/quatre fois par semaine. Ce patient a eu besoin, dans un premier temps, de se représenter le cadre dans lequel évoluait sa propre pensée avant de pouvoir concevoir et accepter l’importance d’un cadre spécifique pour mener à bien justement l’analyse de cette

d’une anecdote entre Victor Hugo et Juliette Drouet sa maîtresse qui faisaient pour la millième fois la même balade et l’un montrait à l’autre une porte différente d’une propriété. Il ne vaut pas un culte à Flaubert mais il s’assurait qu’il cherchait à nous montrer des détails dans ses œuvres. Il aurait aimé avoir le scripte de leur vie comme celui du peintre Chirico. Huysmans, à travers ses livres était considéré comme un ami pour André Breton. Pour Breton, les livres étaient des portes dont il n’a

Il était une fois un garçon qui s’appelait Théophile. Ce garçon qui ne vivait qu’avec sa mère était passionné par la lecture. Tous les mercredis, il se rendait à la bibliothèque pour reprendre des livres jusqu’au jour où il tomba sur un livre de magie rouge comme l’indiquait le titre. Il le prit et l’emmena en salle de lecture ; il saisit, entre deux pages, une recette qui indiquait comment devenir ‘’invisible’’ ! Pris de peur et en même temps un peu de joie à l’idée de se dire que cette recette

reprendre sa lecture du mur et il vit des noms : Dautun, Poulain… Ceux-là avaient commis de véritable crime comme Papavoine, qui était le tueur d’enfants à coup de couteau sur la tête. Il eut alors l’impression que son cachot était rempli d’hommes « étranges qui portaient leur tête dans leur main gauche ». Mais il revint vite à la réalité car il se dit que les morts était mort, « ceux-là surtout ». Un jour, tout Bicêtre semblait rire, c’était le jour où l’on « ferre les forçats » qui devaient partir

le champion d’Europe. Il était un grand boxeur, plus de deux mètres, cent vingt kilos, les cheveux bruns très courts, la peau mate et des bras énormes il était deux fois champion du monde, septuple champion d’Espagne, champion d’Europe, et il était le plus grand boxeur espagnol de tous les temps. J’étais chaud comme la braise, pour remporter ce titre et compléter mon palmarès de triple champion du monde, quadruple champion d’Europe, sextuple champion de France et une fois champion des Amériques, du

Je posais mon regard, intriguée et inquiète, sur l'enfant, ou plutôt le bébé, dont j'avais la charge. Il était nu et ses petit vêtements roses, parce que c'est bien connu les nouveaux nés de sexe féminin doivent porter du rose, étaient presque impeccablement pliés au bout de son lit à barreaux. Lit à barreaux car, comme pour tous les bouts d'choux, c'était un truc entre le berceau et le lit, un lit-parapluie on appelait ça. Franchement étonnée, je passais en revue les divers évènements de la soirée

observer, comprendre les autres milieux que le sien, savoir comment vivaient toutes les populations. Malheureusement pour lui, son père, avec qui il était en conflit, l’avait obligé à suivre des études d’architecture avant de pouvoir étudier ce qu'il voulait. Tout ceci afin de reprendre la suite de l'entreprise paternelle plus tard. A cette époque il était tout à fait fréquent qu'un fils de nobles en conflit avec ses parents aille à l'encontre de ses obligations . Lui ne s'opposait en aucun cas à l’avis

Se tenant face à une immense forêt, Gabriel se demandait quand se finirait enfin son long voyage. Gabriel était un jeune homme âgé de 17 ans, il était curieux et avait très vite acquis une certaine indépendance. De nombreuses fois durant son enfance, ses parents l’avaient balloté de ville en ville. Dans toutes ces villes il s’était pourtant senti exclu, comme si sa place n’était pas ici. Six mois plus tôt il avait alors décidé de quitter le cocon familial et de voyager dans l’espoir de trouver