Île Robinson Crusoe

3 Fiche 4 Fiche 5 Fiche pédagogique réalisée par Philippe Delpeuch, professeur agrégé de lettres modernes. Un roman et un film : introduction et présentation p. 2 Le naufrage p. 4 Une ville sous la mer p. 5 Une île mystérieuse p. 6 Analyse d’images p. 7 Introduction : parcours pédagogique La sortie au cinéma de l’adaptation du livre L’Histoire de Pi de Yann Martel peut être l’occasion de s’arrêter sur cette œuvre à la croisée du roman d’aventure et

Les textes suivant sont, Robinson Crusoé de Daniel Defoe écrit en 1719, La Ville, images à Crusoé de Saint-John Perse écrit en 1904, Suzanne et le Pacifique écrit par Jean Giraudoux en 1921 et Vendredi ou les Limbes du Pacifique de Michel Tournier en 1967. Nous allons étudier comment chaque auteur apporte les modifications nécessaires à leur texte pour différer de l’original. Seul sur une île déserte et en proie à l'inquiétude dans la version originale de Defoe, Robinson tâche rapidement de ne pas

présente le personnage principal Robinson, naufragé sur une île « déserte »qu’il va explorer et apprivoiser jusqu’à sa rencontre avec un indien qu’il nomme Vendredi et avec lequel il va vivre plusieurs années. Chaque chapitre est l’occasion d’en découvrir un peu plus sur la vie sur l’île et sur l’évolution psychologique de Robinson. Explication et justification du titre : Il semble que Michel Tournier qui s’est inspiré du roman de Daniel Defoë « Robinson Crusoé » a pris le parti de l’opposition

TEXTE 4 : Vendredi ou les limbes du Pacifique, Michel Tournier 1967 Robinson Crusoé est un roman d'aventure de Daniel Defoe publié en 1719. En 1967, Michel Tournier publie Vendredi ou les limbes du Pacifique qui retrace l'histoire de Robinson, seul rescapé d'un naufrage sur une île qu'il croît déserte, jusqu'à la rencontre de Vendredi, un indigène. Le texte que nous étudions est un extrait du chapitre 1. Robinson vient d'arriver sur l'île. Quels sont les réactions d'un ho dans un environnement

du Pacifique, publié en 1967. Dans cet ouvrage, Michel Tournier avait déjà repris le très célèbre mythe de Robinson Crusoé, apparut pour la première fois en 1719 sous la plume de Daniel Defoë dans le roman du même nom, inspiré par l’aventure du marin écossait Alexandre Selkirk. II – Résumé du roman (édition de référence : Folio junior) 1759 : un jeune Anglais du nom de Robinson embarque sur la galiote La Virginie afin de se rendre au Chili, pays avec lequel il souhaite faire commerce

En Septembre 1759, Robinson est à bord de La Virginie. Monsieur Crusoé est un commerçant qui navigue jusqu’au Chili pour faire du commerce, mais une terrible tempête fait que Robinson arrive sur une île déserte car le bateau s’est enfoncé. Le commerçant passe beaucoup de temps seul jusqu’à ce qu’il retrouve Ten, le chien du bateau. Un jour, il aperçut une fumée blanche et il découvra des indiens. La deuxième fois qu’il aperçut les indiens, un d’entre eux s’échappa et Robinson le sauva. Cet indien

une réécriture de Robinson Crusoé de Daniel Defoe qui lui a été écrit en 1719, soit un siècle et demi plus tôt. Ils décrivent la solitude totale sur une île expérimentée par un Occidental, mais plus tard survient un « sauvage » : Vendredi. Or la relation des deux Robinson avec ce dernier évolue de manière très différente, bien qu’à son arrivée, ils se pensent tous deux supérieurs et héritiers d’une civilisation détenant la vérité. De fait, Tournier explique que « l’idée que Robinson eût quelque chose

Robinson Crusoé, rescapé du naufrage de La Virginie (avec Tenn le chien du commandant de bord) échoue sur une île déserte, qu'il baptise Speranza (Espérance). Épuisé par la solitude et le désespoir, Robinson cède à la tentation de "la souille", le bain de boue, où il oublie sa condition d'homme et se laisse aller à la nostalgie. Pour ne plus se rabaisser à ce niveau, Robinson décide de revenir à l'humain, en s'entourant de cérémonials dont la démesure fait le grotesque : il tente d'abord de soumettre

exemple citer Le Roi des Aulnes (1970, mythe de l'Ogre), Les Météores (1975) et Gaspard, Melchior et Balthazar. Avec Vendredi ou la vie sauvage, publié en 1977, Michel Tournier a réussi un double tour de force : celui de reprendre le mythe de Robinson Crusoé (créé par Daniel Defoe en 1719) et, après en avoir réécrit une première version (Vendredi ou les limbes du Pacifique, publié en 1967), avoir consacré ce roman à une histoire destinée aux enfants. Cette réécriture d’un mythe destinée à la jeunesse

do Le deuxième conte est inspiré du livre de Defoe, Robinson Il s’intitule d’ailleurs Le Robinson tunisien. Le personnage déclare à la fin du conte : «Au récit de mon aventure, le capitaine s’émerveilla et m’apprit qu’un écrivain anglais nommé Defoe avait raconté dans un de ses romans, Robinson Crusoé, une histoire pareille à la mienne». Au début de l’histoire, le Robinson tunisien se présente et envahit l’espace immédiat de nos enfants par les sonorités de son prénom et son appartenance géographique