Illusion Comique Acte I Scène 1

LECTURE ANALYTIQUE 1 : (L'Illusion Comique : Acte I, Scène 1, vers 1 à "me confondre") Contextualisation : - Le début de ce texte est sous l'influence de la pastorale (genre romanesque du XVIIème siècle, roman gigantesque avec pleins de péripéties, se passe à la campagne, il y a souvent un prince charmant, des bergers et un magicien, comme exemple type il y a l'Astrée d'Urfé). Le début de l'Illusion Comique fait penser au genre de la pastorale car il y a des éléments merveilleux. - "étrange

1) Le principal but d'une scène d'exposition est de situer l'œuvre dans un cadre spatio-temporel tout en présentant l'action et les personnages. Ainsi, nous allons voir que cette scène extraite de l'illusion comique de corneille rempli ces fonctions primordiales. Dans cette scène, l'action se déroule a "l’heure / Où pour se divertir il [Alcandre] sort de sa demeure." Dorante évoque une "grotte obscure" au vers 2, un lieu donc, et la situe géographiquement "au pied de ce rocher". Il précise ensuite

! J'ai rédigé une introduction de commentaire de texte (Acte III, scène 9 de l'Illusion comique), et j'aimerais avoir votre avis par ... Corneille, L'Illusion comique - Questions (Page 2) 10 messages 30 avr. 2014 Corneille, L'Illusion comique, acte III, scène 2 1 message 23 mars 2013 Corneille, L'Illusion comique, acte III, scène 8 3 messages 30 juin 2011 Corneille, L'Illusion comique, acte III, scène 6 4 messages 19 juin 2007 Autres résultats sur

L’ILLUSION COMIQUE – CORNEILLE Comment se manifeste l’illusion théâtrale, pour les personnages, pour les spectateurs ? Quels intérêts peut-on y trouver ? L’Illusion comique est une œuvre qui clôt la période de jeunesse de Corneille, il a vingt-neuf ans quand il crée la pièce en 1635. Elle appartient à la première partie de son œuvre celle occupée de ses comédies, partie méconnue, car Corneille est surtout connu pour ses tragédies. Ce n’est pas du théâtre classique, c’est une œuvre baroque

E.A.F - séquence n°4 : OBJET D'ETUDE : Le théâtre, texte et représentation I - PRESENTATION DE L'AUTEUR : REPERES BIOGRAPHIQUES ET OEUVRES PRINCIPALES Pierre Corneille (1606-1684), aussi appelé "le Grand Corneille" ou "Corneille l'aîné" est un dramaturge et poète né à Rouen dans une famille bourgeoise. Il fait de brillantes études au collège des Jésuites de Rouen (de 1615 à 1622) et devient avocat en 1624. Puis, il se destine à la carrière d'écrivain suite à sa rencontre avec le

côté télé L E S G R A N D E S F I C T I O N S L I T T É R A I R E S D E L’ I N A FRANÇAIS COLLÈGE – LYCÉE L’Illusion comique de Pierre Corneille Ce document n’est pas l’enregistrement d’une représentation théâtrale de L’Illusion comique, mais une œuvre originale, créée à la télévision et pour la télévision, par Robert Maurice, en 1970. Ce réalisateur a assuré la mise en scène et la réalisation de ce téléfilm en s’attachant à servir au mieux le texte et l’intrigue. Pridamant, dont la sévérité

Programme d’étude (durée : quatre semaines) Extraits à étudier (perspective : formes et fonctions du dialogue et du monologue) : • I, 1 : scène d’exposition (acte I tout entier comme prologue) • II, 2 : Matamore, capitaine fanfaron • II, 3 : Adraste, Isabelle • III, 1-2 : Géronte, Isabelle • III, 5-6 : Clindor, Lise • IV, 1 : monologue d’Isabelle • IV, 7 : monologue de Clindor, en prison (cf. contrôle de lecture) • V, 4 : Clindor, Rosine • V, 6 : éloge

fonctions du dialogue et du monologue) : I, 1 : scène d’exposition (acte I tout entier comme prologue) II, 2 : Matamore, capitaine fanfaron II, 3 : Adraste, Isabelle III, 1-2 : Géronte, Isabelle III, 5-6 : Clindor, Lise IV, 1 : monologue d’Isabelle IV, 7 : monologue de Clindor, en prison (cf. contrôle de lecture) V, 4 : Clindor, Rosine V, 6 : éloge du théâtre par Alcandre Etude des genres et des registres : Les genres : la notion de tragi-comédie Les registres : comique, pathétique, lyrique, etc. (cf. extraits

L’Illusion Comique Corneille - 1635      L’illusion comique est une comédie de Corneille qui a été rédigée au début de sa carrière. Cette pièce est à la rencontre de plusieurs genres théâtraux puisque Corneille l’annonce lui-même dans le prologue : «Le premier acte n’est qu’un prologue, les trois suivants font une comédie imparfaite, le dernier est une tragédie, et tout cela cousu ensemble fait une comédie». En réalité, cette pièce relève plus de la tragi-comédie et elle pose la question fondamentale

L’illusion comique La conséquence esthétique de ce redéploiement dans un temps cognitif et dans un espace hiérarchisé n’est pas mince. L’esthétique « baroque » est ici utilisée mais mise en dérision, renvoyée à sa platitude, à sa profusion, à un régime illogique de juxtaposition, puis elle est réordonnée par l’économie de la vision à d’autres principes plus simples d’intelligibilité. Prise du point de vue du contenu, la pièce est baroque (récits, outrances, changements de lieux, étirement du temps)