Illusion Comique Acte I Scène 3

d’histoire de l’art chinois à l’université ; école de cinéma ; admission à un concours lui permettant de se rendre à l’étranger. Voyage en France. 1984 : Dai Sijie s’installe en France, il est titulaire d’une bourse d’étude. 1984-1989 : université Paris I ; entrée à l’IDHEC et réalisation de plusieurs courts métrages. Il réalise un court métrage en Chine : Le Temple de la Montagne. 1989 : récipiendaire du prix Jean Vigo pour Chine, ma Douleur, premier long métrage. 1993 : il réalise son 2e long métrage

ET SAVOIR-FAIRE SAVOIR-FAIRE : UTILISATION D'UN DOCUMENT ÉCRIT (Journal, œuvre, manuel, revue, dictionnaire) Cours : Qu'est-ce qu'un document écrit ? Comment s'utilise-t-il ? Quelles sont les informations utiles ? Éléments d'apprentissage I° Définition Un document écrit est un support écrit se présentant sous forme d'extrait ou de document intégral qui sert à renseigner, instruire, prouver. Il s'utilise selon des critères qui permettent d'en saisir et apprécier les contenus. Ces critères

­ image captivite : met la femme au dessus de lui: “Comme votre beauté la raison lui ôtait,   Comme vous enchaînez sa liberté captive”, Ronsrad est son “gentil serbiteur”  ­ antithese “liberté captive” rendore l’idee que sa liberte n’est qu’une illusion car son amour l’emprisone    ­ ​ structure du poeme​ :   ­ x2 propositions subordonnees “afin qu” cree une montée en puissance jusqu’a la principale “Je vous fais  un présent de cette Sempervive.”    Autre plan possible (minh):    Ce poème fait 

cultures, des civilisations et des religions, à constater la pluralité des goûts et des esthétiques et à s’ouvrir à l’altérité et la tolérance. Elle est l’occasion, pour tous, de goûter le plaisir et le bonheur que procure la rencontre avec l’art. 2 I. Dispositions générales Définitions L’enseignement de l’histoire des arts est obligatoire pour tous les élèves de l’Ecole primaire, du Collège et du Lycée (voies générale, technologique et professionnelle). C’est un enseignement fondé sur une approche

ACTE PREMIER - SCÈNE I La scène représente un appartement du palais de Thésée, dans Athènes. THÉSÉE, HIPPOLYTE, PHILOSTRATE, suite. THÉSÉE.—Belle Hippolyte, l'heure de notre hymen s'avance à grands pas : quatre jours fortunés amèneront une lune nouvelle ; mais que l'ancienne me semble lente à décroître ! Elle retarde l'objet de mes désirs, comme une marâtre, ou une douairière, qui puise longtemps dans les revenus du jeune héritier. [Les personnages d'Oberon et de Titania étaient connus avant

UNE DRAMATURGIE DE L’ÉLOGE.............................44 Les tragédies françaises de Cléopâtre aux XVIe et XVIIe siècles...........................45 La machine tragique : métamorphoses du héros...................................................51 3 La tragédie de Cléopâtre.......................................................................................54 Discours encomiastique, genre dramatique : la réhabilitation tragique..............57 PREMIÈRE PARTIE – LA TENTATION DIDACTIQUE :

Dès son premier écrit : La Naissance de la tragédie, Nietzsche affirme la fonction métaphysique de l'art : « je tiens l'art pour la tâche suprême et l'activité proprement métaphysique de cette vie. ». L'œuvre d'art ne représente pas un objet ou une scène de la vie, auquel cas, il aurait une fonction cognitive limitée et non une fonction métaphysique. L'art présente la vie elle-même au-delà des représentations que nous avons de certains aspects limités de cette vie. Le début du texte est significatif

romantique est cependant d'une certaine beauté et il offre un certain bonheur : « La mélancolie est un crépuscule. La souffrance s'y fond dans une sombre joie. La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste. » (Hugo, Les Travailleurs de la mer, III, I, I) Quant à la femme, elle est un signe distinctif qui renforce son pouvoir de séduction et exprime pleinement la féminité : « Les femmes à taille plate sont dévouées, pleines de finesses, enclines à la mélancolie : elles sont mieux femmes que les

Estelle Plaisant-Soler Professeure agrégée de Lettres modernes Collège Jean Vilar, La Courneuve Claudine Poulet Professeure agrégée de Lettres classiques Lycée Jean Bodin, Les Ponts-de-Cé Sommaire Le personnage de roman, du XVIIe siècle à nos jours 1 2 3 4 5 6 7 Le narrateur et le personnage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 L’identité du personnage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

l’image comme un discours c’est l’opposer à l’image copie, simulacre. Elle n’est donc pas la présence, ni le prolongement de la réalité, mais une représentation. Barthes démontre qu’il s’agit d’une structure, d’un réseau de signes différents. Il y trouve 3 messages : * Linguistique * Iconique codé * Iconique non codé Les messages iconiques sont difficiles à distinguer car partagent la même matière d’expression : l’image. La distinction ne se fait pas dans la perception mais dans l’analyse