Illusion d'optique

aristocratique, il s’adonne à la chasse qui est le plaisir de son rang : « chien de basses-cours ». Il a une courre illusoire « ils l’appelaient tous Monseigneur, et ils riaient à ses contes » L18-20, simple politesse, illusion de se grandeur. Ce ne sont que énumérations des illusions qu’il donne. La baronne n’est caractérisée que par son poids, elle est « importante » car elle pèse lourd. Cunégonde est « haute en couleur, fraîche, grasse, appétissante » par le regard de Candide qui est un regard

idiote, finaliste Théorie du tout est bien = justification de l’ordre social Système fermé, illusoire : Pangloss plus grand philo de la province, de la terre = même chose ? Conclusion Candide vit au paradis des illusion => 1ère étape du livre : le faire sortir de cette illusion Candide à la recherche de Cunégonde = 1er fil conducteur romanesque 2ème fil conducteur philosophique = remise en cause de l’optimisme critique sociale de l’optimisme philosophique de Leibniz 

naturel que nous souhaitons satisfaire nos désirs. En effet, l'on croit communément que le bonheur consiste dans la satisfaction du désir, que le plaisir ne tient qu'à cette satisfaction. Or est-ce bien le cas ? N'y-a-t-il pas plus de bonheur dans les illusions du désir que dans la jouissance que procure son accomplissement ? Ainsi à travers cet extrait, Rousseau aborde les thèmes du désir, du bonheur et de l'imagination et souligne l'importance de cette dernière dans le développement du désir. Il soutient

traduction (ou tradition ????), à l’apparence. On ne choisit pas ses préjugés volontairement, on en reste prisonniers tant que la raison n’est parvenue à les détruire. On dit illusion lorsqu’une croyance ou des convictions ont pour fonctions de renforcées des certitudes subjectives. Souvent séduisante et confortable, les illusions empêchent d’entendre des arguments objectifs car l’illusion est une double ignorance. B- Peut-on juger une croyance ? Les vérités acquises et établies s’imposent à tout

imaginations’’. Devant cette vision du bonheur, il semble que la vérité et la recherche du savoir deviennent des devoirs et qu’il convient d’abandonner tout ce qui n’y est pas strictement nécessaire. Pour Descartes le bonheur semble être une illusion dépourvue de sens et de réalisme. Le bonheur paraît cependant être le but de la très grande majorité des vies humaines. Certains souhaitent le bonheur de l’humanité dans son ensemble, d’autres s’attachent à rechercher un bonheur personnel. Devant

procédé de mise en analogie entre l'animé et l'inanimé est la source intarissable d'où ont jailli la plupart des mythes. Dès lors la raison peut-elle être autonome et la tentative de dominer cette puissance d'illusion n'est-elle pas elle même une illusion de l'imagination? II.L'imagination n'est pas illusoire en ce sens qu'elle assume un rôle que la raison ne veut pas assumer. 1-Exposé a-Les productions de l'imagination sauvent la raison de son impuissance L'âme se caractérise par la tension

ou création d'oeuvres destinées à plaire (beaux-arts), c'est-à-dire à susciter par leur aspect, une appréciation esthétique positive. * réalité : 1) Réalité: * Caractère de ce qui a une existence concrète, par opposition aux apparences, aux illusions ou aux fictions de notre imagination. * Ensemble des choses et des faits réels. 2) Réel: * Comme adjectif : qui existe effectivement, et pas seulement à titre d'idée, de représentation ou de mot (exemple : un pouvoir réel). * Comme nom : l'ensemble

n’est souvent que pure illusion pour l’autre. Cette illusion reflète alors une vérité toute subjective. La vie semble donc osciller entre la réalité des perceptions humaines, que l’on qualifie de vérité, et l'illusion que l’on s’en fait souvent comme prétexte à un moyen de mieux vivre. Mais notre vérité se modifie aussi tout au long de notre vie par l’acquisition de nouvelles connaissances et donc par la modification perpétuelle de nos perceptions. Ainsi nos illusions, qui nous semblaient à

final quel est le véritable degré de notre liberté ? N'est-elle qu'une illusion ? Elle donne à sa vie un sens, son sens, et le désigne comme maître de ses pensées et de ses choix. Elle résulte du désir d'échapper au déterminisme naturel et de construire soi-même son existence. * Les hommes glissent ainsi du sentiment intérieur de leur liberté, vers l'affirmation de la réalité de cette liberté. Il s'agit proprement d'une illusion car, comme le montre Spinoza dans la lettre 58 à Schuller, la connaissance

lecteurs. Ce sont des retrouvailles apparemment romantiques. Ils sortirent. La lueur des boutiques éclairait, par intervalles, son profil pâle ; puis l’ombre l’enveloppait de nouveau ; -Cette phrase semble être une allusion à la fin des illusions de F. Pour la connaissance symbolique, l'ombre apparaît comme une réalité lourde de toutes les angoisses humaines. Ici cette lourde réalité serait que les désirs de F. ne sont voués qu'à l'échec, il s'agit d'une prise de conscience. Détours de