Illusion Romanesque

La caverne symbolise le monde sensible, celui dans lequel nous vivons; les prisonniers c’est nous. Les sons répercutés sur la paroi de la caverne seraient les voix des ombres. Les prisonniers prennent pour le réel ce qui n’est en fait qu’une pure illusion de la réalité, ce n’est que le reflet d’une image. Lorsque le prisonnier parvient à se détacher, celui-ci refusera de regarder le soleil puisque ce dernier l’aveuglera. On ne peut point passer directement de l’ignorance au savoir, puisqu’il faut

croire et qu'ils aiment croire. Cependant si quelqu'un venait un jour et leurs disait qu'il peut prouver l'existence ou non d'un dieux. Voudrez-ils réellement connaitre la vérité, je ne pense guère puisque cette vérité démolirai en un instant toute illusion bienfaitrice et bénéfique à la sérénité et au bonheur. Sachant que la vérité se trouve être de biens nombreuses fois bouleversantes, la solution serait de ne pas la chercher afin d'aspirer à un certain bonheur. On se plongerais alors

d'avancer. Ces personnages ne prêtent plus attention à leur corps, ils sont dégradés, misérables, ce qui leur reste, c'est ce qui nous reste : le lien qui nous unit les uns aux autres. Ce dernier acte est l'acte de la désillusion : le théâtre est une illusion, notre façon de vivre en est une autre.

l'entoure B. Pour quoi, dans quel but désirer ce qui n'est pas nécessaire? Pour vivre mieux. Certaine illusion de l'homme qui pense qu'il aura une vie meilleure et plus idéale en désirant ce qui n'est pas nécessaire: belle voiture, beaucoup d'argent, grande maison, bon travail, mais de tout cela, rien n'est nécessaire, tout peut disparaître d'un coup. Il y aurait donc dans la nature humaine une illusion du désire, comme moyen d'accéder a une vie meilleure. C. Combler son désire humain par ce qui n'est

reflétée une image fugitive pour la grande désillusion de l'homme » démontre la désillusion de l’homme qui est la source de soit même. La désillusion peut provenir après une rêverie mais la rêverie n’est pas source même de la désillusion. « La grande illusion, c’est la guerre, la grande désillusion c’est la paix » Marcel Achard nous démontre à travers sa citation que l’illusion c’est la guerre dans le sens ou elle n’est pas réel. Celle-ci nous transporte dans un monde imaginaire qui peut nous induire

émotions ou encore par la vision que l’on a du monde qui nous entoure, Gustave Flaubert nous montre avec madame Bovary que les rêves peuvent s’opposer malgrés leurs amours si leurs désirs ou leurs visons du monde sont différents. Le rêve est une illusion dans le sens où il nous éloigne de la réalité, on s’approprie le monde à notre façon, le rêve peut donner la sensation d’être placé au-delà de tout, on peut donc considérer le rêve comme extravagant ou démesuré comme nous montre Jacques Prevert dans

Comment peut on arriver à douter de certaines choses, pourquoi certains peuvent affirmer un fait alors que d'autres le démentent catégoriquement ? Une question reste donc inchangée, imaginons quelques instants que nous vivions dans une constante illusion, que tout n'est que fiction autours de nous, que nos sens étaient leurrés, ne serions nous pas possesseurs de croyances plus fausses les unes que les autres depuis le début de nos vies ? La question d'un doute dans nos croyances se pose alors, faut

philosophique) - Mise en place d’une conversation quasi parallèle (impression de cycle) : Non ! rien du tout. Mais glissement à la fois lexical (entendre répété 6 fois est remplacé par voir). Après l’illusion sonore initiale semble suivre une illusion visuelle) et temporel (as entendu /vois) Le passage du PC eu Présent crée un effet d’actualisation : l’action s’enclenche sur la vision. Roberto Zucco, B-M Koltès, 2002-2003 - L’action (l’évasion) semble enclenchée par l’impression visuelle des

second temps, nous analyserons l'émotion du narrateur. Quelles émotions et réflexions le fantastique introduit-til? Tout d abord on remarque qu'a la première strophe le personnage se rend compte que c'est une hallucination et plus précisément une illusion d'optique. L'auteur met en avant cette hallucination par la couleur du miroir , une sorte d'hypnotisme et la facilité à le regarder. C'est pourquoi il emploie le vocabulaire du fantastique tel que « hallucination », « imaginaire », « doute », et

prisonnier (l’homme) pour aller de l’ignorance vers la connaissance. Les prisonniers, enchainés depuis leur naissance et n’ayant qu’une vision fixe face à un mur, reçoivent par l’intermédiaire des montreurs de marionnettes des ombres qui ne sont qu’une  illusion de la réalité, car ces ombres sont créée par la réflexion du feu derrière eux. N’ayant que ces images comme référence de ce qui leur semble être le monde extérieur ils n’ont pas à se soucier  si cela est vrai ou faux il le croie tout simplement.