Illyrie

pensées se diffusent dans l’Empire Romain, comme l’arianisme qui nie que Jésus Christ soit « Dieu, fils de Dieu ». Les ariens étant très influents auprès du pouvoir politique, Martin quitte la région et entame alors un long périple. - Il part en Illyrie pour convertir ses parents, poussé par Dieu dans un de ses songes. Il parvient à convertir sa mère mais son père reste étranger à la religion. Battu, il s’exile en Italie, à Milan puis quitte à nouveau la Lombardie. * Il fonde la communauté

l'endroit où une demande existe. Dans le second texte, il s’agit surtout du financement de l’armée romaine. Rappelons également qu’en matière d'action militaire, Auguste colmate les rares brèches dans l'Empire : en Espagne et dans l'arc alpin ; en Illyrie pour progresser vers le Danube ; en Egypte, devenue après la mort de Cléopâtre une province impériale ; en Orient où la limite de l'Empire est située sur l'Euphrate malgré les efforts d'Auguste pour progresser au-delà. Il ne faut pas négliger le fait

et contre le peuple et le sénat, ne soit pas aimé d’Hérodien. Pouvant expliqué son dénigrement caractéristique dans ce texte. Conclusion : Clodius Albinus fut acclamé en Grande-Bretagne, Pescennius Niger en Syrie et, surtout, Septime Sévère en Illyrie (Croatie).(correction : erreur, c’était en panonnie je crois (actuelle hongrie) Niger et Clodius étaient loin de Rome. Pas Septime Sévère ! À la tête de ses troupes, il fonça sur la Ville à marche forcées. Au fur et à mesure qu'il avançait, toutes

véritable casus belli. En mars 218, Rome demande des explications à Carthage provocant la colère du Sénat de Carthage qui déclare la guerre à Rome. Si Rome n’est pas intervenu en 219 lors du siège de Sagonte, c’est en raison de son engagement en Illyrie. 3. L’invasion de l’Italie Hannibal franchit donc l’Ebre, puis les Pyrénées, et progressant rapidement parvient à la hauteur d’Orange. Le projet d’Hannibal est de porter la guerre au cœur de l’Italie et ainsi de prendre les romains de court. D’ailleurs

Clodius Pulcher, chef des populares, il prend ouvertement parti contre Milon, accusant ce dernier d'avoir tué Clodius de ses propres mains. Ce qui lui valut une accusation de ui[3]. Ami de Jules César, il est chargé de mener la flotte romaine en Illyrie. Salluste est alors exclu du Sénat romain pour immoralité en -50. Il est battu par les pompéiens (-49). De nouveau questeur, Salluste peut réintégrer le Sénat. César lui confie un commandement en Campanie, dont les légions se sont mutinées. Il y

m et donc un nombre de places de 68 000 à 73 000. Enfin, le plus optimiste, l’historien Hülsen compterait prêt de 87 000 places. ->Ces chiffres sont à mettre en parallèle avec ceux des amphithéâtres de la même époque. L’amphithéâtre de Pulla en Illyrie, pour des dimensions similaires et 35 m de hauteur, accueillait 24 000 spectateurs. L’amphithéâtre de Capoue pouvait accueillir prêt de 40 000 spectateurs. L’amphithéâtre d’El Jem à Thysdrus en Tunisie comptait 27 000 places. On peut aussi comparer

refaire ce qu’ il avait fait trente ans auparavant . Il a vécu une jeunesse très particulière: d'abord son père fut chassé du trône par le roi Néoptolème, le cousin de Pyrrhus. Il dut fuir de l’empire de son père et fut recueilli par Glaucias, roi d’ Illyrie. Il fut alors élevé par la femme de ce bon roi, Cassandre, et, même pour une grande somme d’argent, ils ne rendirent pas Pyrrhus a son ennemi. Alors que Pyrrhus avait déjà 12 ans, Glaucias partit avec une armée en Epire et le rétabli au pouvoir. Eh

donc entièrement dictée par Alexandre et son père. Mais avant de reprendre le projet de Phillipe de porter la guerre en Asie il assure la sécurité de son royaume par deux expéditions au nord de la Macédoine, l’une jusqu’au Danube, l’autre jusqu’en Illyrie (fin de l’année 336 avant Jésus-Christ et début de l’année 335 avant Jésus-Christ). Profitant que le nouveau roi soit occupé au nord de la Macédoine, les cités grecques se révoltent. La réponse d’Alexandre est à la fois impitoyable et paradoxale.

démographie en bernes. En 255, une maladie pestilentielle frappa la ville de Rome, elle se répéta en 265-266, puis s’étendit dans l’armée romaine. Il s’agissait de vagues successives d’une grande épidémie qui s’était répandue de Carthage (253) jusqu’en Illyrie (270). Les historiens l’appellent « peste de Cyprien » (d’après saint Cyprien, évêque de Carthage, qui a décrit ses débuts). Ce n’était pas une véritable peste, au sens moderne du terme, mais très probablement le typhus. Une seconde vague fit ravage

opposition entre deux civilisations différentes. C - LE TRIOMPHE : Des lignes 22 à 32, Virgile décrit les triomphes d’Octave (« trois fois triomphant ») s’étant déroulés en août 29 (pour la victoire d’Actium, celle contre les dalmates en Illyrie et celle de la guerre d’Alexandrie). Ce passage, en plus de nous renseigner sur la façon dont les trois jours de triomphe se sont déroulés, notamment avec le défilé des « nations vaincues » (ligne 28), illustre un changement qui s’opère avec la mise