Ils s'aiment

même œuvre. Il cherche à exprimer ses opinions et à surprendre par son extravagance. Les différentes interprétations possibles: L’amour rend aveugle. Lorsqu’on aime, l’apparence physique ne compte plus. La relation amoureuse est étouffante. Ils s’aiment sans se voire, l’amour est impalpable (on ne peut le toucher). On ne peut réellement connaître l’être aimé, ou même il est préférable de ne pas le connaître. Femmes et homme sont égaux, leurs visages sont cachés et seul le vêtement les différencie

l'image de la désolation. Le néant triomphe : le poème se referme sur le mot « rien ». Le poète célèbre, dans une première partie lyrique, la peinture de l'amour, puis il dénonce, dans une deuxième partie engagée, la guerre qui sépare ceux qui s'aiment, qui détruit tout sur son passage.

sous la pluie 
Ruisselante ravie épanouie 
Et tu t’es jetée dans ses bras 
Rappelle-toi cela Barbara 
Et ne m’en veux pas si je te tutoie
 Je dis tu à tous ceux que j’aime 
Même si je ne les ai vus qu’une seule fois 
Je dis tu à tous ceux qui s’aiment 
Même si je ne les connais pas 
Rappelle-toi Barbara
 N’oublie pas
 Cette pluie sage et heureuse
 Sur ton visage heureux 
Sur cette ville heureuse 
Cette pluie sur la mer
 Sur l’arsenal
Sur le bateau d’Ouessant 
Oh Barbara 
Quelle connerie

lui sous la pluie Ruisselante ravie épanouie Et tu t'es jetée dans ses bras Rappelle-toi cela Barbara Et ne m'en veux pas si je te tutoie Je dis tu à tous ceux que j'aime Même si je ne les ai vus qu'une seule fois Je dis tu à tous ceux qui s'aiment Même si je ne les connais pas Rappelle-toi Barbara N'oublie pas Cette pluie sage et heureuse Sur ton visage heureux Sur cette ville heureuse Cette pluie sur la mer Sur l'arsenal Sur le bateau d'Ouessant Oh Barbara Quelle connerie la guerre

du registre lyrique, propre à émouvoir le lecteur. Ex. 1 : dans « Barbara », de Prévert , le récit lyrique d'un amour furtif et avorté par la guerre touche le lecteur, en empathie avec le couple, tout comme le poète. ( je dis tu à tous ceux qui s'aiment...) Le lexique affectif, le rapport à la mère, déclinés dans « Comprenne qui voudra » d'Eluard, attendrissent le lecteur qui se range aux côtés du poète/ avocat de la femme tondue. Arg. 2 – La musicalité propre au genre poétique séduit et transporte

fils d’ Apollon qui lui a offert un lyre avec laquelle il charme arbres et rocher qui se déplace pour l’écouter, attendrit les bêtes les plus féroces et les hommes les plus cruels.-Eurydice est une dryade, une déesse de la forêt. Ils sont mariés et s’aiment tendrementUn jour, Eurydice se baignait avec des naiades (d’autres divinités de la nature) quand Aristée, un berger amoureux d’elle et dont elle refuse les avances la pourchasse. En voulant lui échapper Eurydice marche sur un serpent, sa morsure

relation mêlée de cruauté et d’utilité. 3) Un couple usé Il s’agit d’un vieux couple qui autrefois s’aimait: Hamm: Tu ne m’aimes pas. Clov: Non. Hamm: Autrefois tu m’aimais. Clov: Autrefois ! Hamm: Je t’ai trop fait souffrir. Ils ne s’aiment plus. Clov refuse de l’embrasser, de le toucher, de l’enterrer quand il sera mort. Il lui refuse toute marque d’affection. Hamm est présenté comme un père tyrannique: “Quand il y avait encore des bicyclettes j’ai pleuré pour en avoir une. Je me suis

Amour! "Loi", dit Jésus. "Mystère", dit Platon. Sait-on quel fil nous lie au firmament? Sait-on Ce que les mains de Dieu dans l'immensité sèment? Est-on maître d'aimer? pourquoi deux, êtres s'aiment, Demande à l'eau qui court, demande à l'air qui fuit, Au moucheron qui vole à la flamme la nuit, Au rayon d'or qui veut baiser la grappe mûre! Demande à ce qui chante, appelle, attend, murmure! Demande aux nids profonds qu'avril met en émoi Le coeur éperdu crie: Est-ce que je sais, moi? Cette

ne sont pas les mêmes pour tout le monde, il est impératif que le couple s’accorde sur ce point. Pour conclure, je partage l’avis de l’auteur, même si je pense que renoncer complètement à la sincérité n’est pas envisageable pour des êtres qui s’aiment et qui se respectent. Je pense que le meilleur serait d’être le plus souvent possible franc, correct et être soi-même.

grand acteur de son temps ; Chimène était jouée par la Villiers, l’Infante par la Beauchasteau. Le reste de la distribution est inconnu. III. Les passages clés Don Diègue et le comte de Gomès ont décidé d’unir leurs enfants Rodrigue et Chimène, qui s'aiment. Mais le comte, jaloux de se voir préférer le vieux don Diègue pour le poste de précepteur du prince, offense ce dernier en lui donnant un soufflet. Don Diègue, affaibli par l’âge et trop vieux pour se venger par lui-même, remet sa vengeance entre