Image Décrite

son amoureuse à disparu pour toujours. Dans son poème, Eluard décrit une perception imaginaire « Elle est debout sur mes paupières », « Elle a la forme de mes mains », « Elle a toujours les yeux ouverts et ne me laisse pas dormir », celle ci est l’image de Gala, créature nocturne qui commençait a vivre à minuit alors que lui souhaitait dormir. Une image aujourd’hui devenue triste et qui le fait pleurer. Gala est en lui ,son image est gravée dans son imaginaire et il ne pourra plus s’en défaire

l’évocation du "vent" vers 11 ou du "Zéphyr" vers 57 qui représente l’air ou des "roches profondes" qui représente la terre. Les "rochers", "grottes", "rocs" permettent quant à elle une image minérale de la nature, là où les "sapins", "coteaux", "forêts" et le "roseau" dressent une image végétale. Cette communication imagée du poète avec les éléments de la nature n’est en fait qu’une manière d’utiliser la fonction expressive du langage, puisque le poète n’a en réalité pour but que d’exprimer ses sentiments

référence mythologique à l’amour personnifié en la figure de Cupidon. Par ailleurs, l’amour dans ce poème n’est pas seulement non partagé et source de souffrance face à l’indifférence de l’être aimé, il est aussi source de contradiction. En effet l’amour décrit par Ronsard est excessif mais également insatiable. Le poète semble chercher l’amour de Cassandre pour combler le vide qui le tourmente et ressentir à cause de cet amour aussi excessif que désespéré et vain, un vide encore plus grand. Il se trouve

Baudelaire consacre une partie de son livre, à Jeanne Duval qui fut sa maitresse depuis leur rencontre en 1842. « Parfum Exotique » est le premier dans la section Spleen et Idéal. Ce recueil fut publié en 1857. Dans cette œuvre, l’auteur nous décrit de façon imagée et imaginée la femme, qu’il transforme en une ile exotique puis un port marin. Il convient de se demander comment Baudelaire nous fait part de sa vision de la femme dans ce poème. Nous étudierons d’abord cette rêverie de la femme exprimée

Alain Grandbois Ô tourments Hector Saint-Denys Garneau Cage d’oiseau Dans les deux poèmes, nous pouvons clairement ressentir le mal de de vivre de chacun des auteurs. Hector Saint-Denys Garneau représente sont mal de vivre par une image d’un oiseau dans une cage. L’oiseau signifiant un être vivant pouvant voler de ses ailes, signe de liberté. La cage représentant un lieu restreint, un emprisonnement, un isolement, tous ce qui a de plus triste. La métaphore « l’oiseau dans ma cage

la citadine parisienne (vers 3 et 4) à laquelle il s’adresse, et la campagne naturelle dont le calme l’attire (vers 5 et 6). De la ville, le poème donne une image négative, peu engageante, à l’instar de ce que ressent son auteur. La « ville » est présentée comme un univers statique à travers un tableau désordonné et violent. Elle y est décrite et déterminée par des articles définis : vers 1 (la ville), vers 2 (du gaz), vers 8 (des journaux, la cohue, des boutiques), vers 10 (le bal, le gaz, la réclame)

deuxième section « Spleen et Idéal » du recueil. A travers ces poèmes se dégage une image du poète que nous allons tenter de mettre en évidence. Pour cela nous allons voir l'image du poète dans « L'albatros » puis dans « Élévation » avant de comparer les deux. Dans le premier poème, le titre évoque déjà une idée de hauteur, de grandeur et a une connotation positive. Pourtant, à la lecture du poème, l'albatros est décrit comme « maladroit et honteux » (vers 6), mais aussi comme « gauche et veule »(vers

hommes d’équipage dans l’histoire sont des hommes grossiers qui se moquent de l’oiseau. L’image décrite ici est la situation endurée par un martyr. II- Comparaison avec l’oiseau. « Le Poète est semblable au prince des nuées » (v13). Cette comparaison démontre que la détresse de l’animal est égale à celle du poète. « Les hommes d ‘équipages » (v1) symbolisent la société en général. On a une image d’une société intolérante. « gouffres amers » (v4) symbolise la descente aux enfers, et donc la

sont mises en évidence par l'utilisation de la première personne du singulier : "mon" "moi" "je" 2- Passé simple + Passé composé montre que B. fait le constat de sa jeunesse qui est un temps révolu . Le constat est négatif . Beaudelaire décrit de manière imagée le désespoir et le tristesse de sa jeunesse. C'est un être tiraillé, souffrant, éprouvant soit : - un pessimisme exagéré: " ténébreux orages" -un optimisme débordant: "brillant soleil" cependant le constat demeure négatif avec Le terme

oppose l’innocence des enfants à la cruauté de ceux qui ordonnent la guerre. Par quels moyens, l’auteur dénonce-t-il le système de la guerre et ses conséquences ?             A la faveur de l’étude du contraste e l’évocation des enfants très imagée avec celle des chefs plutôt ironique, nous essayerons de montrer les méfaits de la guerre dénoncés par le poète.             D’emblée, nous pouvons repérer la mise en exergue, dès le début du poème, composé d’une seule strophe, et réitéré au v.5