Image Femme Dans Spleen Et Idéal

ailleurs, dans la notion de formule quelque chose qui relève de l’oralité, formuler serait alors l’équivalent d’une profération de la parole qui ferait être, advenir ; mais alors quel monde le poète fait-il exister ? Est-ce le monde réel, le monde idéal, le monde onirique ? On se demandera quel rapport le poète entretient-il avec le monde ? Le poète se doit-il de formuler le monde tel qu’il est, tel qu’il s’offre à nous à la manière d’un peintre réaliste, ou bien doit-il le transfigurer voire le recréer

à réfléchir (il est vieux=regret).Il y a des dualités lumière><obscurité. Gérard de Nerval (1808-1855) C’est un poète romantique français. Il traite la dualité de l’âme humaine (noir><blanc). Son but : atteindre l’imaginaire. La femme a un rôle important. Ce qui le démarque : la traduction de « Faust » de Goethe (écrivain romantique allemand). Nerval (irréel, fantastique, merveilleux) annonce le surréalisme (20èmè siècles)

comparaison dans Tercet 1 et 2 > avec outils de supériorité qui se développe sur 5-6 vers. Il est mit en valeur par l'anaphore. 2) La mise en scène d'une Rome fantasmée - réfèrence soit à des lieux mythiques : ex : le mont Palatin (Romulus Rémus) - image du faste* (richesse) qui est développé à travers le mot palais et le mot marbre - réfèrence à l'air marin qui rappel l'épopée d'Ulysse * En plus, le faste de rome est soutenue par la diérèse : audacieux > insiste sur l'adjective qui valorise les

majuscule. Baudelaire personnifie souvent le temps dans son œuvre, dans Les fleurs du mal il en fait « l’Ennemi »[1], titre de la pièce X de « Spleen et idéal », première section du recueil. Le temps plie l’homme vers la tombe d’où l’image du fardeau que l’on porte courbé, penché vers la terre. « Esclaves martyrisés du Temps » surenchérit encore sur cette image pour atteindre une vision pascalienne de la condition humaine[2]. Comme les prisonniers de la caverne de Platon, ou les condamnés à mort des

2. Les yeux verts 90 3. 5. Les couleurs de la nature 91 3. 6. Les couleurs du spleen 91 3. 7. Les couleurs mystiques 92 4. PAYSAGE, POESIE ET PEINTURE.

la Santé SFSP Audition publique BCG, Paris 13-14 novembre 2006 * Présentation : * « Maladies,médecines et société » :approches historiques pour le présent- F.O. Touati-p223-233 * Ouvrage : Jacques Chrétien, « La tuberculose parcours imagé », éditions Hauts-de-France,tome 1 * Ouvrage : Pierre Guillaume, « Du désespoir au salut : les tuberculeux aux 19e et 20e siècles », Aubier, 1986 * Ouvrage : « L’homme romantique », paru en 1984 de Georges Gusdorf, philosophe et épistémologue

le reste de la poésie), par l’aspect très visuel et donc très entraînant, très actuel des images violentes (le « ver ») ainsi que par la forme dialoguée. Enfin, ce poème très sombre n’exclut pas la sensualité, au contraire, puisque le corps de la femme, ses « flancs » et sa « poitrine » son « cœur » et ses « pieds » couvrent tout le second quatrain, comme si, malgré les mots et la rhétorique du poète, le corps concret primait. En revanche, les trois autres poèmes n’ont pas forcément le but de charmer

du Mal, cest qu’on reconnaît en elles un sommet de la poésie française, et un moment important de son histoire. Toute une part de la réception moderne et contemporaine est pourtant assez critique à leur égard, et tend à leur préférer par exemple Le Spleen de Paris, ce titre que Michel Deguy na pas hésité à emprunter à Baudelaire.*1 Beaucoup, comme déjà Rimbaud, trouvent leur forme "mesquine"1.*2 Et Jean-Marie Gleize dit préférer pour les "chiens" de la prose baudelairienne aux chats qui hantent les

d’humour de cet essai le rend particulièrement accessible aux lycéens. Les questions posées et les réponses apportées sont à la fois essentielles et limpides. LA POESIE APOLLINAIRE G., Alcools. BAUDELAIRE C., Les Fleurs du Mal, section « Spleen et Idéal » ; Le Spleen de Paris. ELUARD P., Capitale de la douleur. HUGO V., Les Contemplations. JACCOTTET P., L’Effraie. PREVERT J., Paroles. RIMBAUD A., Illuminations ; Le Cahier de Douai. Ces derniers poèmes constituent un ensemble tout à fait accessible

l’aime. Lignes 634-640 : elle fait un portrait antithétique d’un Thésée maintenant vieilli et infidèle. Infidèle car « volage adorateur de milles objets divers » : le mot objet qu’on peut traduire par femme. « qui va du Dieu des Morts déshonorer la couche » car il a même essayé de voler la femme du Dieu des Morts. Puis elle fait son portrait lorsqu’il était jeune et fier (voilà pourquoi on peut parler d’un portrait antithétique). « Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche » : mais de qui