Image Négative De La Femme

et les métamorphoses du vampire fait apparaitre une vision particulière de la femme ainsi que du vampire et du surnaturel. Nous allons chercher à comprendre pourquoi le poète associe-t-il le poète à la femme et pourquoi nous donne-t-il une vision si particulière des vampires et du surnaturel. I. Le vampire associé à la femme samedi 9 février 2013 18:46 Baudelaire nous donne une vision particulière de la femme à laquelle il associe le vampire. Elle est représentée comme toute puissante,

LA BARBIE Problématique : L’image de la Barbie est-elle représentative de la femme européenne d’aujourd’hui ? Introduction : La barbie : caractérisée par ses cheveux blonds, ses yeux bleus, sa silhouette fine et élancée, sa poitrine opulente, elle représente "l'américaine type" et devient la reine de l'industrie du jouet pour enfant. Elle représente un idéal, celui de la femme parfaite et un symbole, celui de la société de consommation. Elle est la poupée mannequin la plus connue et la plus

allons énoncer l’influence d’un corps introuvable, ensuite les aspects négatifs à cette image parfaite dictée par notre société. Au jour d’aujourd’hui, notre société nous influence en vue d’une exploitation marchande. Les corps des femmes sont les principales cibles de cette dictature de la minceur. En effet, la majorité des femmes d’aujourd’hui rêvent toutes d’un poids impossible à atteindre. Seulement 1 femme sur 5 se sent bien dans sa peau, soit 70 % des femmes se trouvent trop grosses. Les femmes

entre la femme et la fleur est classique dans la poésie amoureuse. Lors du second paragraphe apparaît l'image de la chasse "ces hommes [...] chassaient" et la femme devient un "gibier souple et fuyant". À la fin du texte, la métaphore filée du commerce impose l'idée de prostitution : les femmes "se vendaient, celles-ci marchandaient leurs caresses", la plage est comparée à une "halle d'amour". Avec cette succession d'image, Pierre nous fait passer d'une image traditionnelle et galante de la femme à une

Travail sur Niki de Saint Phalle Suite Question 3 * Une nana La nana est une des œuvres les plus présentes chez Niki de Saint Phalle car elle représente la femme moderne par ses formes et ses rondeurs. L’œuvre représente une femme orange qui tient un ballon dans sa main droite et qui est posée avec le pied droit levé sur un dauphin multicolore. Elle peut représenter une nageuse qui danse avec un dauphin ce serait une sorte de spectacle et le moment choisi par l’artiste serait le impressionnant

 I La beauté et la femme Construit autour d’une rose dont il s’agit de détailler les atouts, le poème propose une métaphore filée de la femme. a) Métaphore de la fleur  Sous le prétexte d’admirer cette rose, le poète construit en effet une métaphore autour de la femme. Celle-ci n’est désignée que par le titre « mignonne » (v. 1, v. 13), les pronoms personnels des 12 premiers vers renvoyant eux à la rose.  La mention de la « robe » (v. 3), reprise par le détail des « plis de sa robe » (v. 5)

analyser la vision de la société par Balzac. I/ Les personnages type du roman Pour commencer, Rastignac est présent depuis de nombreux romans dans la comédie humaine. Il n’est pas riche au début de sa vie. Puis il rencontre Delphine. Cette jeune femme était ignoble avec son Père, qui, lui, la chérissait. Elle épouse ensuite le baron de Nucingen ; ainsi Rastignac comprend que les femmes sont un des moyens pour s’élever dans la société. Eugène de Rastignac a donc commencé à fréquenter Delphine, sous

de ce phénomène musical. Réda parcourt les lointains et les banlieue en train, en bus, à pied ou à solex. Il a fait à de nombreuses reprises l'éloge de la lenteur dans la poésie. I Le lieu Le titre → Informatif et descriptif → photographie (image moderne) → indique les personnages (= fiction, n'existe que le temps d'une histoire) dont il va être question dans le poème → banlieue = ensemble des localités qui entourent une grande ville → elles sont dépendante de la grande ville qu'elle entoure

le départ entre les périphrases que l’on dira "classiques", presque lexicalisées, et qui sont le fait de Théramène ("le joug que Thésée a subi tant de fois" v. 60, ou encore Vénus v. 61) et les périphrases ou les atténuations plus neuves, plus négatives aussi, qui attirent d’autant plus l’attention, et qui sont le fait d’Hippolyte : ainsi de l’indigne obstacle (v. 24), des faits moins glorieux (v. 83). D’autre part, Théramène joue de la palette expressive dans les deux sens, celui de l’atténuation

(second quatrain), pour finir dans les « ténèbres » v.14 (second tercet). De plus, nous voyons que Baudelaire utilise l’image de la mort de façon négative, notamment dans le Revenant, où il cherche à effrayer une femme, grâce à la comparaison « froids comme la Lune » v.6, aux expressions : « caresses de serpent » v.7, qui est un animal à connotation négative, « matin livide » v.9, qui est la couleur des morts, « vide » v.10, « froid » v.11 (qui est une répétition avec celui du vers 6), « effroi » v