Image Négative De La Femme

pouvons étudier le portrait d’une femme. Un éloge est fait, non pas de sa beauté, mais de sa laideur, elle est le contraire des caractéristiques de beauté du siècle de du Bellay, et c’est une satire des courtisanes de cette époque. Il apporte une touche de modernité à la poésie. Ce texte est un sonnet composé de deux quatrains et de deux tercets, eux-mêmes écrits en alexandrins. Au premier abord, le poème peut sembler être un éloge de la beauté d’une femme, cette éloge étant accentuée par l’anaphore

photo est d’Eugenio Recuenco, grand photographe de mode espagnol, connu pour ses illustrations décalées des contes de Perrault. La campagne est portée par Ruslana Korshunova, l’égérie de cet univers de conte de fée. Le genre médiatique de cette image relève du divertissement et de l’information commerciale. On la trouve dans les magazines féminins, dits de « littérature de délassement intellectuel » en tant que supports publicitaires annonçant la mise sur le marché d’un parfum et en faisant la

défi . Après maintes péripéties, Gilliatt réussit sa mission mais s'aperçoit à son retour que Déruchette s'est éprise en son absence d'un jeune pasteur , et que celui-ci l'aime en retour. Gilliatt se sacrifie et s'efface pour le bonheur de la jeune femme. Il se laisse mourir sur un rocher peu à peu submergé par la mer. Cet extrait est entièrement consacré à la description de la pieuvre, où s'accumulent toutes les peurs, toutes les répugnances des hommes. Comment Hugo,en présentant des aspects

Soclès il devient plus cruel après avoir écouté les conseils de Thrasybule de Milet (tyran de Milet durant le VIIe siècle av.n.é., allié de Périandre) > après cela il élimine les aristocrates qu’il estime dangereux pour son pouvoir ; assassine sa femme Mélissa « l'ombre de Mélissa » (l.20,29) et lui instaure un culte : « en adressant des prières à Mélissa. » (l.29). - Ce que Soclès ne dit pas :

Rhenal, c’est ce qu’elle attend chez un homme - subjectivité de Mme de Rénal :          -> intensifs : « si »         -> modalisateurs de jugements         -> vocabulaire à dominante féminine - Méprise et jeu d’antithèse : Personnage imagé, préjugé du précepteur       | Julien | Précepteur sale | bien propre | Mal vêtu | Chemise bien blanche | Méchant | Yeux doux, vient de pleurer | Vieux | Jeune | Tombée des préjugés => surprise => quiproquos => discours => fin

longue que négative (= domaine poésie) 2. Nouvelle vision de la femme - décalage de la beauté par rapport à la norme => Baudelaire : « le beau est toujours bizarre »- Série de champs sémantiques sui renvoient à l’obscurité « noir »v8 « antre »v9 « ténèbre »- opposé à blanc/pureté : retrouve esthétique de Baudelaire pour sombre, pour beauté métissée - lien antre le noir et les effets = corrélation « surprenante » (qualificatif comportemental)- nouvelle métaphore pour désigner la femme : la lune

permanente et paradoxale car aucune blessure n’est visible. On peut évoquer à ce sujet l’image du Tonneau percé des Danaïdes. La deuxième strophe aggrave cette image de cauchemar en découvrant un flot immense, en effet avec la progression du poète fontaine à la ville (‘‘cité’’ v.5) puis à toute la ‘‘nature’’ (v.8). On a ici à faire à une image hyperbolique ou une crue de sang. On peut évoquer à ce sujet 2 références religieuses importantes : tout d’abord l’image du Christ en croix dont Joseph récolte

L’éducation se divise en trois grands points, le premier point est l’inculcation, transmission explicite et contrainte par les agents socialisateurs ici les parents, assortie de sanctions positives et de sanctions négatives pour orienter le comportement de l’agent socialisé ici l’enfant, cet apprentissage s’effectue de manière

syllabes, 3 syllabes Les yeux dans les yeux, / restons face à face, 5/5 + « les yeux dans les yeux » et « face à face » : binarisme redoublé Tandis que, sous / le pont / de nos bras, passe 4/6 ou 6/4 ? enjambements des césures possibles (image du pont) Des éternels regards / l’onde si lasse ! 6/4 contre-rejet de « passe » + inversion : « l’onde […] des […] regards » Vienne la nuit… L’amour s’en va / comme cette eau courante. 4/6 comme = préposition introduisant un

EL DESDICHADO, Nerval 1854 I. Un poète malheureux en Amour A. La perte de la Femme et le registre élégiaque - Dés le vers 1,la mort est annoncé «veuf» (mise en évidence parce-que placé entre 2 adjs et des tirets.) Vers 3, confirmation du deuil «Ma seule étoile morte» ® Métaphore: étoile en italique pour montrer l’importance . Etoile = Supériorité, brillance , magnifique.. Champs lexical de la mort : «tombeau» «Achéron» «Soleil noir» «nuit» « ténébreux» - Personne n’est identifier