Images par seconde

chronophotographies. L’esthétique de l’ instant quelconque , soit des photographies toutes équidistantes les unes des autres. Inventeurs du fusil chronophotographies, caméra produit 1 image tous les 25 centièmes de seconde 24-25 photos par seconde dans une caméra/ appareil numérique. « L’atterrissage du pélican », 1882 , E-J MAREY · BALZAC « Le colonel Chabert », 1832, La Comédie humaine – Scènes de la vie privée – Réalisme

paradoxalement sous des cameras amateurs, que se déploient les attentats. Néanmoins la surprise est telle que le premier accident n’est saisi que lorsqu’il a eu lieu. Pour le second attentat, la camera alors présente montre l’arrivée de l’avion sur le lieu du drame et son encastrement dans la seconde tour. Les premières images immédiatement reprises sur les chaines d’information américaine permettent dans un très léger différé de rendre compte de l’importance de l’événement. Les medias désormais

organise, avec leur accord, les travaux des différents techniciens : habilleuses, maquilleuses, accessoiristes, etc. C'est lui qui, sur le plateau, dirige la figuration et organise les mouvements de foule et de véhicules. Il est aidé dans sa tâche par un second assistant et un stagiaire. Voir également son rôle dans l'équipe de tournage DECORATEUR Technicien responsable de la conception, puis de la fabrication des décors d'un film. Il est chargé de la réalisation des maquettes, puis de l'exécution

une mission d'ingénieur, avec des considérations scientifiques au second plan. L'engin était quand même équipé de quelques instruments pour étudier la structure interne de Mars. Le robot Sojourner était un petit véhicule à six roues, mesurant 65 cm de long, 48 de large, et 30 cm de haut. Il pesait 10,6 kilogrammes. Il avait la capacité de se déplacer jusqu'à 500 mètres de l’atterrisseur, à une vitesse de 1 centimètre par seconde. Pendant 83 jours, il renvoya 550 photographies vers la Terre et analysa

I. La dénonciation des illusions. 1. Retrouvons-nous dans la description de cet extrait les images utilisées dans l’imaginiare collectif pour décrire les Antilles ? Quel effet cela crée-t-il ? L’auteur utilise quelques clichés publicitaires pour les Antilles, mais ces clichés sont associés à des termes péjoratifs,  « Puis je me tournais vers des paradis pour lui et les siens perdus »  « une vieille vie menteusement souriante »  « force putréfiante des ambiances crépusculaires » L’effet est

Presley, Marlon Brando,... Il met en lumière (critique pour certains) la société americaine à travers les grands thèmes qui la caractérisent : la consommation, le succès et la mort. Il disait :"J'aime l'Amérique, et cela pour diverses raisons. Mes images sont des messages symboliques concernant les produits tape-à-l'œil, impersonnels, et ces objets matérialisés à outrance sur lesquels l'Amérique d'aujourd'hui est construite. Ils sont la projection de tout ce qui peut se vendre et s'acheter ; des symboles

synthèse a. PRÉSENTATION b. CARACTÉRISTIQUES c. PROGRAMMES DE DESSIN d. IMAGES 3D e. RÉALISATION f. LE LANCER DE RAYON 2. Photographie a. PRÉSENTATION b. Noir et blanc / couleur c. La place de la photographie dans les arts 3. L’Appareil photographique a. Description d’un appareil photographique b. L’objectif 4. Caméras 5. Numérisation des images 6. TECHNIQUES SPÉCIFIQUES a. Photographie ultrarapide b. Micro filmage

des années 60, il décida tout d'abord de transformer en art des images quotidiennes, connues de tous, des images ancrées dans l'imaginaire collectif des américains (Superman par exemple) puis des objets que l'on trouve dans les supermarchés, (bouteilles de coca cola, boîtes de soupes...). Warhol transforme ces images, ces objets en icônes (= images symboliques) de la civilisation contemporaine. Il collectionnait également des images prises dans des journaux (portraits de stars, d'accidents, de fleurs

territoires-memoire.be ● Billet d’ « horreur »_____________________________________________ Situé en plein centre de Liège, le musée ‘Les territoires de la mémoire’ nous emmènent au cœur même du souvenir et de l’horreur, à savoir la déportation durant la seconde Guerre Mondiale dans les camps de concentration et d’extermination nazis. Sous forme d’un parcours hautement symbolique, les visiteurs vont traverser une douzaine de salles – illustrant chacune un lieu de mise à mort – afin de comprendre l’ampleur

disait « 5 doigts sont une main ! Avec ces 5, attrapons nos ennemis ». En résumé, John Heartfield était très voué au Communisme et au Marxisme, il a utilisé ses photomontages pour dénoncé le nazisme et a dû s'exiler dans plusieurs pays pendant la Seconde Guerre Mondiale pour fuir le nazisme. II – Analyse de l'oeuvre Nature de l'œuvre : C'est un diptyque verticale car l'oeuvre est en deux parties composé d'un photo d'un bas-relief en haut et d'un photomontage en bas. L'acteur photographié s'appelle