Imitation Réel Roman

Surréalismesynthèse sur le surréalisme contexte d’apparition et de développement 1) origines et dates clés ● apparaît en réaction à la première guerre mondiale, le terme date de 1917 dans “Les mamelles de Tirésias” d’Apollinaire. Dedans il refuse le mimésis (imitation) et prône la créativité. Son but est de comprendre l’Homme dans son entièreté, d’exprimer l’expérience humaine dans sa totalité. ● Les grandes figures du surréalisme sont André Breton, Philippe Soupault, Paul Éluard et Louis Aragon. ● En 1919, les

LES BONNES SOMMAIRE L’identité de la représentation 2 Biographie de Genet: 2 Le théâtre de l’absurde: 3 Le théâtre dans le théâtre: 3 Un fait réel: 4 Résumé de la pièce: 4 Analyse de la pièce 5 Le schéma actantiel: 6 La tragédie dans “Les Bonnes” 7 Les principes aristoteliciennes: 7 Conclusion: 12 Bibliographie 13 . L’identité de la représentation Théâtre: Georges Armène-Nouveau

Les personnages sont des géants : ex : Achille, Atrée, Oreste. Les tragédies antiques sont caractérisées par « proportions gigantesques et démesurées ». La religion : Paganisme avec grandissement de l’♂ et rapetissement dieux Transition : les Romans c) Temps modernes : Caractérisés par une volonté de vérité, désireux de savoir, de connaissances (héritage du 18ème), les temps modernes sont dramatiques. C’est sur le mode du réalisme que « la société peint la vie » au travers de Drame

dicté par le devoir. Œdipe et Antigone, Achille et Ulysse, Lancelot et Siegfried, Hamlet et Macbeth ont en commun l'invariabilité : sauf en de rares moments de faiblesse ils vont dans le sens d'une même éthique supra ou extra-humaine. Le « héros de roman », par contre, obéit à la loi du changement. Il suit un itinéraire jalonné d'obstacles ou de conflits qui le modifient, sinon le transforment. Au terme de leur aventure, Rastignac, Julien Sorel, Raskolnikov, Emma Bovary, Lord Jim ne sont plus les mêmes

l'esprit nous faisons sans cesse des catégories '( ex: tables alors qu'elles ne sont pas identique ) et on l'oublie parfois ( pareil avec le moi qui est enfaite multiple et différentiel ). Selon Breton, le moi unique viendrait de l'influence du roman où les personnages st définis ainsi que leur identité. Pour Nietzshe, cela viendrait de la religion → moi rationnel, maitre de soi pr pouvoir lui reprocher ses péchés. Le désir : Plusieurs conflits classiques ( désir / liberté, désir / bonheur

théâtre, avec Ionesco et Beckett. Vers les années 1950, les écrivains remettent en cause le roman dit traditionnel du XIXème siècle, la forme narrative linéaire, le personnage-carte d'identité et fondent le Nouveau Roman (Alain Robbe-Grillet, Nathalie Sarraute, etc.). A partir des années 70, on ne cesse de questionner toutes les formes littéraires existantes. Les genres hybrides ont une préférence : roman-dialogué, nouvelle adaptable au théâtre, la poésie perd du terrain au profit des formes narratives

dépourvue de toute singularité, l’archétype d’une pipe en quelque sorte. Le trouble provient des mots ajoutés par le peintre à son tableau, des mots qui font corps avec lui, en sont indissociables : «Ceci n’est pas une pie la chose et sa représentation, le réel et son image. (...) L’injonction du regard par Gérard Collas ”Images documentaires” 32/33 Nulle part, il n’y a de pipe. A partir de 1à, on peut comprendre la dernière version que Magritte a donne de Ceci n’est pas une pipe. En plaçant le dessin

toute singula- rité, l ’archétype d’une pipe en quelque sorte. Le trouble provient des mots ajoutés par le peintre à son tableau, des mots qui font corps avec lui, en sont indissociables : «Ceci n’est pas une pie la chose et sa représentation, le réel et son image. (...) L’injonction du regard par Gérard Collas ”Images documentaires” 32/33 Nulle part, il n’y a de pipe. A partir de 1à, on peut comprendre la dernière version que Magritte a donne de Ceci n’est pas une pipe. En plaçant le dessin

Personnages :La mère dont le surnom est le titre du roman, Sido. La première partie du roman lui est consacrée mais elle demeure le personnage central du récit autour duquel gravitent et s’organisent les souvenirs de Colette. C’est elle qui a principalement marquée l’auteur dans son enfance et qui l’a initiée à la découverte de la nature. Femme particulière, elle entretient une relation fusionnelle avec Colette qui se transforme en jalousie lorsque celle-ci ressent une attirance pour une autre femme

théâtre comme une “imitation” (mimesis) des “hommes en action”, “au moyen d'une action”, et non d'un récit, comme dans l'épopée, par exemple. Même si, définie ainsi, la notion semble vague, il en ressort quand même qu'elle peut utiliser aussi bien des signes linguistiques et textuels (le vers tragique) que ceux, non linguistiques, d’une représentation (décor, espace, acteurs ... ). La mimesis est donc d’abord la fabrication d’un nouvel objet, autonome par rapport à son modèle, réel. Or parfois on l’a