Imitation

et sa « purgation des passions » ou catharsis. « La tragédie est l'imitation d'une action de caractère élevée et complète, d'une certaine étendue, dans un langage relevé d'assaisonnement d'une espèce particulière suivant les diverses parties, imitation qui est faite par des personnages en action, et non au moyen d'un récit, et qui, suscitant pitié et crainte, opère la purgation propre a pareilles émotions. » _ Aristote Dans sa citation, Aristote nous propose la cause et l'effet du plaisir, qui

côtés de l'histoire on s'approche du théâtre absurde. L'auteur fait ainsi hommage à l'oeuvre originale tout en s'adaptant au public actuel, il réécrit mais tout en inventant, il s'agit donc bien d'une invention. La réécriture n'est pas une simple imitation mais aussi une interrogation et une interpretation de l'auteur souvent inspirés par les textes qu'il a lu. On peut en effet dire que l'auteur porte un jugement sur le texte initial en le modifiant, faisant presque office de juge puisqu'il modifie

semble préoccupé que de la beauté de l’œuvre, beauté toutefois protéiforme et problématique en raison de sa résistance propre à toute tentative définitionnelle… représentations courantes L’art comme imitation A) Thèse : Selon cette représentation, l’art devrait être pensé comme une imitation du modèle naturel, seule source paradigmatique de beauté et de perfection ; ainsi, l’artiste a vocation de contempler la nature, objet de toute inspiration, afin d’en reproduire le plus fidèlement possible

pensez-vous ? « L'art, dit Paul Klee, ne reproduit pas le visible ; il rend visible. » Si l'art reproduisait ce qui se présente à nos yeux il serait une copie de ce que nous voyons ordinairement. On retrouve là l'idée traditionnelle de l'art comme imitation de la nature. Mais cette idée traditionnelle n'est peut-être pas si claire car il s'agissait d'imiter la nature comme Cosmos. Or l'idée de cosmos renvoie à l'idée de parure et donc à une idée esthétique. L'art serait donc aussi du côté de cette nature

donné la structure du marché je pense qu’il s’agit d’une erreur, pour deux principales raisons. Une imitation n’est en rien comparable à une œuvre l’originale, une œuvre originale marque le concept de l’artiste, son essence, elle raisonne de manière totalement différente. Imitation ou reproduction ? Dans ta réflexion, original ne s’oppose pas mieux à reproduction plutôt qu’à imitation ! Ben une imitation dans el sens où l’artiste touches des royalties La deuxième raison est réellement budgétaire, un

refoulement », il faut rappeler que le mot art tel que nous l’utilisons aujourd’hui (au sens des « beaux-arts ») n’existe pas chez Platon : peinture, poésie et musique ne forment qu’une partie de la technê. Platon va définir l’art comme mimêsis, imitation. Prenons un exemple : lorsque je vois une chose singulière, par exemple un cheval, et que je dis « c’est un cheval », ce que je reconnais c’est l’être, l’essence, la forme ou encore l’Idée de cette chose. L’idée, c’est ce qui dans la chose est permanent

réel. 2 - LA FONCTION SYMBOLIQUE OU LA PENSEE PREOPERATOIRE A la fin de la période sensori-motrice, vers 1 à 2 ans, l'enfant a acquis une expérience suffisante ( gestes, déplacements, marche, et paroles) pour que ses imitations généralisées deviennent une imitation différée. Il devient capable de se représenter des situations en jouant à faire semblant de ... Il joue à être un chat en se mettant à quatre pattes et en imitant le cri de l'animal même quand le chat n'est plus présent. L'enfant

soient supérieur aux autres. C'est avec Aristote que le mot Catharsis devient philosophique avec le rapport à la musique et au drame dans l'éducation. "La tragédie est une imitation (mimésis) d'une action qui par le moyen de la pitié et de la crainte produit l'épuration (catharsis) de telles émotions." On produit une imitation de réel (colère et feinte) de façon à provoquer une émotion puis dans un second temps obtenir une libération de ces émotions telles que le soulagement d'avoir vécu à distance

données théoriques. L’argument principal de Mauss, c’est que les techniques de corps varient dans l’espace comme dans le temps. Elles sont différentes et spécifiques tout dépendamment de la société. Elles sont apprises de façon explicite ou par imitation. Dans le premier chapitre de l’ouvrage, l’auteur désigne les techniques du corps par « les façons dont les hommes, société par société, d’une façon traditionnelle savent se servir de leur corps »3 Cette citation suggère que les techniques du corps

point de sang-froid qu'il travaillerait, mais par suggestion et inspiration Mais le choix des sujets de l'oeuvre d'art, la disposition et l'emploi des matériaux, tout cela relève-t-il seulement de l'imitation ? Telle nature morte de Cézanne, imitation par principe de la nature, ne nous conduit-elle pas, par la lumière sur les objets, par l'équilibre des formes, à un au-delà de cette nature ? Et quelle réalité naturelle pourrait bien copier un art comme l'architecture, qu'elle soit publique, privée