Immortalité

dégradant, coté peu énergique. B) Le poète .Ronsard met en scène sa propre mort dans le vers 9 « je serai sous la terre, fantôme sans os » qui est sans importance ca il estime avoir gagné l’ immortalité grâce à ses écrits. .L’ image de la personne âgée de Hélène est mis en rapport avec l’ immortalité de Ronsard dans les rimes « nouvelle », « immortelle », « sommeillant », « réveillant », « accroupie » et « vie ».

Support : « Je vais te permettre de partir », page 158 (manuel). Formation des mots 1)Observer le mot « immortalité ». -Quel est le radical (ou racine) qui a servi à construire ce mot ? (mort). -Quel en est le préfixe (élément placé devant le radical) ? (im-) Quel est le sens de ce préfixe ? (« qui n’est pas »). -Quel en est le suffixe ? (-alité). A quelle classe le mot « immortalité » appartient-il ? (noms). 2) Dans le texte, relevez un mot formé d’un radical + suffixe. (ex. vieillesse)

peuple non commune ». V.7 C de lieu met en valeur le participe passé « écarté ». D.B un poète qui visait l’immortalité : « immortalité » mis valeur par place à fin du vers + rime avc adversité. Mais immortalité a pr condiØ reconnaissance, donc quête de reconnaissance pr D.B qui le montre → « soucis » et « désir ». AllitéraØ dentales v.3 donne à entendre quête immortalité. Mais projet pas égocentrique → D.B veut contribuer à grandeur de l’humanité → répétiØ « honnête » = digne. Quête de la

est alors utile et répond à une nécessite d’ordre instrumentale. La différence entre ces objets qu’on ne rencontre pas dans la nature est « une certaine permanence ». Selon Hannah Arendt, cette permanence peu varier ,de la durée ordinaire à une immortalité potentielle dans le cas d’une œuvre d’art. On peut alors se tourner vers le passé et voir ce qui reste comme traces des Hommes d’il y a plusieurs milliers d’années. On retrouve comme objets fabriqués par l’Homme des créations artistiques. C’est

[…]. » Après que Lucas est avouer cela à Zofia, ils se font poursuivre par quelqu’un envoyer par Lucifer pour blesser Lucas et lui montrer que l’amour lui a enlevé un partie de son immortalité. Le 5ème et le 6ème jour de leur mission, Julie les lit d’un seul trait. Zofia et Lucas ne veulent pas de leur immortalité s’ils ne peuvent pas vivre à deux. Zofia va essayer de ranger Lucas du côté des « Gentille ». Mais il n’y arrive pas. Son côté démoniaque revient toujours à la surface. Pour Zofia, c’est

qu'elle ne l'est. 2ème strophe: elle sera immortelle grâce a ses poèmes 3ème strophe: mort du poète 4ème strophe: Carpe Diem Détails: 1 quatrain : futur de ce qui attend Hélène ; le viellesse « Quand vous serez bien vieille » 2 quatrain : immortalité d'Hélène grâce aux poèmes de Ronsard . 1 tercet : mort du poète 2 tercet : Carpe Diem , epicure Q2) « bien vieille » le mot bien renforce l'idée de vieillesse « assise près du feu » fait référence à la vieille dame qu'elle va devenir

Selon Hannah Arendt, l'œuvre d'art n'a aucune utilité, on les met à l'écart de l'usure, de l'usage, elle se préserve > image d'immortalité rassurante pour les mortels que nous sommes. L'œuvre d'art permet d'atteindre une immortalité non pas physique, pas biologique mais une immortalité de nom. Ils deviennent immortels par leurs réputations, ne gardent que le meilleur. Œuvre d'art et religion ont été étroitement lié > perception du surhumain donne une illusion, dépasser la condition humaine (transcendance

le passage des générations donc par la procréation. Elle se situe à deux niveaux, au niveau du corps par l’union d’un homme et d’une femme et au niveau de l’âme dans le contact entre les hommes. Ce contact va permettre de trouver la véritable immortalité, celle qui ne situe non pas au niveau du sensible mais au niveau de l’intelligible. On va également se servir de l’Amour comme moyen d’accès au beau, l’Amour comme passion qui s’appuie sur le sensible (le corps) et l’intelligible (l’âme). L’Amour

(ici, la poésie) • Immortalité du poète : chp lexical musique, poésie ; accumulation de participes présents v2 et 3, d’où assonance en [an] -> équivalent présent de vérité générale (+/-) ; évocation de Ronsard par lui-même, répétition de son nom v. 4 et 7, positions remarquables, soit en début de vers puis à la césure ; célébrité jusqu’auprès de la servante, antithèse « sommeillant »/« réveillant », tournure en négation qui marque l’absence d’exception, v5 à 7. • Immortalité de l’aimée : chp lexical

en échange d’une immortalité en lui faisant part de son état futur très caricaturé. Cette déclaration est également une déclaration satirique, tout l’opposé d’une déclaration d’amour, Ronsard est tellement narcissique qu’il se cite deux fois dans son propre poème, il n’emploi aucun terme mélioratifs sauf pour parler de lui, or les termes péjoratifs fusent lorsqu’il s’agit d’Hélène c’est ce qui rends cette déclaration particulière Dans ce poème, Ronsard expose son immortalité poétique, il se