Immortalité

également de se rapprocher de Dieu, comme nous le constatons dans « Lettre à Eva » (Maisons du berger) de Vigny, où Eva représente ici Eve, (première femme selon la Bible) qui est une femme en contact constant avec la nature. De plus, par son immortalité, la nature se fait « égale » à Dieu, immortel. L’immuabilité de la nature est ici présente dans 3textes du corpus: Vigny, qui la fait parler et la voit comme indestructible, Hugo et Musset qui l’implore : « Ô Muse » ; « O végétation » et la considère

sont des femmes qui inspirent les po�tes. Dans les po�mes de DuBellay et Baudelaire les muses sont des personnages antiques et non des �tres vivants. Dans son po�me DuBellay est inspir� par elles, on peut le remarquer par l�emploie des termes � immortalit� �, � libert� � et � post�rit� �. Baudelaire quand � lui, explique que sa muse n�est pas celle dont il r�ve. Elle a les � yeux creux �, son teint refl�te � la folie et l�horreur �, elle est laide et macabre .Le po�te se plaint de sa muse qui ne

le bon sens de la lutte contre le temps. Le sujet émet un doute dans la réponse «est-il», cela inspire un questionnement sur le bon sens d'un combat contre le temps. En effet l'homme ne cesse de lutter pour une existence meilleure et pour une immortalité. La question est de savoir si les hommes en on le droit ou s'ils agissent de manière irréfléchie. En effet, après que l'homme est répondu à ses besoins primaires tels que : la nourriture, la protection, la chaleur...Il prend le temps d'observer

Elles ont «une immortalité potentielle». Non seulement l'œuvre survit à l'artiste, mais elle survit à la société qui l'a produite. L'œuvre d'art a, en ce sens, un caractère intemporel. Elle est «destinée à survivre au va-et-vient des générations». L'unité de référence est ici la présence de l'espèce humaine sur la terre. Pourtant, l’œuvre d’art aussi, en tant qu'objet matériel, peut se détériorer et se détruire. C'est pourquoi Arendt précise qu’elle est «potentiellement» immortelle. L'immortalité

travail de reconstitution par l’écriture et la sublimation - le poète recompose « l’essence divine » de ce que le concret, donc le temps, bouleverse: « les amours décomposées » sont recomposés dans le poème et l’univers qu’il réinvente. Immortalité du poète -Le poète apparaît tel un être à part. Le pronom « je » l'isole des autres humains tandis que la femme est associée au pronom « vous » qui pourrait faire référence au vouvoiement comme marque de respect ou à une généralité ; le genre

concernent plus quand nous sommes morts. Il n y a pas d’ expérience delà mort et donc ce qui s y rattachés est sans objet et il veut qu on est une attitude ration elle a l égard de la mo’t. Le bonheur est à cette condition car le desir dissolution immortalité est un desir vain qui a la différence dies désirs naturels et nécessaires tel que la fin et la soif est immodéré, insatiable et donc ne serait laisser l’âme exempte de troubles. C’est donc la qualité de la vie et non la quantité des plaisirs éprouvés

passé echapper à la mort, car en effet c'est une façon de se divertir et de perpetuer les souvenirs. Certes l'autobiographie permet d'arriver préparé à la mort, tout en en conservant sa saveur, cependant elle permet aussi d'atteindre une certaine immortalité pour l'auteur et pour ses proches. L'autobiographie permet de rendre un hommage eternel aux proches disparus. Dans son livre « Lambeaux » Charles Juliet fait un hommage à ses deux meres, comme l'illustre la phrase « Dire ce que tu leur doit. Entretenir

(ici, la poésie) • Immortalité du poète : chp lexical musique, poésie ; accumulation de participes présents v2 et 3, d’où assonance en [an] -> équivalent présent de vérité générale (+/-) ; évocation de Ronsard par lui-même, répétition de son nom v. 4 et 7, positions remarquables, soit en début de vers puis à la césure ; célébrité jusqu’auprès de la servante, antithèse « sommeillant »/« réveillant », tournure en négation qui marque l’absence d’exception, v5 à 7. • Immortalité de l’aimée : chp lexical

pousserait les personnes à s’unir et à engendrer des enfants afin de perdurer après la mort. Ces personnes là visent une immortalité de la chair.Les poètes eux par exemple, avec leurs productions qui résisteront dans le temps visent une immortalité de l’esprit.Diotime prend dans la suite de son propos l’exemple d’une personne féconde par l’esprit – parce qu’elle vise une immortalité plus immuable, plus absolue, que celle qui féconde par le corps.Ainsi par le désir d’immortalité, un homme qui ne cherche

pas relatif à une société particulière, il a l’universalité de la nature. En opposant le monde humain à la nature, et en associant l'art exclusivement au monde humain, Hannah Arendt rend au moins justice à la vocation de l'art 2_Elles ont «une immortalité potentielle». Non seulement l'œuvre survit à l'artiste, mais elle survit à la société qui l'a produite. L'œuvre d'art a, en ce sens, un caractère intemporel. Elle est «destinée à survivre au va-et-vient des générations». L'unité de référence est