Impact Des Ratios Prudentiels Sur La Performance Des Banques

mauvaise chasse la bonne 2. Monnaie fiduciaire : Les billets Fidus= confiance Monopole de l’émission de billet à la Banque de France (1848) Contrairement à la monnaie métallique, les billets dès le départ n’affiche pas la valeur à laquelle il correspond  Possibilité d’une masse monétaire supérieur à l’encaisse métallique La banque centrale à un droit de scenoriage : La banque vend des tickets et des pièces qui n’est pas du tout le coût qu’il lui a couté (vendu à sa valeur faciale donc plus chère)

réponse à tout et pas seulement aux spécialistes. Toutes les parties prenantes doivent être concernées. Le premier objectif est de satisfaire les besoins des investisseurs financiers et non pas de répondre à des contraintes nationales, fiscales, prudentielles ou juridiques. * Les normes IFRS aspirent, également à refléter plus fidèlement la réalité économique en privilégiant le plus possible la « juste valeur » au détriment du coût historique. * Autre objectif à l’origine de la création des

est devenu complexe avec le développement technologique et la sophistication financière. Le risque est inhérent à toute activité humaine, notamment lorsqu'on fait des affaires. Dans les métiers de la banque, le risque est un élément que l'on vit au quotidien. En effet l'activité principale de la banque étant de distribuer du crédit, le risque de non remboursement est omniprésent. Depuis de très nombreuses années, le risque de crédit est l'une des causes majeures de la volatilité des résultats des

l’état des lieux de cette technique au Maroc, son cadre réglementaire ainsi que son utilité dans le secteur marocain. Introduction Page 4 www.cdvm.gov.ma La titrisation est un montage financier qui permet à une entreprise, banque ou institution financière (le cédant) de réorganiser son actif financier en cédant un portefeuille d’actifs relativement illiquide et le transformer en titres négociables sur le marché. Cette technique qui s’inscrit dans le cadre des financements

aussi bien les banques et les organismes financiers spécialisés que les méthodes d’intervention de la banque centrale et les conditions de financement de l’économie. Les réformes introduites progressivement à partir des années 80 visaient à faire évoluer le système financier dans son ensemble pour accompagner une économie de plus en plus ouverte et ont été conduites dans le cadre d’un vaste programme d’ajustement structurel soutenu par le Fonds monétaire international et la Banque Mondiale. Ce programme

l'Information et de la Communication Université De Carthage Institut Des Hautes Etudes Commerciale De Carthage Mémoire élaboré en vue de l’obtention d’un mastère de recherche en «Economie desServices, de l'Industrie et de l'Innovation». THÈME : La performance du secteur des assurances Tunisiennes et ses déterminants Réalisé par : BOUAZZI Hiba Encadré par : MRS DELHOUMI Ezzedine 2013-2014 REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et des Technologies

des lieux de cette technique au Maroc, son cadre réglementaire ainsi que son utilité dans le secteur marocain. Page 3 www.cdvm.gov.ma I- Définition et origine de la titrisation La titrisation est un montage financier qui permet à une entreprise, banque ou institution financière (le cédant) de réorganiser son actif financier en cédant un portefeuille d’actifs relativement illiquide et le transformer en titres négociables sur le marché. Cette technique qui s’inscrit dans le cadre des financements

................................................................. 171 Éric Lombard et Mathieu Mucherie I. Les assureurs comme investisseurs de long terme ............... 177 Gérard de la Martinière J. Les règles comptables internationales et leur impact sur l’attitude des agents économiques face à l’investissement de long terme ................................................... 187 Philippe Danjou K. Investisseurs de long terme : une disparition révélatrice .... 201 Hubert Rodarie L. Comment inciter

Maroc a entrepris un large et profond chantier de réformes visant à instaurer un climat des affaires favorable et renforcer la stabilité et la croissance économique. L’ensemble de ces réformes a comme trame de fond le renforcement des pouvoirs de la banque centrale et son indépendance ainsi que l’extension de son contrôle à l’ensemble des activités bancaires. Cependant, il faudra signaler que la spécificité du secteur bancaire fait qu’il soit moins ouvert à la concurrence que d’autres, et que les règles

levier via les marchés dérivés, dans le but de réaliser une performance absolue, le tout dans un cadre réglementaire très souple voire inexistant et d'une remarquable opacité[4]. Parce qu’il n’y a ni benchmark, ni track record pour évaluer leurs performances, les gérants de hedge funds exigent des investisseurs une double structure de commissions (fees) très élevée. En général, les management fees oscillent entre 1% à 2% et les performance fees entre 10% et 20% voire beaucoup plus. De plus, il existe