Impôt indirect

l’exploitation des services et les revenus des domaines. Donc, quelles sont les différentes sources de l’Etat qui lui permettent de faire face à ses dépenses ? Chapitre 1 : Les prélèvement obligatoires 1. DEFINITION DES PRELEVEMENTS OBLIGATOIRES : (Impôts ou cotisations sociales) Ils sont définis, selon l’OCDE « comme les recettes ou les versements effectifs perçus par les administrations publiques uniquement, ces recettes sont des prélèvements obligatoires que si le payeur n’a le choix du montant

L’administration des douanes et impôts indirects (ADII), est un organe du ministère des finances et de la privatisation, qui consiste à la mise en œuvre de la politique douanière nationale, auparavant, elle avait comme rôle purement fiscale qui consiste a percevoir au profit du trésor des droits et taxes, comme la taxe sur la valeur ajoutée, le prélèvement fiscal à l’import ou a taxe intérieur de consommation . L’administration des douanes et impôts indirects (ADII), organe du ministère de l’économie

complètement déconnectée du bénéfice que le contribuable retire des SP de l’Etat. Cette théorie a permis d’introduire l’idée de progressivité de l’impôt alors que jusqu’à la 1ère G.M les taux d’imposition étaient proportionnels. Exemple : la TVA est un impôt proportionnel. L’impôt progressif : selon sa condition sociale (plus on est riche plus on va payer). Tout revenu supplémentaire va être considéré comme de moins en moins utile car les besoins primaires ont été satisfaits par les premières tranches

définie comme un support juridique élaboré par l’Etat pour : Déterminer et identifier les différents types d’impôts à appliquer. Fixer les modalités de leur paiement. Identifier les différents contribuables assujettis qui devront payer tel ou tel impôt. 1-2 Sources du droit fiscal: La constitution Les accords et traités internationaux Sources du droit fiscal La loi de finances La doctrine administrative La jurisprudence Commentaire du schéma: La constitution : c’est la loi

l’autorisation de percevoir les impôts pour effectuer les dépenses ne peut être qu’annuelle. - La spécialité budgétaire : les dépenses budgétaires sont examinées par le Parlement de façon détaillée. - La sincérité : les évaluations doivent être plausibles et réalistes. b) Les recettes de l’État Les recettes de l’État sont essentiellement des recettes fiscales et des recettes non fiscales. Les recettes fiscales (87% des recettes budgétaires en 2004) sont constituées : - Des impôts directs (36% des recettes

revenus par l'Etat c'est donc l'ensemble des revenus perçus par les administrations : impots et cotisations sociales Tu peux par exemple dire que ces prelevements, nécessaire au fonctionnement de l'Etat, sont parallellement un frein à la conso des ménages et à l'investissment des entrprises car ça diminue leurs ressources :dacc: • 1. La structure des... o a. Les impôts directs o b. Les impôts indirects • 2. Le poids des... Objectifs : quels sont les différents prélèvements obligatoires

potentiel de croissance tout en étant compatibles avec le rétablissement de nos finances publiques. 1 2 INTRODUCTION : QU’ATTEND-ON DE LA FISCALITÉ ? INTRODUCTION Un système fiscal est traditionnellement bâti sur trois piliers ■ Les impôts directs portent sur la création et la détention de richesses, donc in fine sur les facteurs de production : le travail et le capital. L’assiette « travail » est plus large que l’assiette « capital ». L’assiette « capital » est pour sa part plus mobile

l’essentiel (environ 90 %) des recettes fiscales (impôts et taxes), payées par les contribuables. Le complément est assuré par les recettes non fiscales, comme le produit des ventes de la production marchande de l’État, l’armement, ou bien par la vente d’entreprises publiques (privatisations). En France, les deux principaux impôts directs sont l’impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPP) et l’impôt sur les sociétés (IS). Les deux principaux impôts indirects perçus par l’État sont la taxe sur la valeur

administrations publiques ont un pouvoir de contrainte c'est-à-dire « les prélèvement obligatoires » (impôt, cotisation sociale…) Le budget de l’état est l’acte par lequel sont prévus et autorisées les dépenses et les recettes de l’état. C’est ce qu’on appelle la loi de finance, et ça implique un grand principe qui est la souveraineté du parlement en effet seul le parlement vote l’impôt, a chaque modification des impôts il faut autorisation du parlement. Cette souveraineté parlementaire date de la charte

technique de l'impôt: a). Impôt de répartition et impôt de quotité: Impôt de répartition: on parle de produit attendu, on à besoin d'une certaine somme pour fonctionner et donc on va répartir cette somme attendue sur la collectivité. Impôt de quotité: c'est l'impôt qui résulte de l'application d'un taux, c'est le cas par exemple des droits d'enregistrement. b). Des impôts spécifiques et des impôts Ad-Valorem(en fonction de la valeur): Impôts spécifiques: impôt qui sont déterminés par